Feasibility of polyculture of blue shrimp Litopenaeus stylirostris and goldlined rabbitfish Siganus lineatus in a mesocosm system Auteur(s) : Luong, Trung Cong Hochard, Sebastien Royer, Florence Lemonnier, Hugues Letourneur, Yves Éditeur(s) : Elsevier Science Bv Résumé : The study was conducted to (1) estimate the effects of polyculture of blue shrimp Litopenaeus stylirostris with goldlined rabbitfish Siganus lineatus on production, environmental quality and water and sediment metabolism and (2) to determine if blue shrimp and goldlined rabbitfish polyculture is possible. The experiment was carried out for 12 weeks in a mesocosm system that consisted of 12 circular outdoor mesocosm fiberglass tanks (1.7 m2, 1275 L water volume). Shrimp (2.9 g) were randomly stocked at density of 15 shrimp.m− 2 without rabbitfish (control), with rabbitfish (25.5 g) at low density (1.2 fish.m− 2) (LDRB) and high density (2.4 fish.m− 2) (HDRB). Results indicated that goldlined rabbitfish S. lineatus did not affect shrimp growth performance. At the end of the experiment, the combined shrimp and rabbitfish yields in the LDRB (213 g.m− 2) treatment and the HDRB (295 g.m− 2) treatment were significantly greater (P < 0.05) than the shrimp yield in the control (143 g.m− 2). Most of the water and sediment parameters were similar among treatments. There was no significant difference (P > 0.05) in gross primary productivity and respiration between the HDRB treatment and the control. It was concluded that the polyculture of blue shrimp with goldlined rabbitfish is technically possible without degradation of the environment in the culture system. Aquaculture (0044-8486) (Elsevier Science Bv), 2014-09 , Vol. 433 , P. 340-347 Droits : 2014 Elsevier B.V. All rights reserved. http://archimer.ifremer.fr/doc/00198/30968/29344.pdf DOI:10.1016/j.aquaculture.2014.06.014 http://archimer.ifremer.fr/doc/00198/30968/ | Partager |
Experimental evaluation of co-culture of juvenile sea cucumbers, Holothuria scabra (Jaeger), with juvenile blue shrimp, Litopenaeus stylirostris (Stimpson) Auteur(s) : Purcell, S Patrois, Jacques Fraisse, N Éditeur(s) : Blackwell science Résumé : The co-culture of juvenile sea cucumber Holothuria scabra (Jaeger), or 'sandfish', with juvenile blue shrimp Litopenaeus stylirostris (Stimpson) was tested by growing groups in co-culture and monoculture for 3 weeks in tanks with enriched sand substratum. Feed was supplied on trays, accessible only to shrimp. Survival of shrimp and sandfish was high in all treatments (73-100%). Growth of shrimp did not differ between monoculture and co-culture, but sandfish grew significantly slower in co-culture (P=0.03), although their sand burying and surface foraging were apparently unaffected by shrimp (P=0.76). However, shrimp increased the levels of total ammonia-N in tanks, which related inversely with sandfish growth (P=0.04). Conversely, sandfish did not appear to lower the water quality for shrimp culture. While sandfish bioturbate sediments and eat organic deposits, the juveniles did not significantly reduce the organic content of sand in tanks. Co-culturing juveniles of the two species in earthen ponds appears feasible, with no detriment to shrimp production, presenting a cost-effective method for growing sandfish to larger sizes for restocking. These findings underpin further studies to test the viability of commercial co-culture of sandfish with blue shrimp at later stages in the production cycle of shrimp. Aquaculture Research (1355-557X) (Blackwell science), 2006-03 , Vol. 37 , N. 5 , P. 515-522 Droits : 2006 Blackwell Publishing, Inc. http://archimer.ifremer.fr/doc/2006/publication-1356.pdf DOI:10.1111/j.1365-2109.2006.01458.x http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/1356/ | Partager |
Schémas de pensées et projets collectif autour des races locales : le cas du cabri Créole aux Antilles Auteur(s) : Alexandre, Gisèle Angeon, Valérie Auteurs secondaires : Unité de Recherches Zootechniques (URZ) ; Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) Centre d'Etude et de Recherche en Economie Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : Dans le cadre d'un renouveau de la défense des races locales, cet article analyse les schémas de pensées et les projets collectifs autour du cabri Créole aux Antilles où existent simultanément deux modèles de développement, l'élevage « traditionnel » et l'élevage « moderne ». Le premier utilise la race locale, la Créole et des systèmes d'élevage traditionnels comme l'attache au piquet; il a été souvent appelé à disparaître mais en réalité, il présente une réelle capacité de résistance et d'adaptation. L'élevage moderne à base de races exotiques importées utilise des systèmes d'élevage de type intensif qui s'inspirent des modèles européens et qui ont été soutenus par la politique du gouvernement ; c'est donc le modèle dominant. De ce fait, la filière caprine en Guadeloupe voit cohabiter des exploitations de polyculture-élevage souvent valorisant des zones difficiles et des grosses structures d'élevage qui se spécialisent en production de viande caprine semi-intensive. On assiste actuellement au paradoxe où un type racial viande (génotypes à base de sang Boer ou autres croisements viande) devient dominant au détriment de la race locale. Or la race Créole gagnerait à être soutenue en raison de sa résistance et son adaptation au milieu. Mais sur cette question, l'aspect strictement technique est dépassé par le débat sociétal avec ses dimensions historiques, humaines et culturelles. Toutefois en Guadeloupe, il n'y a pas de vision collective unanime pour soutenir la race locale, ce qui est dû a des intérêts divergents et une difficulté de mise en cohérence de l'ensemble du projet. Ainsi, l'une des questions principales qui se posent est : comment infléchir les pratiques des éleveurs pour qu'ils s'approprient leur race locale qui est un élément d'ancrage au territoire, au savoir-faire et à la culture antillaise ? La démarche d'une production d'un cabri Créole AOC permettrait de relier la race locale au terroir en favorisant l'identité locale amenée à être portée par les acteurs territoriaux. Donc pour aboutir à un véritable modèle de développement à l'avenir, il conviendrait de mettre en place un véritable processus d'appropriation de la race locale dans son territoire. ISSN: 0397-6572 hal-01600973 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01600973 PRODINRA : 397825 | Partager |
Valorisation des ressources alimentaires tropicales : (feuilles et tubercules) chez le porc ; Valuation of tropical food resources : (leaves and tubers) in pigs Auteur(s) : Régnier, Carole Auteurs secondaires : Antilles-Guyane Renaudeau, David Archimède, Harry Résumé : Dans les régions tropicales. Il existe une multitude de systèmes alternatifs avec une grande diversité de pratiques. Ces systèmes sont souvent basés sur une utilisation optimale des ressources animales et végétales locales présentes sur l'exploitation. L'objectif de ce travail est de mieux connaître certaines de ces ressources tropicales disponibles et pouvant potentiellement être intéressantes à utiliser en alimentation porcine dans le cadre de ces systèmes alternatifs de type polyculture - élevage. Les résultats montrent que la capacité d'Ingestion des feuilles de manioc et de patate douce est la même quel que soit la forme de présentation (feuilles fraîches ou en farine). La capacité d'ingestion des feuilles de madère est plus élevée lorsqu'elles sont distribuées en farine (95 vs.40SgIj), inversement, les feuilles fraîches d'érythrine sont mieux ingérées (246 vs. 488 g/j). Les résultats sur la valeur nutritionnelle des feuillages tropicaux montrent qu'ils ont une faible densité énergétique comprise entre 6.5 et 8.2 MJ/kg de MS. La détermination du profil en acides aminés des feuilles montrent que les acides aminés des feuilles de madère et de patate douce sont plus digestibles que ceux des feuilles d'érythrine et de manioc.Au final les teneurs en lysine digestible sont de 5,3 g/kg MS pour la patate et 6,3 g/kg MS pour le madère. En conclusion, l'ingestion, ainsi que la teneur énergétique et protéique des feuilles d'une feuille à l'autre varie en fonction de sa teneur en fibres mais également en fonction de leur concentration en tanins. En pratique, les feuilles de patate douce et de madère sont les plus intéressantes pour la réalisation de ration. In the troples, there are a multitude of alternative systems with wide variety of practices. These systems are often based on an optimal use of local plantand animal on the farm. The objective of this work is to better understand some of these tropical resources avaibable and can potentially be interesting to use in pig feed in the context of these mixed farming system.The results show that the feed intake capacity of cassava and sweet potato leaves is the same whatever the processing form (fresh leaves or meal).The intake capacity of cocoyam leaves18 higher when distributed Into meal (95 vs.408g1d). In opposite the Erythrina fresh leaves are best Ingested (246 va, 488 g 1dl. Results on the nutrltlonal value of tropical foliage show they have low energy density between 6.5 and 8.2 MJ1kg DM. The determlnation of amino acid profile show that the amina acids of cocoyam and sweet potato leaves are more dlgestible than the erythrina and cassava leaves. Ultlmately digestible lysine contents were 5.3 g/kg DM for potato and 6.3 g / kg DM for the cocoyam. ln conclusion, ingestion, and energy and protein content of leaves from one sheet to another depends on its fiber content but aIso according to their tannin. In practice,the leaves of sweet potato and cocoyam are the most Interesting for the realization of diet http://www.theses.fr/2011AGUY0398/document | Partager |