" Nos ancêtres les Amérindiens ". La valorisation du patrimoine précolombien dans les Antilles Françaises Auteur(s) : Berard, Benoit Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Havard G. et M. Augeron Éditeur(s) : HAL CCSD Les Indes Savantes-Rivages des Xantons Résumé : International audience Les Antilles, lieu du premier contact entre Européens et Amérindiens, sont aujourd'hui un des centres majeurs du tourisme mondial. Il s'agit avant tout d'un tourisme balnéaire et de croisière. Cependant, la forte concurrence au niveau planétaire, et au sein même de l'archipel, a incité certaines îles à expérimenter d'autres formes de tourisme, en particulier le tourisme culturel. Dans les Antilles françaises le patrimoine amérindien, certes moins spectaculaire que celui présent dans les Grandes Antilles, a toutefois fait l'objet depuis les années 1930 d'une exploitation poussée, exceptionnelle même à l'échelle de l'archipel. Cette volonté de se présenter à autrui sous les traits d'un ancêtre aujourd'hui invisible ou quasi-invisible - l'Amérindien -, non seulement dans le paysage mais aussi dans les caractéristiques de la population, ne peut que surprendre. Faut-il voir dans la précocité de ce phénomène une conséquence lointaine des liens privilégiés qu'entretenaient Français et Amérindiens durant la période de contact ? Rien n'est moins sûr. La mise en valeur du patrimoine amérindien dans les Antilles françaises est plutôt à mettre en relation, comme on va le voir, avec l'évolution de la place occupée par ce pan de l'histoire dans le discours identitaire antillais. Un continent en partage. Cinq siècles de rencontres entre Amérindiens et Français Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess ISBN : 978-2-84654-356-9 hal-00968430 https://hal.univ-antilles.fr/hal-00968430 https://hal.univ-antilles.fr/hal-00968430/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-00968430/file/Nos_ancA_tres_les_amA_rindiens.pdf | Partager |
Tourisme de masse vs. tourisme alternatif Auteur(s) : Alonso Estrella Carrillo, Carlos Andrés Pardo, Juan Argaillot, Janice Arroyo Arcos, Lucinda Ávila Romero, Agustín Ballester, Patrice Carrausse, Séverine Daghri, Taoufik Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Ce numéro de la Revue Etudes Caribéennes consacré au tourisme vise à poser les bases d’une réflexion sur le fonctionnement des lieux touristiques, les programmes d’aménagement touristique et les différents enjeux pour les territoires. Lieu ouvert ou lieu fermé, flux concentré ou flux diffus, la nature du lieu touristique, avec ses pratiques, classiques ou originales, oriente les types d’impacts potentiels. Les choix opérés en matière d’aménagement touristique sont donc primordiaux : dans quelles conditions opte-t-on pour un tourisme balnéaire classique, massif, ou pour une approche touristique alternative ? Ces différentes déclinaisons sont-elles attachées à des territoires spécifiques ? Faut-il opposer ces deux approches ou les considérer complémentaires dans leurs environnements respectifs, peuvent-elles partager un même espace ? L’objectif de ce numéro thématique est de réunir des approches diverses et renouvelées qui développent des analyses sous l’angle de l’économie, de l’aménagement du territoire, de la sociologie, de la géographie… Les articles pourront proposer une réflexion théorique ou privilégier des études de cas, traitant des relations tourisme de masse – tourisme alternatif ou s’attachant à illustrer l’une de ces deux aspects. Les terrains privilégiés ne seront pas exclusivement caribéens et américains, ils pourront relever de n’importe quelle région du monde et illustrer des situations présentes et/ou passées. Les thématiques privilégiées seront : 1. Les concepts de tourisme de masse et de tourisme alternatif (identification, caractéristiques, logiques spatiales, enjeux économiques, sociaux, environnementaux). 2. Les lieux du tourisme masse (stations balnéaires, villes historiques, formes spécifiques d’aménagement des lieux et les types de structures d’accueil) 3. Alter-tourismes et renouvellement des pratiques touristiques (écotourisme, tourisme communautaire, agrotourisme …) 4. L’aménagement des lieux touristiques et les modalités de gestion des environnements protégés (conservation, protection et pratiques touristiques et récréatives) 5. Les enjeux économiques, sociaux, environnementaux autour de différents types de lieux touristiques. This issue of the Revue Etudes Caribéennes, devoted to tourism, aims to lay the foundations of a reflection on the functioning tourist places, their development programs and the different challenges presented to them. Exposed/Open or closed location, concentrated or diffused flows, the nature of these tourist places with their traditional or original customs, orientate different types of potential impacts. The choices made in tourism development are essential: in which conditions should be opted for the traditional seaside tourism, or for mass tourism, or for alternative tourism? Are certain properties linked to specific territories? Should we oppose these two approaches or consider them as complementary in their environments and can they share the same place? The objective of this thematic issue is to call for various and renewed approaches which develop analysis in terms of the economy, regional planning, sociology, geography etc. Articles may propose a theoretical reflection or focus on case studies, dealing with the relations of mass tourism, alternative tourism, or to illustrate one of these two aspects. Priorities fields will not exclusively be Caribbean and American but can come from any part of the world and can illustrate post and/or present situations. The prioritized analysis will include: 1. The concepts of mass tourism and alternative tourism (identification, characteristics, spatial logics, and economic, social and environmental issues). 2. Places of mass tourism (resorts, historic cities, specific forms of site layout and reception facilities) 3. Alter-tourism and the renewal of tourism practices (ecotourism, community tourism, agrotourism) 4. The development of tourist spots and of management methods concerning protected environments (conservation, protection, tourism practices and recreational practices) 5. Economic, social, and environmental issues surrounding different types of tourist places. Este número de la Revista Estudios Caribeños consagrado al turismo apunta a poner las bases de una reflexión sobre el funcionamiento de los lugares turísticos, los programas de ordenación turística y las diferentes apuestas para los territorios. Lugar abierto o cerrado, flujos concentrados o flujos difusos, la naturaleza del lugar turístico, con sus prácticas, clásicas u originales, orienta los tipos de impactos potenciales. Las elecciones operadas en materia de ordenación turística son primordiales: ¿en qué condiciones se opta por un turismo balneario clásico, masivo, o por un enfoque turístico alternativo? ¿Estas diferentes declinaciones están relacionadas a territorios específicos? ¿Se debe oponer estos dos enfoques o considerarlos complementarios en sus ambientes respectivos, pueden compartir el mismo espacio? El objetivo de este número temático es de reunir los diversos y renovados enfoques que desarrollan los análisis sobre el ángulo de la economía, la ordenación del territorio, la sociología, la geografía… Los artículos podrán proponer una reflexión teórica o privilegiar los estudios prácticos, tratando las relaciones turismo de masa-turismo alternativo o dirigirse a ilustrar uno de estos dos aspectos. Los terrenos privilegiados no serán exclusivamente caribeños y americanos, podrán hacer frente a cualquier región del mundo e ilustrar situaciones presentes y/o pasadas. Los temas privilegiados serán: 1. Los conceptos de turismo de masa y de turismo alternativo (identificación, características, lógicas espaciales, apuestas económicas, sociales, ambientales). 2. Los lugares de turismo de masa (estaciones balnearias, ciudades históricas, formas específicas de ordenación de lugares y de tipos de estructuras de recepción). 3. Alter-turismos y renovación de las prácticas turísticas (ecoturismo, turismo comunitario, agroturismo...). 4. La ordenación de lugares turísticos y las modalidades de gestión de los ambientes protegidos (conservación, protección y prácticas turísticas y recreativas). 5. Las apuestas económicas, sociales, ambientales alrededor de diferentes tipos de lugares turísticos. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7521 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7521 | Partager Voir aussi |
Développement du tourisme balnéaire en Algérie face à la problématique de protection des espaces littoraux. Le cas des côtes mostaganemoises Auteur(s) : Ghodbani, Tarik Kansab, Othmane Kouti, Abdelaziz Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Le tourisme balnéaire joue un rôle fondamental dans le développement économique des pays des deux rives du bassin méditerranéen. Climat tempéré, plages sablonneuses et beauté du paysage naturel côtier représentent le support à cette nouvelle activité. Si dans beaucoup de pays, comme l’Espagne, le Maroc, la Tunisie, la France, etc., une large surface du littoral est mise en tourisme, les aménagements touristiques restent en Algérie très ponctuels et en décalage avec la demande réelle de la population. La volonté de l’Etat algérien de faire du tourisme balnéaire une activité génératrice de richesse dans l’objectif d’atténuer la dépendance de l’économie au secteur des hydrocarbures, rencontre beaucoup de difficultés telles la question des enjeux fonciers et les dysfonctionnements entre les outils d’aménagement et ceux de protection de la nature. Dans cet article, l’objectif est, à travers le cas du littoral mostaganemois, d’analyser l’évolution des dispositions institutionnelles en matière du tourisme balnéaire et de leurs mises en œuvre sur le terrain toute en analysant les spécificités du contexte socioéconomique et naturel à une échelle locale. The seaside tourism plays a fundamental role in the economic development of the Mediterranean countries. Temperate climate, sandy beaches and natural coastal landscape are the support to this new activity. If in many countries such as Spain, Morocco, Tunisia and France, etc., the tourism development is diffused over a wide area of the coast, it remains very limited phenomenon in Algeria and out of step with real request of the population. The will of the Algerian state to make of the seaside tourism a generative financial activity with the objective to limit the dependence of the energy income, faced many difficulties such land issues and dysfunctions between development tools and those of nature protection.In this article, the objective is, through the case of the Mostaganem coast, to discuss the evolution of the institutional capacities regarding the seaside tourism and his implementation on the ground while analyzing the specifities of socioeconomic and natural context in a local scale. Algérie Monstaganem Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.9305 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/9305 | Partager |
Ecotourism Challenges: the Case Study of Sainte-Anne Commune (Martinique, FWI) Auteur(s) : Theng, Sopheap Tatar, Corina Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Sustainable tourism and ecotourism open new perspectives in tourism due to renewed approaches, another review of resources, other relationships between tourists and hosts. After noting the range of possibilities regarding ecotourism, the objective of this study is to highlight tourism issues in the municipality of Saint-Anne (south of Martinique) - the main tourism municipality of the island. The municipal team runs a voluntary program of sustainable development aiming to inserting tourism into a more global development of the municipality. From theory to practice in the field, the challenges are important in this municipality which is dominated by traditional seaside practices which intends to emphasize ecotourism models. Le tourisme durable et l’écotourisme ouvrent de nouvelles perspectives dans le champ du tourisme en soutenant des approches renouvelées, une autre relecture des ressources, d’autres rapports entre les touristes et les sociétés hôtes. Dans le cadre de cette étude, après avoir souligné le champ des possibles en matière d’écotourisme, l’accent est mis sur les enjeux touristiques dans la commune de Sainte-Anne (sud de la Martinique) ; la principale commune touristique de l’île. L’équipe municipale y mène un programme volontaire de développement durable qui vise à insérer le tourisme dans un développement plus global de la commune. Du discours à la conduite des opérations sur le terrain, les défis sont importants dans cette commune dominée par des pratiques balnéaires classiques qui entend mettre en avant des modèles écotouristiques. Martinique Sainte-Anne Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.10209 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/10209 | Partager |
De “Turistas” y “Viajeros” en el mundo trasnacional: retos, desafíos y problemas del turismo cultural-patrimonial Auteur(s) : Lacarrieu, Mónica Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : En el contexto actual, en el que la Organización Mundial del Turismo vaticina el constante incremento del turismo, se habla, con más frecuencia que antes, del turismo cultural. Algunos especialistas especulan que el “turismo de/con identidad” –como también se lo denomina- viene avanzando por sobre el “turismo de sol y playa”. Sin embargo, la visión cuantitativista suele prevalecer respecto de la cualitativista, al mismo tiempo en que se consolidan ciertas naturalizaciones, como la relación estrecha que se ha establecido entre turismo cultural y patrimonio –particularmente en los últimos años, con el patrimonio “inmaterial”-. Es nuestro interés en este artículo, desnaturalizar cierta visión y los “lugares comunes” que contribuyen en la desproblematización del campo y de la noción. Es nuestro objetivo reflexionar críticamente sobre qué es y qué se espera del turismo cultural, el lugar que se otorga al turismo cultural en relación a los niveles de trasnacionalización y localización, focalizando en su vínculo problemático con el patrimonio y sobre la noción de autenticidad, cualidad visualizada como requisito imprescindible e indiscutible en la definición tanto del turismo como del patrimonio cultural. Dicha problematización será realizada desde el análisis complejo de diversas situaciones empíricas vinculadas a América Latina. Dans le contexte actuel de pleine croissance des flux touristiques, le thème du tourisme culturel prend une place de plus importante. Certains experts pensent que le "tourisme identitaire" -comme on l'appelle parfois-, va connaitre un regain d'intérêt par rapport au classique tourisme balnéaire. Cependant, la vision quantitativiste emporte généralement sur l'approche qualitative. Dans le même temps, le rapprochement s'opère entre le tourisme culturel et le patrimoine -en particulier ces dernières années avec un «patrimoine immatériel».Notre intérêt, dans cet article, est de déconstruire une certaine vision, faite de "lieux communs", qui contribuent à vider ce champ de recherche de toute problématique. Notre objectif est de réfléchir de manière critique sur ce qu'est et ce qui est entendu par tourisme culturel, sur la place donnée au tourisme culturel selon les niveaux de transnationalisation, en se concentrant sur sa relation problématique entre le patrimoine et la notion d'authenticité ; une qualité perçue comme condition préalable indiscutable dans la définition à la fois le tourisme et le patrimoine culturel. Cette problématisation est conduite à travers l'analyse de situations empiriques variées et complexes d’Amérique latine In the current context of growing tourist flows, the theme of cultural tourism is an ever important. Some experts believe that the "identity tourism" -as it is sometimes called-, will attract renewed interest at the expense of traditional seaside tourism. However, vision quantitativist generally outweighs the approach qualitative.Dans the same time, there is a reconciliation that occurs between tourism and cultural heritage (especially in recent years with an "intangible heritage").Our interest in this article is to deconstruct a vision, made of "platitudes" where this field of research is then emptied of any problem. Our goal is to reflect critically on what is and what is meant by cultural tourism, the importance given to cultural tourism as the levels of transnationalism, focusing on the problematic relationship between wealth and the notion of authenticity, a quality seen as indisputable prerequisite in defining both the tourism and cultural heritage. This problematization is conducted through analysis of empirical situations varied and complex in Latin America. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.3792 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/3792 | Partager |
Valeur économique totale des récifs coralliens, mangroves et herbiers de la Martinique Auteur(s) : Failler, Pierre Pètre, Élise Maréchal, Jean-Philippe Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La Martinique possède 55 km2 de récifs coralliens, 50 d’herbiers et 20 de mangroves. Ces trois écosystèmes produisent des biens et services dont la valeur est estimée à quelque 250 millions d’euros par an. Près de 60 % de cette valeur est issue des usages directs liés aux activités récréatives (plongée, excursion, récréation balnéaire) induites pour l’essentiel par le tourisme et celles liées à la pêche (professionnelle et de plaisancière). Les services écosystémiques (assimilés aux usages indirects) tels que la protection des côtes, l’absorption/séquestration de carbone, la production de biomasse de poissons et l’épuration de l’eau sont conséquents puisque leur valeur annuelle s’élève à 94 millions € soit 38 % de la valeur totale. La valeur de ce qui a trait au non-usage des récifs, herbiers et mangroves (lié à la volonté de transmettre un patrimoine écologique pour l’essentiel ou encore à la satisfaction de savoir que les récifs sont en bon état) se traduit par une création de valeur de l’ordre de 10 millions €/an. Les herbiers et les mangroves contribuent le plus (par km2) à la création de valeur (respectivement 2,16 millions €/km2, 1,87 million €/km2 contre 1,78 million €/km2 pour les récifs). Ils doivent donc bénéficier de mesures de protection et surtout de valorisation au même titre que les récifs coralliens qui font déjà l’objet d’une attention particulière. Martinique possesses 55 km2 of coral reefs, 50 of sea grass and 20 of mangroves. These three ecosystems produce services for a value estimated at 250 millions € per year. About 60% of this value originates from directs uses such as recreational activities (diving, excursions, beach activities, etc.) induce by tourism and fishery. Ecosystem services (indirect uses) such as coastal protection, carbon sequestration, biomass production and water purification are significant since their sum value reaches annually 94 millions € (38% of the total economic value). Non-use value links to the improvement of the health of coastal ecosystem is estimated to 10 millions € per year. At the ecosystem level, sea grass and mangrove contribute the more (per km2) to the wealth creation (respectively 2,16 millions €/km2, 1,87 million €/km2 against 1,78 million €/km2 for the reefs). They need therefore to benefit from protection and management measures in the same magnitude than the reefs already received. Martinique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.4410 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/4410 | Partager |
Canarias: entre el desarrollo turístico y la protección al medio Auteur(s) : Guerra Talavera, Raquel Garcia, Tanausú Perez Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Las Islas Canarias, situadas en la región macaronésica, acogen ecosistemas terrestres y marinos de valiosa riqueza ecológica y paisajística, representativos de las áreas culturales y biogeográficas de su entorno; hasta el punto de albergar tres Reservas de la Biosfera reconocidas por la UNESCO. La diversidad y riqueza de este marco insular ya fue elogiada por grandes científicos como Alexander von Humboldt o Charles Darwin. Sin embargo, actualmente la presión ejercida sobre el medio por parte del desarrollo urbanístico y la industria turística, motor económico del archipiélago, pone en peligro estos frágiles ecosistemas; lo que ha generado un profundo debate entre crecimiento económico y turístico, y desarrollo sostenible y conservación. El presente artículo trata, desde una óptica divulgativa, de acercar al lector al medio que caracteriza las Islas Canarias e introducirlo en el marco donde se desarrolla parte importante de la actividad turística en España, uno de los países que más turistas recibe año a año. Les îles Canaries, situées dans la région de la ‘Macaronésica’ (l’Est de l’Océan Atlantique), abritent des écosystèmes marins et terrestres très précieux, tant du point de vue écologique que paysager. Ils sont représentatifs de les zones biogéographiques de sa région et comptent trois Réserves da Biosphère reconnues par l’UNESCO. De grands scientifiques comme Alexander Von Humboldt et Charles Darwin ont fait l’éloge de la richesse de la biodiversité de cet archipel. Cependant, actuellement, la pression anthropique, notamment en liaison avec le développement touristique et tous les enjeux économiques qui l’accompagnent, mettent en danger les écosystèmes des Canaries ; ce constat a ouvert un large débat sur les enjeux autour des développements économique et touristiques et leurs dérives. Notre article propose de mettre l’accent sur les caractéristiques des îles Canaries et de replacer les processus de développements touristiques dans leur contexte pour ouvrir la réflexion sur les conditions nécessaires pour d’un développement durable. The Canary Islands, located in the region of 'Macaronésica' (Este of Atlantic Ocean), are home to marine and terrestrial ecosystems very valuable, both ecological and landscape. They are representative of the bio-geographic zones of the region and there are three Biosphere Reserves da recognized by UNESCO. Great scientists such as Alexander Von Humboldt and Charles Darwin have praised the richness of the biodiversity of this archipelago. However, at present, anthropogenic pressure, including in relation to tourism development and all economic issues that accompany it, endanger ecosystems Canary Islands. This has opened a broad debate on the issues surrounding economic development and tourism and their excesses. Our article proposes to focus on the characteristics of the Canary Islands and put the process of tourist developments in their context to open reflection on the necessary conditions for sustainable development. Canaries Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.1302 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/1302 | Partager |
L’écotourisme forestier : pour un rapprochement entre tourisme et environnement à la Martinique Auteur(s) : Augier, Dominique Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’article propose une réflexion sur le positionnement touristique de la Martinique confrontée à une rude concurrence régionale. L’analyse porte sur les potentialités de cette petite île montagneuse (1128 km2) en matière d’écotourisme forestier. Cette nouvelle orientation touristique doit permettre d’enrichir une offre touristique qui se limite encore aux simples pratiques balnéaires. L’écotourisme peut aussi être un outil de gestion des ressources forestière et plus généralement il est susceptible de soutenir des activités dans les secteurs montagneux les moins développés de la Martinique. The article is an evaluation of the tourist situation in Martinique now facing stiff regional competition. The analysis focuses on the potential of this small mountainous island (1128 km2) in the area of forest ecotourism. This new focus is meant to enhance a tourist potential which is still largely limited to the seaside and its attractions. Ecotourism can also be a tool not only for forest resource management but also a means for promoting development initiatives in the less developed mountainous regions of Martinique. Martinique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.440 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/440 | Partager |
Caribbean Island Tourism: Pathway to Continued Colonial Servitude Auteur(s) : Wong, Alfred Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Tourism has been an important component of Caribbean island economy for more than three decades. The business model is based largely on the deployment of low-wage workers in destination surroundings which mimic the past colonial plantation era. Moreover, mass tourism has resulted in stretching the carrying capacity of some smaller island states to the limiting end. Large trans-national tourism corporations operating cruise ships and/or hotels are coercing sovereign governments to offer ever more fiscal concessions as incentives for business continuation. Additionally as the competition for tourism revenue is heightened by destinations outside the Caribbean, regional states are struggling to find new means to maintain and expand the tourism trade. Alternative tourism venues such as sex, gambling, tax evasion, medical, sports, culture and ecology are being implemented. Some of these offerings are indeed degrading to the people and their cultural tradition. And they do not improve the economic well-being of the people satisfactorily. A new strategy to replace classical as well as alternative tourism is urgently needed. Le tourisme est une activité essentielle dans l'économie des îles de la Caraïbe depuis plus de trois décennies. Le modèle économique repose en grande partie sur la présence d'une main-d'œuvre insulaire peu coûteuse qui s'inscrit dans le prolongement des économies coloniales construites sur les plantations. Le tourisme de masse rencontre des limites en matière de capacité de charge sur les plus petits Etats insulaires. Les grandes sociétés transnationales de tourisme qui contrôlent les bateaux de croisières ou les hôtels contraignent les gouvernements souverains à faire toujours plus de concessions fiscales. La concurrence entre les destinations de la Caraïbe est exacerbée par la concurrence internationale autour des revenus du tourisme. Les Etats de la région peinent à trouver de nouvelles ressources pour maintenir et développer le secteur du tourisme. Les offres alternatives, entre le sexe, le jeu, l'évasion fiscale, le médical, le sport, la culture et l'écologie sont mises en œuvre. Certaines de ces offres sont, en effet, dégradantes pour les personnes et leur tradition culturelle et n'améliorent pas le bien-être économique de la population de manière satisfaisante. Une nouvelle stratégie pour remplacer le tourisme balnéaire classique ainsi que le tourisme alternative du moment s'impose d'urgence. Caraïbes Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7524 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7524 | Partager |
Le Fahs d’Alger : une alternative pour la requalification du tourisme littoral ? Auteur(s) : Menouer, Ouassila Sahah Zerouala, Mohamed Dahmen, Abdelkarim Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Avec son ouverture sur le marché mondial, la ville d’Alger, ou El-Djezaïr, (capitale de l’Algérie), est devenue une destination importante pour le tourisme d’affaires. Par ailleurs, sa côte, riche en plages et en stations balnéaires, reste très convoitée par un tourisme, souvent, massif et destructeur de l’identité de son environnement. D’où l’intérêt de penser à une stratégie de développement touristique visant la protection de son littoral. L’objectif de la présente contribution est la requalification du tourisme littoral à Alger par la réinterprétation de la forme de plaisance et d’agrément qui y a existé avant 1830. Il vise, également, la mise en valeur de son patrimoine territorial : fontaine, résidences d’été, et ainsi que les chemins naturels qui ont, depuis les temps les plus reculés, relié le port de la ville à son arrière-pays.En effet, avant 1830, El-Djezaïr était dotée d’un « Fahs » : un territoire très célèbre par ses « djenanes » (une sorte de résidences d’été faisant face à la mer et dotées de fabuleux jardins). Les « djenanes », souvent, destinés à être des musées déserts, peuvent constituer un potentiel singulier pour la requalification du tourisme littoral d’Alger. L’une des alternatives possibles serait leur reconversion en structures d’accueil pour le tourisme d’affaires, culturel et d’agrément... La contribution présente le cas de la « la villa du traité », un lieu commémoratif de la capitulation de la ville d’Alger en 1830, classée monument historique en 2003. Dans le cadre de l’opération de restauration et de mise en valeur achevée en janvier 2014, la villa et son jardin, situés dans l’enceinte d’une annexe au centre hospitalier de Birtraria (Alger), ont été proposés pour abriter un centre d’éthique et un lieu de manifestations scientifiques nationale et internationale en médecine. With its opening on the world market, the city of Algiers, or El-Djezaïr, (capital of Algeria) has become an attractive destination for business tourism. Although, its coast, rich in beaches and seaside resorts, often undergoes a massive tourism that endangers its environment identity. Hence, it would be of first interest to set-up a touristic development strategy aiming the littoral safeguard. The main scope of this paper is the littoral tourism requalification in Algiers by reinterpreting the leisure and recreation facilities that existed there before 1830. Moreover, it focus on the valuation of its territorial heritage: fountains, summer residences, and mostly the natural paths that used to connect the city port to the hinterland since the earliest times.Indeed, before 1830, El-Djezaïr had its "Fahs”, a territory famous by its "djenanes": a kind of summer residences within fabulous gardens facing the sea. Often seemed like deserted museums, the "djenanes" could constitute a key opportunity coastal tourism requalification. One of the alternatives would be their reconversion into touristic structures for scientific, business, leisure and recreational tourism. The paper presents the case of “La Villa du Traité”, a commemorative place related to the capitulation of the city of Algiers in 1830. The place is proposed to become a center of ethics where national and international scientific events in Medicine could be held. Alger Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.10829 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/10829 | Partager |
Le développement touristique et l’occupation des espaces littoraux : quelles enjeux pour les territoires de la Petite Côte sénégalaise ? Auteur(s) : Diombera, Mamadou Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Cet article s’intéresse aux nouveaux usages et usagers du littoral de la Petite Côte sénégalaise. Il vise à mettre en évidence la dynamique territoriale actuelle de la station balnéaire de Saly Portudal et à analyser les mutations socioéconomiques et environnementales qu’elle entraîne. Les limites des politiques actuelles en matière de gestion du littoral imposent des prises de décisions urgentes et plus complexes, sur la base d’un partenariat élargi en vue d’inscrire les effets de ces politiques dans la durée.L’étude s’appuie sur une enquête réalisée au niveau de trois communes littorales, à savoir Saly Portudal, Somone et Nianing. À partir d’une quinzaine d’entretiens semi-directifs réalisés auprès de différents acteurs et usagers de cette portion du littoral, un questionnaire a été construit autour des caractéristiques sociodémographiques de ces derniers, de leurs pratiques et de leurs perceptions des risques côtiers. Il en ressort que les différents usages de l’espace littoral sont liés aux différentes expériences des populations concernées. Dès lors, la question centrale réside dans l’évaluation des conséquences de l’expansion de la station de Saly Portudal au détriment des quartiers traditionnels environnants, et dans la compréhension des multiples dimensions des conflits d’usage qui en découlent. This article focuses on new uses and users of the coast of Senegal’s Petite Côte. It aims to show the current dynamics of the resort of Saly and analyse the socio-economic changes and environmental all-out occupation of the coastal space guided by new principles of seaside tourism development.The study is based on a survey conducted in three coastal towns like Saly Portudal, Somone and Nianing. From fifteen semi-structured interviews with various stakeholders and users of the coast, a questionnaire was built around the socio-demographic characteristics of users, practices and perceptions of coastal risks. It shows that the different coastal areas of the uses are related to the different experiences of the populations concerned. Therefore, the question arises as to assess the consequences of the expansion of Saly on the surrounding traditional neighbourhoods to understand the multiple dimensions of conflicts of use resulting therefrom in order to resolve them. Petite-Côte Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.10778 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/10778 | Partager |
Towards a sustainable tourism in Menorca. Study on the consumption of natural resources in tourist areas Auteur(s) : Pérez-López, Marta Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Les îles sont devenues les principaux marchés mondiaux pour le tourisme balnéaire en profitant de leur richesse naturelle et culturelle. Dans le même temps, les îles sont des territoires fragiles avec des ressources limitées, raison pour laquelle un développement durable de l’activité touristique est une nécessité. L'étude de la consommation des ressources naturelles par le tourisme est une étape essentielle pour détecter les menaces que cette activité cause à l'environnement et donc la mise en œuvre de mesures plus durables. Dans cet article, nous analysons la consommation des ressources naturelles dans cinq régions touristiques de Minorque. Les données ont été recueillies auprès des fournisseurs, des établissements touristiques et au travail d’enquête terrain, ainsi cela nous a permis d'estimer la consommation d'eau et d'électricité, la production et la collecte des déchets pour les études de cas. Les consommations élevées d’eau et de déchets observés indiquent la nécessité d'entreprendre des actions. D'autre part, les résultats montrent que les coûts environnementaux les plus élevés proviennent des établissements touristiques fondés sur la faible densité de ménage. Islands have become world’s leading markets for sun and sand tourism taking advantage of their natural and cultural richness. At the same time, islands are fragile territories with limited resources, reason why a sustainable development of tourism is a necessity. The study of natural resources consumption by tourism is an essential step to detect the threats that this activity is causing to the environment and thus implement measures to go towards a more sustainable direction. In this article we analyze the natural resources consumption in five tourist areas of Menorca. Data were gathered from supplier companies, tourist establishments and through fieldwork, and allowed us to estimate water and electricity consumption, generation and collection of waste for the case studies. The high observed ratios of water consumption as well as waste generation and collection ratios indicate the need to undertake actions. The results showed the higher environmental costs of tourism settlements based on low density of household. Espagne Minorque Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6267 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6267 | Partager |
Dragons et lagons en Indonésie : tourisme et patrimoine sur l’île de Komodo Auteur(s) : Michel, Franck Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : En Indonésie orientale, entre l’île de Sumbawa et celle de Florès, se trouve le parc national de Komodo, du nom de la principale île habitée par les fameux varans, un superbe espace naturel désormais préservé par l’UNESCO et entouré de récifs coralliens. Quelques familles de pêcheurs, la plupart musulmans, peuplent ce petit archipel aujourd’hui prisé par les touristes internationaux pour ses dragons et ses lagons. En réalité, les varans géants de Komodo ne sont pas les derniers témoins de la préhistoire, mais d’énormes lézards, impressionnants, très photogéniques et parfois dangereux.Un endroit idéal pour s’adonner à une forme singulière de tourisme d’aventure, même s’il est aujourd’hui plus de masse que de niche. Entre une plage balnéaire et une balade en mini croisière, quelques dizaines de milliers de touristes annuels viennent approcher ces drôles de dragons qui effraient autant qu’ils fascinent les visiteurs. Aussi, promeneurs, baigneurs et excursionnistes se croisent — le temps d’un frisson bien encadré, il est vrai dans un décor de rêve — dans ce parc national, tous animés par les mêmes volontés et curiosité de « voir pour de vrai » cette créature étrange qui stimule notre imaginaire rempli de dinosaures. In eastern Indonesia, between the island of Sumbawa and Flores that, is the Komodo National Park, named after the main island where the famous lizards are found, a beautiful natural area now protected by UNESCO and surrounded by reefs coral. Some families of fishermen, most Muslims inhabit this small archipelago prized today by international tourists for its dragons and lagoons. In reality, the giant Komodo dragons are the last witnesses of prehistory but huge lizards, impressive, photogenic and sometimes dangerous.An ideal place to indulge in a singular form of adventure tourism, although it is now more mass than niche. Between a seaside beach and a leisurely mini cruise, tens of thousands of annual tourists come to approach these funny dragons that scare as they fascinate visitors. Also, walkers, swimmers and hikers cross - time for a well supported thrill, it is true in a dream setting - in this national park, all driven by the same desire and curiosity to "see for real" this creature strange that stimulates our imagination filled with dinosaurs. Indonésie Komodo Bali Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7577 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7577 | Partager |
The Costa Maya: Evolution of a Touristic Landscape Auteur(s) : Meyer-Arendt, Klaus J. Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : The Costa Maya is a vernacular coastal region of southeastern Quintana Roo (Mexico) and adjacent Ambergris Cay, Belize. As Mexico’s Caribbean coast suffered many growth pains associated with mass tourism development in Cancun and along the Riviera Maya, the Costa Maya by contrast was projected for more sustainable development including low-density housing and ecotourism. Development so far has been concentrated in Puerto Costa Maya, where a cruise ship pier and terminal were built in 2001. The nearby beach resort (balneario) of Majahual became dependent upon the 10-12 shiploads of tourists that descended upon it every week. In spite of big development plans, the more remote beaches of the Costa Maya cater to fewer, but well-heeled ecotourists and dive tourists. Hurricane Dean made landfall in August 2007 as a category-5 storm, and economic recovery only began in late 2008 when the cruise ship pier re-opened and Majahual rebuilt. As of late 2009, the cruise-ship traffic had still not recovered to pre-Dean levels, and a global recession coupled with swine-flu and drug violence scares has lowered U.S. tourism to Mexico. To what degree new tourism infrastructure such as an international airport at Tulum, a proposed causeway from Chetumal to the beach, and a new resort complex at Xahuayxel will stimulate tourism on the Mexican Costa Maya and eventually lead to a coastal highway link with San Pedro, Belize is still unknown. La Costa Maya est une région côtière du sud du Quintana Roo (Mexique), proche de l'îlet Ambergris au Bélize. Contrairement à la côte caribéenne du Mexique qui a souffert du développement du tourisme de masse à Cancun et le long de la Riviera Maya, la Costa Maya s'est orientée vers un développement durable avec notamment une faible densité de construction et le développement de l'écotourisme.Le développement s'est concentré autour de Puerto Costa Maya où un terminal de croisière a été construit en 2001. La station balnéaire (balneario) de Majahual est devenue dépendante des 10-12 bateaux de touristes qui débarquaient chaque semaine. En dépit d'importants plans de développement, les plages reculées de la Costa Maya accueillaient tout au plus des écotouristes aisés et du tourisme lié à la plongée sous-marine.Le cyclone Dean, de catégorie 5, a dévasté le paysage en août 2007 et le rétablissement économique n'a pu être entamé que fin 2008, après la réouverture du terminal de croisière et la reconstruction de Majahual. Fin 2009, le trafic de croisière n'a pas retrouvé son niveau d'avant Dean et la récession mondiale couplée avec la grippe porcine et les violences liées à la drogue ont fait diminuer le tourisme en provenance des Etats-Unis. On ignore à quel niveau les nouvelles infrastructures tels l'aéroport international de Tulum qui propose un itinéraire de Chetumal à la plage et le nouveau complexe hôtelier à Xahuayxel, stimuleront la Costa Maya mexicaine créant peut-être une autoroute côtière reliée à San Pedro au Bélize. Cancún Costa Maya Mexique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.3867 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/3867 | Partager |