Gestion des parasites gastro-intestinaux par des plantes ou utilisation de substances émétiques naturelles Auteur(s) : Melo, Jorge Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CIRAD : Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Extrait de : "Projet DEVAG" : conférence, le 5 décembre 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : La communication s'articule autour de deux problématiques. D'abord la consommation de substances nocives pour les ovins que l'on tente de résoudre par l'utilisation de substances émétiques naturelles. Dans un second temps les infections intestinales qui touchent les ovins et que l'on tente également de résoudre par l'utilisation de substances naturelles. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14098 V14098 | Partager Voir aussi Agriculture tropicale Ovins Plante Elevage Parasite Substance émétique naturelle Agriculture Cuba ; Télécharger |
Intégration d'ovins dans un verger de goyaviers à Cuba : leçons apprises et bilan technico-économique Auteur(s) : Fontes, Dayami Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CIRAD : Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Extrait de : "Projet DEVAG" : conférence, le 5 décembre 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : La communication rend compte de l'intégration d'ovins dans un verger de goyavier. Il s'agit d'une recherche universitaire à partir de laquelle sera effectuée l'analyse des retombées techniques et économiques du procédé d'intégration. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14097 V14097 | Partager |
Intégration d'ovins dans un verger d'annonacées en Martinique : leçons apprises et bilan technico-économique Auteur(s) : Labonne, Josée-Llyan Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CIRAD : Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Extrait de : "Projet DEVAG" : conférence, le 5 décembre 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : "La problématique était de diversifier la production agricole, augmenter les revenus des agriculteurs et mettre au point de nouvelles techniques de gestion de l'enherbement. L'objectif étant d'évaluer la rentabilité de systèmes de cultures qui associent un verger d'annonacées, une plante de couverture et un troupeau d'ovins. Il a été question d'introduire des moutons OMK dans un verger d'annones de trois espèces différentes : la pomme cannelle, le cachiman et le corosol. La plante de couverture choisie était le foin." Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14096 V14096 | Partager Voir aussi Verger Annones Enherbement Agriculture tropicale Agroécologie Annonacées Plante de couverture Ovins Agriculture Martinique ; Télécharger |
Elève du bétail à la Guyane Auteur(s) : Sagot, Paul Antoine (1821-1888) Année de publication : Éditeur(s) : Nantes : Mme Ve C. Mellinet Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Provenance : Collectivité territoriale de Guyane. Bibliothèque Alexandre-Franconie Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/FRA11227-15 FRA11227-15 | Partager |
Les systèmes mixtes d'élevage de petits ruminants et de bovins : Une alternative pour améliorer les performances animales au pâturage Auteur(s) : D'ALEXIS, SEVERINE Angeon, Valérie Arquet, Rémy Boval, Maryline Auteurs secondaires : Unité de Recherches Zootechniques (URZ) ; Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) Agrosystèmes tropicaux (ASTRO) ; Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) Centre de Recherche en Economie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Plateforme Tropicale d'Expérimentation sur l'Animal (PTEA) ; Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) Éditeur(s) : HAL CCSD INRA Résumé : Le pâturage mixte de petits et gros ruminants constitue une conduite agro écologique pour améliorer lescroissances individuelles et à l'hectare, en valorisant les complémentarités alimentaires des espècesanimales, tout en réduisant l’impact du parasitisme gastro-intestinal pour les petits ruminants. Pour desovins, une méta-analyse de la littérature a mis en évidence un gain de poids individuel de + 15 g/animal/jour, variable en fonction du stade physiologique considéré (allaitement, pré ou post-sevrage) etun gain à l’hectare de + 29 % en pâturage mixte, comparé à du pâturage d’ovins seuls. Pour descaprins, une expérimentation de deux ans en milieu tropical a révélé un gain individuel de + 14 g depoids vif/animal/jour en mixte, et un gain global à l’hectare doublé, voire plus, si l’on considère labiomasse présente, mieux exploitée en pâturage mixte. Pour les bovins conduits en mixte, le gain estmoins net, fluctue entre les études, mais est a minima équivalent à celui enregistré pour des bovinspâturant seuls.Outre l’intérêt pour la production, cette conduite favorise la diversification écologique, le turn-over de labiomasse, la réduction des coûts de production et de l’usage des anthelminthiques classiques,favorable à des produits carnés de qualité, sans résidus chimiques. ISSN: 1958-5853 Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01222900 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01222900 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01222900/document https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01222900/file/2015_dalexis_InnovAgronomiques_%7BC6C380D6-00DB-4623-9FDA-9BAA4B33C36A%7D.pdf PRODINRA : 331701 | Partager |
Stratégies innovantes de gestion du pâturage pour améliorer l'alimentation et lutter contre le parasitisme gastro-intestinal : pâturage mixte caprins/bovins et addition de vermicompost ; Innovative strategies for grazing management to improve nutrition and fight against gastrointestinal parasitism : pâturage mixed goats / cattle and addition of vermicompost Auteur(s) : D'Alexis, Séverine Auteurs secondaires : Antilles-Guyane Boval, Maryline Résumé : Les systèmes d'élevage des petits ruminants au pâturage sont les plus répandus en zone tropicale humide mais l'exposition aux strongles gastro-intestinaux entraîne des pertes importantes de production. L'objectif de ce travail est d'évaluer un système de gestion mixte du pâturage associant diverses espèces animales permettant à priori d'accroître les performances via la réduction du parasitisme et!ou une meilleure alimentation. L'étude de la littérature a conduit à une méta-analyse confirmant de meilleures performances individuelles ou à l'hectare pour les ovins en mixte. Préalablement un dispositif visant à vérifier la non-transmission des larves d'Haemonchus contortus des caprinsaux génisses Créoles a été validé. Un second dispositif avec des chevrettes conduites en mixte, infestées ou pas par Haemonchus comortus (Ml et MnI) ont été comparées à des chevrettes contrôles infestées ou non (CI et CnI). Ce dispositif a été conduit pendant 2 ans avec des mesures du couvert pâturé, des mesures individuelles des quantités ingérées, de la digestibilité, du parasitisme et de la croissance. De plus fortes croissances ont étéobservées en pâturage mixte que les chevrettes soient infestées ou pas (43.25 et 31.68 glj pour MDI et MI vs. 32.44 et 17.91 glj) avec une moindre biomasse. Les mesures d'ingestion et d'ingéré digéré ont été corrélées aux croissances des chevrettes contrairement aux variables parasitaires et met en évidence le rôle de l'alimentation et de la résilience dans le bénéfice du pâturage mixte. Une autre gestion intégrée du pâturage a été étudiée basée sur l'utilisation du vermicompost et s' ant sur les mêmes leviers d'action: l'alimentation et le itisme Systems of small ruminant grazing are most prevalent in the humid tropics but this environment exposes animals to gastro-intestinal with production losses. The objective ofthis thesis is to evaluate a system ofmixed management ofthe pasture combining various animal species, which allows a priori to increase animal performance by reducing the parasitism and/or better nutrition. The study of literature bas led to a meta-analysis confirming the better individual performances or calculated per ha for sheep reared mixed. The first experiment validated the non-transmission of Iarvae ofHaemonchus contortus from goats to heifers. In a second experiment, goats mixed with heifers, infested or not with Haemonchus contortus (Ml vs MnI) were compared with controls goats, reared alone, infested or not (CI and CNI). This deviee with a continuous driving was studied for two years with measurements on the sward, individual measures of intake, digestibility, parasitism and growth ofthe goats. The highest growth rates were measured with the mixed pasture as goats are infested or not (43.25 and 31.68 g / d for MN! and MI vs. 32.44 and 17,91 g / d) with lower biomass. The herbage intake and the digested herbage intake were well correlated to the growth rate, unIike parasitic variables, and highlight the role of diet in the benefit of mixed driving for goats. Therefore, the infested goats with Haemonchus, expressed greater resilience with improved growth performance compared with controls. Parallel to the study ofmixed pasture, another integrated management of grazing was studied, based on the use of vermicompost and relying on the same levers. namelv throuzh feedinz and parasitism http://www.theses.fr/2012AGUY0537/document | Partager |
Catalogue descriptif des poissons vénéneux du banc de Saint Barthelemy (Antilles françaises) Auteur(s) : Morice, Jean Éditeur(s) : ISTPM Résumé : The Caribean Sea ichthyofauna, like that of all tropical and subtropical seas, contains venomous fishes some of which can cause certain forms of ichthyosarcotoxism.The first people to notice, at their expense, the existence of these dangerous animals in the waters of the West Indies were the conquistadores who settled in Haïti and Cuba after Christopher COLOMBUS. As these men were not well provided by fresh supplies from their far away home-as related by many chroniclers-they had to live on local food resources. Originally, terrestrial fauna, in these islands, was very lacking as far as big mammals go, and birds bigger than a pigeon were rare. As a consequence, Spanish sailors and soldiers ate mostly seafood, fish, crustaceans and molluscs that abounded in the clear waters of the Caribean shores. (The introduction of European mammals: bovines, ovines, caprines and porcines, but also poultry, only happened many years later-cattle raising only developed when the conquistadores were well settled and land had been divided-initial protid production was not sufficient to cover the Spaniards' needs.... La faune ichthyologique de la Mer des Antilles, comme celle de toutes les mers des regions tropicales et subtropicales, contient des poissons vénéneux, causes de certaines formes d'ichthyosarcotoxisme. Les premiers qui s'aperçurent, à leurs dépens, de l'existence de ces animaux dangereux dans les eaux des Indes occidentales furent les conquistadores qui s'installèrent en Haïti et à Cuba après les découvertes de Christophe COLOMB et de ses lieutenants. Ces hommes, souvent fort mal ravitaillés par leur trop lointaine métropole -tous les chroniqueurs de l'époque en font foi -furent obligés d'utiliser les ressources alimentaires locales. Comme à l'origine, la faune terrestre des îles était très pauvre en grands mammifères et que les oiseaux plus volumineux qu'un ramier étaient rares, les soldats et les marins espagnols consommèrent surtout les fruits de la mer : poissons, crustacés et mollusques qui abondaient dans les eaux claires des rivages antillais. (L'introduction des mammifères européens: bovins, ovins, caprins et porcins, comme des oiseaux de basse-cour, fut relativement tardive; l'élevage ne se développa que lorsque les conquérants de l'Eldorado furent installés et que la terre fut partagée; la production initiale de protides était très nettement insuffisante pour couvrir les besoins des Espagnols.) L'un des animaux les plus faciles à capturer était -et l'est encore -le-« burgo », Linona pica L., gros gastéropode de la famille des Trochidés qu'il suffisait de récolter à la main sur les récifs coralliens ou les rochers qui bordaient les plages; l'abondance de la distribution de ce gros bigorneau est encore telle à l'heure actuelle qu'il forme une ressource permanente appréciée; dans certaines petites îles très mal ravitaillées: Los Hermanos et La Blanquilla dans les Antilles vénézuéliennes; Saint-Barthélémy, La Désirade, dans les Antilles françaises, etc., où le « burgo » constitue une partie importante de la ration alimentaire. Il arrivait à Cuba, que sa consommation soit la cause d'accidents gastro-intestinaux et neuraux qui furent groupés par les Espagnols sous le nom de "ciguatera", le mollusque lui-même étant appelé "cigua", (II faut noter que les « burgos » récoltés sur certains îlots et récifs de la côte méridionale de Saint-Barthélemy sont la cause de troubles analogues à ceux qui furent décrits par les chroniqueurs des XVe et XVIe siècles) Le vocable s'est étendu ensuite, dans le langage populaire, aux troubles digestifs et aux troubles neuraux ressentis après l'ingestion de différentes espèces de poissons vénéneux, espèces qui se révélèrent malheureusement relativement nombreuses dans les eaux des Grandes Antilles, Le auteurs anciens, repris par COUTIÈRE dans sa thèse (1899) décrivent également des cas d'intoxications graves depuis le début de l'occupation des Petites Antilles par les Européens, intoxications attribuées pour la plupart aux barracudas, aux balistes, aux murènes, à certains clupes, aux carangues comme à un certain nombre d'espèces de « poissons rouges ». Les naturalistes modernes, d'ARCISZ (1950) à RANDALL (1958), donnent la liste scientifique des espèces incriminables dans la Mer des Antilles. Il n'existe actuellement aucun manuel en langue française permettant la détermination des poissons marins et des espèces dulçaquicoles des Petites Antilles, Le naturaliste est obligé, pour identifier les poissons, de recourir à des ouvrages américains ou hollandais, ou encore à des monographies toutes rédigées en langue anglaise. Ces livres, à de très rares exceptions près, sont anciens et difficiles à trouver en librairie étant presque tous épuisés ou rares. La publication que nous présentons ici n'a pas la prétention de pallier l'inexistence de documents en langue française sur l'ensemble de la faune ichthyologique antillaise; elle n'a pour but que de fournir au personnel chargé du contrôle du conditionnement et des marchés, aux armateurs à la pêche désireux de se renseigner sur les possibilités locales, comme à quelques esprits curieux, une documentation suffisante et illustrée, pour permettre une identification sûre et rapide des espèces dangereuses. Cette étude est née d'un besoin précis : les pêcheurs des Antilles françaises, maintenant guidés par une assistance technique qui reprend élémentairement les bases de la profession, se sont heurtés très rapidement au fait suivant : il était nécessaire de créer un conditionnement des produits de la pêche car quelques espèces de poissons commerciaux, saines dans certaines régions, sont vénéneuses dans d'autres, géographiquement toutes voisines, et doivent être éliminées du marché. Pour cela il fallait établir avec précision quelles espèces pouvaient être dangereuses, et donner aux pêcheurs, aux marchands et au public l'image exacte des formes incriminables. Si une espèce donnée peut contenir des individus vénéneux, tous les individus de cette espèce ne sont pas dangereux et des spécimens de la même espèce incriminables en un point ne le seront pas dans d'autres lieux de pêche. POEY (1866) a écrit: « ... il n'y a pas un poisson suspect sur dix mille... » Cela est sans doute vrai si l'on envisage le stock constitué par une espèce, mais ne l'est plus si l'on considère les concentrations géographiques. A travers l'expérience que nous avons acquise à Saint-Barthélemy, nous pouvons affirmer avec certitude que les poissons vénéneux sont bien groupés en isolats cernés par des frontières géographiques précises. De plus il apparaît très nettement que les poissons âgés, donc ayant atteint un certain poids, sont seuls responsables des accidents ciguatériques les plus graves. Le fait que l'ichthyologiste cubain POEY, 1866, ait imposé l'interdiction des poissons pesant plus de trois livres dans les espèces suspectes sur le marché de La Havane est très significatif. Un fait statistique observé à Saint-Barthélemy vient corroborer les notions précédemment énoncées. Un certain nombre de canots de pêche à la ligne à main, travaillant à l'accore méridional du banc de Saint-Martin, capturait surtout des « oreilles noires » (Lufianus buccanella (c. et V.), 1828) et des « vivaneaux » (L. vivanus (c. et V.), 1828) ; le poids des poissons vidés acceptés par le service de contrôle de la coopérative des pêcheurs de Gustavia avait été fixé à 1 500 g; des poissons de poids bien supérieurs à ce plafond ayant été acceptés par le conditionnement en janvier et février 1963, toute une série d'intoxications graves de type ciguatérique se produisit à Basse-Terre et à Pointe-à-Pitre de La Guadeloupe, lieux principaux de consommation du poisson capturé sur le banc de Saint-Martin. Le poids des poissons vidés exportables ayant été ramené à 1 500 g. les intoxications cessèrent. Il reste à étudier l'étiologie de la «ciguatera », forme la plus commune d'ichthyosarcotoxisme notée aux Antilles. L'accumulation des observations et des notes prises à propos des cas observés à Saint-Barthélemy, à La Guadeloupe, comme à La Martinique (1950) ainsi que les dissections effectuées sur les poissons capturés par les pêcheurs de Saint-Barthélemy nous permettront peut-être de conclure bientôt à ce sujet. Enfin. il faudra trouver le test biochimique simple et précis permettant de déterminer rapidement si un poisson considéré comme « redouteux» est vénéneux ou non. (Les poissons incriminables sont désignés sous le nom de poissons «redouteux» dans le patois de Saint-Barthélemy; la « ciguatera » est nommée « mal poisson ».) Les appellations vernaculaires créoles des espèces vénéneuses ont été établies à partir des notes prises depuis 1950. Cette liste est loin d'être exhaustive car il n'y a pas de domaine plus ingrat que la synonymie vernaculaire. Les appellations américaines, britanniques et hollandaises ont été prises dans les ouvrages publiés d'une part par le Fish and Wildlife Service (laboratoire de Biologie marine de Miami), et d'autre part par la Commission des Caraïbes. Kent House, à La Trinidad. 1959. relayée ensuite par le Secrétariat central de l'Organisation des Caraïbes, 1961. Hato Rey. Porto-Rico. Enfin. nous avons pu établir l'équivalence vernaculaire des noms de poissons utilisés à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin grâce à l'aimable collaboration du Dr PETIT, chef de l'hôpital de Marigot à Saint-Martin. Les bases de la systématique que nous avons utilisées, pour replacer les espèces décrites dans un cadre cohérent. sont celles qui sont exposées par BERTIN et ARAMBOURG (1958) dans le troisième fascicule du tome treize du Traité de Zoologie publié sous la direction du Pr P. GRASSÉ: nous y avons fait de larges emprunts. (OCR non contrôlé) Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1965-03 , Vol. 29 , N. 1 , P. 1-130 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1965/publication-4004.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4004/ | Partager |