Transports aux îles Baléares : enjeux et perspectives ; Transports aux îles Baléares : enjeux et perspectives ; Transports aux îles Baléares : enjeux et perspectives Auteur(s) : Forthoffer, Joël Forthoffer, Joël Forthoffer, Joël Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Université des Antilles et de la Guyane. Faculté des lettres et sciences humaine CNFG : Comité National Français de Géographie. Comission de géographie des transports AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Extrait de : "Transports et territoires insulaires" : colloque, les 4 et 5 avril 2011. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : Monsieur Forthoffer nous présente une étude originale sur le transport aux îles Baléares : des transports pour un tourisme durable. Une recherche réalisée autour de trois aspects, à savoir : le développement par le tourisme, la métropolisation de Majorque (l'île principale) et vers des transports raisonnés. Monsieur Forthoffer nous présente une étude originale sur le transport aux îles Baléares : des transports pour un tourisme durable. Une recherche réalisée autour de trois aspects, à savoir : le développement par le tourisme, la métropolisation de Majorque (l'île principale) et vers des transports raisonnés. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11024 V11024 V11024 V11024 | Partager Voir aussi Tourisme Transport Insularité Tourisme Transport Insularité Tourisme Transport Insularité Télécharger |
Le littoral martiniquais : panorama d'une crise. L'exemple de la baie du Marin Auteur(s) : Saffache, Pascal Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane. Faculté des lettres et sciences humaine Description : Un point, notamment, sur l'anthropisation de l'espace côtier et ses conséquences sur le littoral martiniquais(envasement, déforestation, pollution, érosion côtière etc). Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12108 V12108 | Partager |
Basse-Terre, 20 ans de label ville d'art et d'histoire Auteur(s) : Sandoz-Demonio Oriane Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe INRAP : Institut National de Recherches Archéologiques Préventives Extrait de : "La valorisation du patrimoine urbain dans les territoires antillais et guyanais" : journées d'étude, du 12 au 14 octobre 2016. Université des Antilles Description : La ville de Basse-Terre est sous convention avec le ministère de la culture depuis 1995 pour la mise en valeur de son patrimoine, par le label « Ville d'art et d'histoire ». En 2015 la ville a célébré les 20 ans de l'obtention de ce label. Basse-Terre a pu, durant ces 20 ans, développer des projets marquants : la réhabilitation et l'exposition des toiles de Georges Rohner, un vaste inventaire de son patrimoine, restitué sous la forme d'une publication : « Basse- Terre, patrimoine d'une ville antillaise » sous la direction de M E Desmoulins, des ateliers de création et de sensibilisation. La ville s'est dotée d'un espace d'interprétation destiné à la promotion de son label : la maison de l'architecture et du patrimoine. Situé au coeur du centre ancien, ancienne demeure de négociant du XIXe siècle, le site a bénéficié d'une restauration en 2002. L'avenir du label passe par le renouvellement de la convention prévu en 2017. De nombreux projets sont en cours : signalétique patrimoniale, exposition permanente, développement du tourisme patrimonial. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16280 V16280 | Partager |
Toward a New Tourism Policy in the French West Indies: The End of Mass Tourism Resorts and a New Policy for Sustainable Tourism and Ecotourism ; Hacia una nueva política turística en las Antillas francesas: el final de la misa complejos turísticos por una nueva política para el turismo sostenible y el ecoturismo ; Vers une nouvelle politique touristique dans les Antilles françaises: de la fin des stations touristiques de masse pour une nouvelle politique pour le tourisme durable et l'écotourisme Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Augier, Dominique Auteurs secondaires : Lieux, Identités, eSpaces, Activités (LISA) ; Université Pascal Paoli (UPP) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Centre de Recherche en Economie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience In this study, we propose to analyze the limits of mass tourism in the French Antilles, specifically the decline of tourism, economic limits, and ecological degradation). The recognition of these limits is overdue, and signals a need to define another model for tourism development.The popular coastal sector in the south of Martinique has been subject new regulations to protect marine resources. These regulations require the development of new practices and a greater level of awareness for tourists, for example, around coral reefs and mangroves. Ecotourism programs aim to demonstrate to visitors the forests rich natural resources and biodiversity in general. It also features the inclusion of small rural businesses that benefit from additional sources of revenue as a result of ecotourism.The situation in the French Antilles is complex: Urbanization is fraught with serious consequences for the coastline. Tourism products currently being marketed on the island are not competitive (particularly against the political dynamics of the neighbouring island of Dominica). Ecotourism and sustainable tourism are just beginning to develop in such destinations, where tourism has been declining in the last ten years. The situation of the French Antilles is paradoxical in a region that generally has a very favourable tourism. Assessing these limits through the scope of ecotourism helps to highlight the causes of these difficulties and to adapting to new tourism practices. En el contexto de este estudio, nos proponemos analizar los límites del turismo de masas en las Antillas Francesas (depreciación del turismo, las limitaciones económicas, ecológicas y las molestias). Este reconocimiento de esos límites está en el origen de la conciencia tardía de la necesidad de definir otro modelo de desarrollo turístico.En el sector costero de la más popular, como en el sur de Martinica, se pone en la normativa nuevo lugar para proteger los recursos marinos. Esto requiere el desarrollo de nuevas prácticas y la sensibilización de los turistas, por ejemplo, alrededor de los arrecifes de coral y los manglares.Programas en torno al ecoturismo también tienen como objetivo dar al visitante la riqueza de los recursos forestales y la biodiversidad en general. También incluye las pequeñas empresas rurales que reciben los nuevos ingresos a través del turismo.Pero la situación es compleja en las Antillas francesas: la urbanización está llena de importantes consecuencias para la costa. Productos turísticos que se comercializan actualmente no son competitivos (en particular, contra la dinámica política de la cercana isla de Dominica). Ecoturismo y desarrollo sostenible están empezando a desarrollar en este destino turístico, donde el turismo está en problemas en los últimos diez años.Esta situación es bastante paradójico en un turismo regional muy favorable. Sin lugar a dudas, pensando en el ecoturismo contribuye a identificar los destinos de estos retrasos y dificultades para adaptarse a nuevas prácticas de turismo. Dans le cadre de cette étude, l’accent est mis sur les limites du tourisme de masse dans les Antilles françaises (dépréciation du tourisme, les contraintes économiques et les nuisances écologiques). La reconnaissance de ces limites est à l'origine de la prise de conscience tardive de la nécessité de définir un autre modèle de développement touristique.Dans le sud de la Martinique, le secteur le plus populaire du littoral, de nouvelles règlementations sont mises en place pour protéger les ressources marines. Cela nécessite le développement de nouvelles pratiques et de sensibilisation des touristes notamment autour des récifs coralliens et les mangroves. Les programmes autour de l'écotourisme visent également à montrer aux visiteurs la richesse des ressources forestières et de la biodiversité en général. Il comprend également les petites entreprises rurales qui reçoivent de nouveaux revenus grâce au tourisme.La situation est complexe dans les Antilles françaises: l'urbanisation est lourde de conséquences importantes sur la côte. Les produits touristiques commercialisés actuellement ne sont pas compétitifs (notamment contre la dynamique politique de l'île voisine de la Dominique). L'écotourisme et le tourisme durable commencent tout juste à se développer dans ces destinations où le tourisme classique est en difficulté depuis une dizaine d’années ; situation assez paradoxale au regard du dynamisme de ce secteur d’activité dans la région. ISSN: 1779-0980 hal-01624756 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01624756 DOI : 10.4000/etudescaribeennes.5262 | Partager |
TOURISME-TRANSPORT : CAPACITY COORDINATION ; TOURISME-TRANSPORT : CAPACITÉ DE COORDINATION Auteur(s) : Marques, Bruno Auteurs secondaires : Centre de Recherche en Economie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : Two major findings emerge from the theoretical analysis of Transport-Tourism link via a game theory type model of capacity coordination. Firstly the model explains the optimal capacities ratio of Transport and Tourism by the quotient of the ratio of tourism type (ratio of the length of stay in the destination and of transport duration) divided by the installation costs ratio (of transport and tourism).The corollary of this first finding gives the second outcome: The optimal transport and Tourism profit ratio is the product of the ratio of the type of tourism by the index of overcapacity conditions (a non linear combination of installation costs, and durations). From these results, it follows an interpretive grid that allows, according to tourism types, firstly to identify the optimal overcapacities by the difference between installation costs; and secondly the equilibrium ratio of profits according to the overcapacity direction and the tourism types. Deux résultats ressortent de l’analyse théorique du lien Transport-tourisme via un modèle de coordination des capacités : l’expression et les déterminants des capacités et des profits optimaux relatifs du Transport et du Tourisme. L’article démontre que le rapport des capacités optimales de transport et de tourisme dépend du ratio comparatif de leurs coûts d’installation à celui inversé de leur poids relatif. Ce premier résultat a pour corollaire le second : le rapport d’équilibre des profits est le produit des indicateurs du type de tourisme (le ration des temps respectifs dans le transport et dans la destination) de la destination par celui identifiant les conditions de surcapacité relative. De ces résultats généraux, il suit une grille d’interprétation qui permet d’identifier d’abord le rapport optimal des capacités selon l’écart entre les coûts d’installation et le type de tourisme ; et ensuite le rapport d’équilibre des profits selon les sens des surcapacités relatives et le types de tourisme. https://hal.univ-antilles.fr/hal-01265798 Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01265798 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01265798 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01265798/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01265798/file/TOURISME-TRANSPORT%20-%20CAPACITY%20COORDINATION%20VERS%20FRANC.pdf | Partager |
" Nos ancêtres les Amérindiens ". La valorisation du patrimoine précolombien dans les Antilles Françaises Auteur(s) : Berard, Benoit Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Havard G. et M. Augeron Éditeur(s) : HAL CCSD Les Indes Savantes-Rivages des Xantons Résumé : International audience Les Antilles, lieu du premier contact entre Européens et Amérindiens, sont aujourd'hui un des centres majeurs du tourisme mondial. Il s'agit avant tout d'un tourisme balnéaire et de croisière. Cependant, la forte concurrence au niveau planétaire, et au sein même de l'archipel, a incité certaines îles à expérimenter d'autres formes de tourisme, en particulier le tourisme culturel. Dans les Antilles françaises le patrimoine amérindien, certes moins spectaculaire que celui présent dans les Grandes Antilles, a toutefois fait l'objet depuis les années 1930 d'une exploitation poussée, exceptionnelle même à l'échelle de l'archipel. Cette volonté de se présenter à autrui sous les traits d'un ancêtre aujourd'hui invisible ou quasi-invisible - l'Amérindien -, non seulement dans le paysage mais aussi dans les caractéristiques de la population, ne peut que surprendre. Faut-il voir dans la précocité de ce phénomène une conséquence lointaine des liens privilégiés qu'entretenaient Français et Amérindiens durant la période de contact ? Rien n'est moins sûr. La mise en valeur du patrimoine amérindien dans les Antilles françaises est plutôt à mettre en relation, comme on va le voir, avec l'évolution de la place occupée par ce pan de l'histoire dans le discours identitaire antillais. Un continent en partage. Cinq siècles de rencontres entre Amérindiens et Français Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess ISBN : 978-2-84654-356-9 hal-00968430 https://hal.univ-antilles.fr/hal-00968430 https://hal.univ-antilles.fr/hal-00968430/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-00968430/file/Nos_ancA_tres_les_amA_rindiens.pdf | Partager |
La vidange du barrage de Pareloup (Aveyron) : les incidences touristiques d'un événement insolite Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Auteurs secondaires : Biodiversité, Risques Écologiques dans les Territoires Caraïbes Insulaires (BIORECA - UMR ESPECE DEV) ; Université des Antilles (Pôle Martinique) ; Université des Antilles (UA) - Université des Antilles (UA) Lieux, Identités, eSpaces, Activités (LISA) ; Université Pascal Paoli (UPP) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Centre de Recherche en Economie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : International audience Le développement du tourisme en milieu rural revêt un intérêt croissant. Depuis le milieu des années 1980, cet espace est reconsidéré, il enregistre désormais 25% des nuitées touristiques de l'Hexagone. En effet, le tourisme est une source de revenus directe pour le monde rural, et il paraît une activité économique facilement maîtrisable au niveau local ne nécessitant pas d'investissements trop lourds.Le Lévézou présente une expérience originale : dans cet espace à dominante agricole, la réelle vocation touristique a été introduite assez récemment par la création d'importantes retenues d'eau destinées en tout premier lieu à la production d'énergie. Depuis une vingtaine d'années, les activités touristiques se sont progressivement développées.L'édification de ces barrages s'est révélée être un atout vital à partir duquel de nouvelles activités ont vu le jour. On peut remarquer aussi que l'utilisation touristique dure depuis assez longtemps pour que les riverains soient peu à peu amenés à oublier qu'elle n'est pas présente depuis toujours. Ils considèrent que ces plans d'eau font maintenant partie du paysage naturel. C'est dans ce contexte que doit intervenir, au cours de la saison 1993, la vidange du lac de Pareloup, cinquième retenue hydro-électrique de France par sa superficie et moteur du développement touristique du Lévézou. Géo-Centre-Ouest, Poitiers hal-01405794 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01405794 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01405794/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01405794/file/1993%20la%20vidange%20du%20barrage%20de%20Pareloup.pdf | Partager |
TRANSPORT-TOURISM: CAPACITY COORDINATION ; TOURISME-TRANSPORT : CAPACITE DE COORDINATION Auteur(s) : Marques, Bruno Auteurs secondaires : Centre de Recherche en Economie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : Two major findings emerge from the theoretical analysis of Transport-Tourism link via a game theory type model of capacity coordination. Firstly the model explains the optimal capacities ratio of Transport and Tourism by the quotient of the ratio of tourism type (ratio of the length of stay in the destination and of transport duration) divided by the installation costs ratio (of transport and tourism).The corollary of this first finding gives the second outcome: The optimal transport and Tourism profit ratio is the product of the ratio of the type of tourism by the index of overcapacity conditions (a non linear combination of installation costs, and durations). From these results, it follows an interpretive grid that allows, according to tourism types, firstly to identify the optimal overcapacities by the difference between installation costs; and secondly the equilibrium ratio of profits according to the overcapacity direction and the tourism types. Deux résultats ressortent de l’analyse théorique du lien Transport-tourisme via un modèle de coordination des capacités : l’expression et les déterminants des capacités et des profits optimaux relatifs du Transport et du Tourisme. L’article démontre que le rapport des capacités optimales de transport et de tourisme dépend du ratio comparatif de leurs coûts d’installation à celui inversé de leur poids relatif. Ce premier résultat a pour corollaire le second : le rapport d’équilibre des profits est le produit des indicateurs du type de tourisme (le ration des temps respectifs dans le transport et dans la destination) de la destination par celui identifiant les conditions de surcapacité relative. De ces résultats généraux, il suit une grille d’interprétation qui permet d’identifier d’abord le rapport optimal des capacités selon l’écart entre les coûts d’installation et le type de tourisme ; et ensuite le rapport d’équilibre des profits selon les sens des surcapacités relatives et le types de tourisme. https://hal.univ-antilles.fr/hal-01265818 Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01265818 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01265818 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01265818/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01265818/file/TRANP-TOUR.pdf | Partager |
Autour du paradigme d’écotourisme Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Transler, Anne-Laure Auteurs secondaires : Lieux, Identités, eSpaces, Activités (LISA) ; Université Pascal Paoli (UPP) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Centre de Recherche en Economie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience Ecotourism provides an original conceptual framework that enables approaches to development that are better able to provide a more equitable distribution of income, as well as better organized and thought through initiatives which are more likely to promote a holistic sustainable local development. With somewhat less negative impact than normal tourism, considerably less that mass tourism, ecotourism can encompass nature tourism, cultural tourism, scientific exploration, and even outdoor sports... A definition of ecotourism should take into account the following six points: 1/ nature and culture, 2/ the welfare of the host community, tourists acting responsibly, 3/ participation by the local community, 5 / sustainability , 6/ promotion of cultural exchanges. L’écotourisme ouvre un cadre conceptuel original qui permet d’envisager des démarches renouvelées de développement à partir des revenus issus de consommations touristiques mieux réfléchies et organisées, susceptibles de soutenir des initiatives de développement local s’inscrivant dans un projet global de développement durable. Variante douce du tourisme, loin du tourisme de masse, le champ de l’écotourisme s’étend aux confins du tourisme de nature, du tourisme culturel et des pratiques scientifiques et sportives de plein air. Une définition de l’écotourisme peut être proposée à partir des six points suivants : 1/ nature et culture, 2/ le bien-être des sociétés hôtes, 3/ des touristes responsables, 4/ la participation des sociétés hôtes, 5/ la durabilité, 6/ l’art de la rencontre. ISSN: 1779-0980 hal-01624739 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01624739 DOI : 10.4000/etudescaribeennes.414 | Partager |
Patrimoine culturel festif et tourisme : une interaction en question : Quelle stratégie pour la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane ? Auteur(s) : Nicolas-Bragance, Fabiola Auteurs secondaires : Antilles-Guyane Saffache, Pascal Résumé : La valorisation du patrimoine culturel, matériel et immatériel, trouve sa justification en tant que vecteur de différenciation, dans un contexte où le seul modèle touristique de type fordiste ne fait plus recette. Ce patrimoine dans lequel l’homme place du subjectif, des référents culturels et affectifs, voire même des symboles, serait donc à considérer comme une ressource, un vecteur de distinction des territoires, tant il est pourvoyeur d’authenticité. Ainsi, lorsqu’il joue un rôle de marqueur identitaire, le patrimoine peut-être mobilisé par les acteurs impliqués dans le développement local qui ont le souci de se démarquer et de mettre en avant leurs ressources les plus spécifiques, à des fins de développement économique.Les ressources culturelles festives, à l’image des carnavals antillais et guyanais et du Tour des yoles rondes de la Martinique, en plus de montrer un lien entre une identité locale, des traditions et un lieu, confèrent de la lisibilité et de la transparence aux territoires qu’elles investissent. Les fêtes locales sont, en effet, des formes spatiales vectrices de territorialité qui donnent à voir des formes d’enracinement et d’attachement aux lieux. C’est d’ailleurs la « cristallisation collective » (Jeudy, 2008) qui se joue autour de ces manifestations patrimoniales festives, qui contribue à leur conférer de la consistance ainsi qu’une non négligeable valeur marchande. A n’en point douter, elles ont la faculté d’établir la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane dans le cadre de la distinction, de l’attractivité et de la compétitivité. Néanmoins, n’est ce point utopique de croire, que la valorisation du patrimoine culturel festif des départements étudiés pourrait significativement participer à asseoir la pérennisation du tourisme ? En effet, l’organisation de la fête, surtout lorsqu’elle a une dimension identitaire poussée à son paroxysme, peut conduire au repli d’une société localisée sur elle-même. Partant de ce postulat, la rencontre entre touristes et populations locales peut s’avérer compromise, alors même que ces manifestations culturelles disposent de nombreux atouts à même de satisfaire un public touristique en quête d’authenticité et de vacances divertissantes. Cette rencontre est-elle souhaitée par les uns et les autres ? Est-elle seulement souhaitable ? Le patrimoine culturel festif peut-il sous-tendre une vraie activité touristique, tout en demeurant le garant d’une certaine stabilité sociale ? La prudence ne voudrait-elle pas qu’il faille plutôt craindre la menace qui pèse sur les biens culturels devenus trop rapidement des produits touristiques ?En réalité, les relations sont complexes entre une culture mise en fête et le développement du secteur touristique. Faut-il pour autant les considérer comme un « pari de l’inutile » (Lazzarotti, 2011) ?Le tourisme doit continuer à se penser comme un secteur économique indispensable au développement local, dans une perspective de durabilité. C’est d’ailleurs à ce titre que le volet social du développement durable trouve sa place au cœur même de notre réflexion, tant il constitue une composante majeure de ce que devrait être un produit touristique attractif et adapté aux substrats locaux. C’est ainsi que cette thèse explore et approfondit la problématique de la mise en relation entre un secteur touristique à pérenniser, et le riche patrimoine culturel festif dont disposent la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane. Ce travail de recherche poussent encore un peu plus loin la réflexion autour du développement de pratiques touristiques renouvelées et durables. Enhancement of cultural heritage, both tangible and intangible, is justified as a vector of differentiation, in a context where the only tourist Fordist model no longer recipe. Heritage in which man instead of subjective, cultural and emotional referents and even symbols, would be regarded as a resource, a vector distinction territories, as it is provider of authenticity. Thus, when a role marker of identity , heritage can be mobilized by the actors involved in local development that have the desire to stand out and highlight their most specific resources for economic development purposes . festive cultural resources, like the Caribbean and Guyanese carnivals and Tour round skiffs from Martinique, in addition to showing a link between a local identity, traditions and place , give the clarity and transparency territories they invest . Local festivals are indeed of vector spatial forms of territoriality that give rooting see shapes and place attachment. This is also the "collective crystallization" (Jeudy, 2008) that plays around these festive heritage demonstrations, which helps give them substance and a significant market value. A no doubt, they have the ability to establish Guadeloupe, Martinique and Guyana as part of the award, the attractiveness and competitiveness. However, this is unrealistic enough to believe that the enhancement of cultural heritage festive departments surveyed could significantly participate in sit sustainability of tourism? Indeed, the organization of the party, especially when it has a dimension of identity pushed to its limits, can lead to the decline of localized on society itself. Based on this assumption, the encounter between tourists and local populations may be compromised, even though these cultural events have many assets to satisfy even a tourist public in search of authenticity and fun holiday. This meeting it is desired by each other? Is it just desirable? The festive cultural heritage may underlie it a real tourist activity, while remaining a guarantor of social stability? Prudence does not she want that rather we should fear the threat to cultural property became too quickly tourism products? Actually, relationships are complex between a culture festival setting and development of the tourism sector. Should we all be regarded as a "bet the useless" (Lazzarotti, 2011)? Tourism must continue to think as an essential local economic development sector, with a view to sustainability. It is also for this reason that the social pillar of sustainable development finds its place at the heart of our thinking, as it is a major component of what should be an attractive tourism product adapted to local substrates. Thus this thesis explores and deepens the problem of linking between tourism to sustain, and the rich cultural heritage festive available Martinique, Guadeloupe and Guyana. This research push a little further reflection on the development of tourism practices renewed and sustained. http://www.theses.fr/2013AGUY0703 | Partager |
Système d’acteurs et gestion littorale aux Antilles Auteur(s) : Desse, Michel Auteurs secondaires : Migrations internationales, espaces et sociétés (MIGRINTER UMR 7301) ; Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Université de Poitiers Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience L’attrait généralisée des rivages et les pratiques qui les accompagnent ont entraîné des mutations des paysages et des écosystèmes. Dans le cadre étroit des îles, les milieux fragiles ne sont guère extensibles et souvent fractionnés. Les mutations récentes qui affectent les îles sont souvent irréversibles car les écosystèmes menacés n’ont pas toujours la taille suffisante pour reconquérir une zone. Avec la destruction d’un récif, c’est parfois l’unique espèce d’une variété de corail qui disparaît. La gestion et la préservation sont alors nécessaires. Elles doivent s’inscrire dans la durée et en lien avec les populations locales pour sauvegarder aux générations futures, ce cadre de vie qui nous y attire aujourd’hui.La mauvaise compréhension des mécanismes propres aux zones côtières se traduit souvent par des approches sectorielles et fréquemment à courte vue de l’aménagement. L’implantation d’un port de plaisance, d’un terminal à conteneurs peuvent entraîner des modifications du milieu et générer de nombreux conflits. Il est donc nécessaire de bien prendre en compte les principes élaborés par l’UNESCO pour le développement durable des zones côtières, principes qui renforcés dans le cadre étroit des petites îles.- Comprendre que l’aménagement des ressources côtières renouvelables revêt une importance stratégique pour le développement social et économique, et est donc rentable.- Reconnaître la nécessité de maintenir l’intégrité du système côtier et limiter l’exploitation des ressources côtières.- Elaborer des stratégies d’aménagement intégré autorisant des utilisations multiples des ressources côtières, intégrant des activités complémentaires et séparant nettement les activités ponctuelles.- Combiner un aménagement à grande échelle (niveau régional, international) avec un aménagement ciblé pour créer une réserve ou réhabiliter un écosystème dégradé.- Faire participer la population au processus de planification pour assurer l’efficacité des plans d’aménagement de la zone côtière.Les acteurs du littoral sont nombreux et leur capacité à intervenir dans sa protection et pour sa meilleure gestion, est variée selon l’intensité des pratiques de l’acteur isolé, du groupe de professionnels ou de l’association, du gestionnaire représentant l’Etat, de l’élu. La prise de conscience des atteintes des milieux et la nécessité du développement durable sont aujourd’hui généralisées dans toutes les îles. Le développement durable s’efforce de répondre aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs. Les différents Etats multiplient les campagnes d’information à la télévision et dans la presse sur le développement durable, la nécessaire préservation, la lutte contre la pollution et contre la dégradation paysagère, la nécessité de respecter des normes architecturales (style, couleur, matériaux). Les particuliers identifient bien les problèmes : moins de poissons, des prises de petite taille, la mort de coraux, le trop grand nombre de pêcheurs, la pollution mal maîtrisée, le mitage progressif des paysages. Cependant, en fonction des niveaux de développement, la prise de conscience des dégradations ne débouche pas forcément sur une implication personnelle. Il est difficile de se sentir acteur participatif à la dégradation des écosystèmes insulaires. ISSN: 1779-0980 hal-01174352 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01174352 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01174352/document https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01174352/file/acteurs%20de%20l%27environnement.pdf | Partager |
Les villes et la mer dans la Caraïbe ; entre paupérisation et gentrification Auteur(s) : Desse, Michel Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Migrations internationales, espaces et sociétés (MIGRINTER UMR 7301) ; Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Université de Poitiers Jean Bernabé et Serge Mam Lam Fouck Éditeur(s) : HAL CCSD Ibis Rouge Editions Résumé : International audience La liaison entre les villes de la Caraïbe et la mer semble banale et évidente. Le Malécon de La Havane, ce long boulevard battu par les vagues, haut lieu de sociabilité, ou encore la vieille ville de San Juan de Puerto Rico sont les modèles des liens qu’entretiennent les grandes villes antillaises et la mer.Pourtant les contre-exemples sont tout aussi nombreux. A Port-au-Prince, le bord de mer est devenu au fil des années de misère le dépotoir d’une ville incontrôlable. Dans les Petites Antilles, les fronts de mer s’artificialisent et se séparent des villes par des parkings, des boulevards et des enrochements ou des murs de protection comme à Roseau. Les nouveaux bassins portuaires et les nouvelles zones industrialo-portuaires sont construits en périphérie des capitales insulaires. Les fronts de mer connaissent donc depuis 20 ans des dynamiques territoriales spécifiques entre éloignement et réintégration dans les centres-villes, entre paupérisation et gentrification.Après avoir rappelé le temps de la fusion entre les villes et la mer, nous analyserons les causes de l’éloignement des ports et les formes d’occupation du littoral durant les années 1970. Les phénomènes de réhabilitation de certaines fonctions portuaires ciblées, essentiellement axées vers le tourisme de croisière et les phénomènes de gentrification qui les accompagnent permettront de dégager les nouvelles perspectives d’aménagement des fronts de mer. Mélanges offerts à Lucien Abenon, Sur les chemins de l’histoire antillaise hal-01202988 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01202988 | Partager |
Tourism Incognita: Experiencing the Liminal Edge of Destination Places Auteur(s) : Lew, Alan A. Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : In the age of European exploration, terra incognita referred to lands that were largely unknown to Europeans. In the world of contemporary tourism, tourism incognita refers to the lands and experiences that are largely unknown to the global mass tourism industry (tourism cognita). Tourism incognita includes specialty niche tourisms that operate on the edge and beyond of mass tourism, as well as the entire world of non-tourism places. Examples of tourism cognita and tourism incognita that are discussed include: Dubai and Oman’s Musandam Peninsula, Cambodia’s Angkor Wat and the Tonle Sap, and the scuba diving destination of Manado on the Indonesian island of Sulawesi. Tourism incognita is shown to be vital to the success of the tourism economy because the places and experiences of tourism incognita are part of the imagination that drives the decision and desire to travel to a distant land. À l'ère de l'exploration européenne, la terra incognita faisait référence aux terres alors largement inconnues des Européens. Dans le monde du tourisme contemporain, le tourisme incognita se renvoie aux terres et aux expériences qui sont en grande partie inconnues de l'industrie du tourisme de masse globale (tourisme cognita). Tourisme incognita comprend des créneaux touristiques spécialisés qui opèrent sur les marges du tourisme de masse, ainsi que l'ensemble du monde dela non-lieu touristique. Des exemples de tourisme et le tourisme cognita incognita traités sont: Dubaï et Oman Musandam Peninsula, Angkor wat au Cambodge et du Tonlé Sap et la destination de Manado plongée sous-marine sur l'île indonésienne de Sulawesi. Tourisme incognita est révélée déterminante pour le succès de l'économie touristique parce que les lieux et les expériences de tourisme incognita font partie de l'imaginaire qui entraîne la décision et le désir de voyager dans un pays lointain. Cambodge Dubaï Indonésie Oman Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5232 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5232 | Partager |
Les villes de la Caraïbe et la mer Auteur(s) : Desse, Michel Auteurs secondaires : Migrations internationales, espaces et sociétés (MIGRINTER UMR 7301) ; Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Université de Poitiers Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience « Des villes hautes s'éclairaient sur tout leur front de mer et par de grands ouvrages de pierre se baignaient dans les sels d'or du large. … C'est brise de mer à toutes portes et mer à bout de toutes rues, c'est brise et mer dans nos maximes et la naissance de nos lois » Saint-John Perse, Amers La liaison entre les villes de la Caraïbe et la mer semble banale et évidente. Le Malécon de La Havane, ce long boulevard battu par les vagues, haut lieu de sociabilité, ou encore la vieille ville de San Juan de Puerto Rico sont les modèles des liens qu'entretiennent les grandes villes antillaises et la mer. Pourtant les contre-exemples sont tout aussi nombreux. A Port-au-Prince, le bord de mer est devenu au fil des années de misère le dépotoir d'une ville incontrôlable. Dans les Petites Antilles, les fronts de mer s'artificialisent et se séparent des villes par des parkings, des boulevards et des enrochements ou des murs de protection comme à Roseau. Les nouveaux bassins portuaires et les nouvelles zones industrialo-portuaires sont construits en périphérie des capitales insulaires. Les fronts de mer connaissent donc depuis 20 ans des dynamiques territoriales spécifiques entre éloignement et réintégration dans les centres-villes, entre paupérisation et gentrification. Après avoir rappelé le temps de la fusion entre les villes et la mer, nous analyserons les causes de l'éloignement des ports et les formes d'occupation du littoral durant les années 1970. Les phénomènes de réhabilitation de certaines fonctions portuaires ciblées, essentiellement axées vers le tourisme de croisière et les phénomènes de gentrification qui les accompagnent permettront de dégager les nouvelles perspectives d'aménagement des fronts de mer. ISSN: 1779-0980 hal-01174354 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01174354 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01174354/document https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01174354/file/villes%20et%20mer.pdf | Partager |
Haïti: des littoraux en sursis Auteur(s) : Desse, Michel Auteurs secondaires : Migrations internationales, espaces et sociétés (MIGRINTER UMR 7301) ; Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Université de Poitiers Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience L’inégalité économique est dans un rapport de 1 à 50 entre les PNB par habitant d’Haïti et des Etats-Unis. Cette faiblesse économique est liée à la faible productivité agricole, à l’absence de matières premières et d’industries et à l’instabilité des différents régimes politiques. La société repose sur une majorité de pauvres. Dans ces conditions le rapport à l’environnement est très différent de celui que l’on trouve dans le reste des Antilles à niveau de vie plus élevé.Pour le Haïtien, le milieu est un moyen de production qui peut être utilisé dans l’immédiat. C’est ce milieu dans sa globalité qui est alors exploité; le sous-sol pour la construction, le sol quand il existe pour l’agriculture, les arbres pour le charbon de bois ou les poteaux de construction et quand la faim persiste : les eaux littorales. Il n’existe aucune limite à l’exploitation des écosystèmes. La misère se vit à l’instant. L’idée de protection durable n’a pas de sens en période de crise. Les pressions exercées par les populations littorales sont diverses et d’intensité variée. Ces atteintes aux milieux littoraux et marins augmentent et couvrent des étendues croissantes.Les littoraux supportent ainsi un grand nombre d’activités ; les unes sont liées à la mer (la pêche, le cabotage), les autres reposent sur l’exploitation de la bordure terrestre (l’extraction de matériaux, l’exploitation des mangroves et l’agriculture, le tourisme). ISSN: 1779-0980 hal-01174348 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01174348 | Partager |
The discursive and political use of sustainable development in the Caribbean. ; La mise en discours et en politique du développement durable dans l’espace caraïbe Auteur(s) : Daniel, Justin Auteurs secondaires : LC2S - Laboratoire Caribéen de Sciences Sociales ; Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Université des Antilles (Pôle Martinique) ; Université des Antilles (UA) - Université des Antilles (UA) Éditeur(s) : HAL CCSD EDP Sciences Résumé : International audience This paper reports the first outcomes of a research program “Environment and Sustainable Development in the Caribbean space” co-funded by the European Union, the Région Martinique and the Université des Antilles et de la Guyane under the European Union operational programme 2007-2013. Since the middle of the last century, the Caribbean countries, regardless of their great diversity and political fragmentation, are faced with the recurring problem of development. Having explored different paths, they are looking now for new development models. This challenge which becomes obsessive over the decades, is now a major concern: indeed, the Caribbean territories are per se vulnerable and highly exposed to natural risks due to climate change. In addition, this relates to areas where tensions between exploitation and conservation of a rich biodiversity are particularly strong. Based on the promotion of tourism and services as part of an “open regionalism” at the intersection of global and local scales of public action, the current development strategies give rise to a dual approach with, however, rather mixed results: on the one hand, a discursive use of sustainable development, apprehended through its environmental dimension, evidences a new way of looking at the region and a change in the way the region sees itself; on the other hand, a political use of sustainable development through cross-cutting policies, is hindered by the complexity of structures, the multiple levels of action and regulation, and the difficult appropriation of public-policy organization by local communities and people. Cet article rend compte des premiers résultats d’un programme de recherche « Environnement et développement durable dans l’espace caraïbe » cofinancé par l’Union européenne, la région Martinique et l’Université des Antilles et de la Guyane dans le cadre des programmes opérationnels européens 2007-2013. Il montre que les territoires de la Caraïbe, après avoir exploré plusieurs voies en matière de développement, privilégient désormais des stratégies axées sur le tourisme et les services. S’inscrivant dans un « régionalisme ouvert » au croisement des échelles globale et locale d’intervention en matière d’action publique, ces stratégies débouchent sur une double démarche aux résultats contrastés : d’un côté, une mise en discours du développement durable, appréhendé notamment à travers sa dimension environnementale, témoigne d’un changement de regard sur la région et de celle-ci sur elle-même ; de l’autre, une mise en politique du développement durable à travers des dispositifs à caractère transversal, se heurte à la complexité des structures, à la multiplicité des échelles d’intervention et de régulation ainsi qu’à la difficile appropriation desdits dispositifs par les populations locales. ISSN: 1240-1307 Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01675012 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01675012 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01675012/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01675012/file/NSS_La%20mise%20en%20discours.pdf DOI : 10.1051/nss/2015043 | Partager |
Aires protégées, gestion participative des ressources environnementales et développement touristique durable et viable dans les régions ultra-périphériques Auteur(s) : Breton, Jean-Marie Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Le tourisme est souvent présenté comme l’un des instruments d’un développement durable, même s’il connaît une expansion difficilement maîtrisable, au détriment du patrimoine environnemental, insulaire et littoral en particulier, comme dans les DOM-TOM.Le tourisme a des impacts, culturels et sociaux notamment, sur l’environnement. Les ressources du patrimoine alimentent de leur côté la demande et l’offre touristiques. Un tourisme assis sur une gestion ad hoc des ressources du patrimoine constitue un facteur puissant de durabilité du développement local. La soumission de l’activité touristique aux exigences de protection, de conservation et de gestion reproductible de la biodiversité et du patrimoine naturel, dans les aires protégées de la Caraïbe française en particulier, génère des approches, des stratégies et des comportements nouveaux. La démarche écotouristique appelle une gestion participative et intégrée des ressources et des espaces, et constitue un défi pour les opérateurs du tourisme comme pour les acteurs de l’environnement, et une opportunité de « réappropriation » de leur milieu de vie par les populations locales. Il faut alors en clarifier le concept et les implications ; puis en analyser les objectifs et les enjeux dans une perspective de développement durable. Tourism often appears as one a tool for a sustainable development, even if it is not easy to control, in the détriment of island and costal environment heritage, as in French overseas regions. Besides the cultural and social impacts of tourism upon environment, the heritage resources nuture the touristic request and offer. If based on an appropriate management of those resources, it may be a strong incentive for local sustainable development. The respect of protection, conservation and sustainable management of biodiversity and natural resources by tourism, especially in the overseas regions of French West Indies, produces new approaches, strategies and behaviours. The ecotourism approach, calling for a joint and integrated management of resources and areas, is a challenge for tour operators as for environment actors, and brings local population an opportunity to reappropriate their life environment. Its concept and implications must then be clarified, before analysing its aims and stakes regarding sustainable development Caraïbes Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.3560 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/3560 | Partager |
Du tourisme de masse au tourisme rural au Maroc : le cas de la commune rurale d’Asni Auteur(s) : Daghri, Taoufik El Omari, Soukaina Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Le tourisme de masse ayant déjà démontré ses limites et fait l’objet de critiques et d’indignation de la part des associations internationales de la protection de l’environnement cède peu à peu sa place au tourisme durable. Ce dernier tient compte de la protection de l’environnement et de la sauvegarde des richesses naturelles en offrant aux touristes des produits purement bio et des cultures tout à fait originales.Dans un contexte connu par sa complexité, vu les inégalités environnementales et sociales que connaît le Maroc, et pour remédier ce déséquilibre des acteurs économiques, des locaux dans la majorité des cas, ont opté pour des investissements touristiques dans les milieux ruraux. Ainsi des établissements touristiques ruraux commencent à prendre de l’ampleur, visant à consolider la notion du tourisme durable avec ses produits artisanaux locaux, ses variétés culinaires régionales et ses folklores saisonniers aux traditions bien enracinées. Mais ces actions sont-elles en mesure d’assurer un avenir prometteur à ces établissements ruraux, sans l’intervention de l’État qui a un rôle primordial à jouer en la matière de la formation et la qualification des ressources humaines dans le secteur du tourisme ; une formation pour préserver l’environnement et les ressources naturelles et donner un nouvel élan au tourisme rural dont la modernité demeure une référence essentielle.Par la beauté naturelle de leurs sites, la qualité de leurs aliments, le comportement clair et limpide de leurs personnes, les établissements d’hébergements touristiques ruraux marocains attirent déjà un nombre significatif de touristes qui viennent à l’origine pour un séjour de deux ou trois jours et prolongent souvent à une semaine séduits par la qualité du séjour. Eau pure, qualité de l’air, richesse culturelle, autant d’atouts qui justifient le soutien de ce genre de tourisme qui inspire notre enquête au niveau de la commune rurale d’Asni. It is high people admitted that mass tourism has its limits as there have been consequences. Indeed several NGOS as well as international organizations aiming at the protection of the environment see that this destructive or harmful tourism is losing ground it is being substituted or replaced by eco-friendly tourism. This latter target the preservation of mother earth as well as its natural resources by providing a new type of tourism labeled rural tourism whose first and paramount objective is providing tourists with organic products. This green or rural tourism tries at all cost to promote artistic commodities, authentic cultures and purely traditional folk.Rural tourism is actually expecting more prosperity and progress but on condition that the local authorities and the government cooperate more to give a push to this kind of business via a perfect or division of human resources. Rural tourism represent a new image of modern tourism that aims to protect the environment and diversity. From the beauty of the natural land scape, the quality of the food served, the professionalism of the staff members the touristic accommodation units based in Moroccan countryside manage to attract a significant number of tourists, who often come for 2 or 3 days prolong their stay for a week for having fond a deep pleasure. The water is pure, the atmospheric air is filtered, the cultural wealth is vast, it is therefore appropriate to sustain and support this kind of tourism that inspires our investigation at the rural town of Asni. Maroc Asni Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7638 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7638 | Partager |
Le mouvement rastafari : dans les palaces de Babylone ? Auteur(s) : Gadet, Steve, Auteurs secondaires : Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Université des Antilles Gilbert Elbaz Éditeur(s) : HAL CCSD Publibook Résumé : International audience The article explores the influence of capitalism on the ideology and the cultural aspects of the Rastafarian movement in the Caribbean and in North America. Record labels have had a strong influence on the spreading of Rastafarian faith and on the music that rose from the movement. In Jamaica, Rastafarianism is a powerful touristic magnet. Tourist coming to Jamaica and hoping to discover its roots are bringing tangible resources to the economy of the island. I'm looking into the impact of these economic forces on the movement in Jamaica. Finally, I focus on the evolution of the most significant aspect of the movement since it became international during the seventies. L'essai examine l'impact de la logique capitaliste sur le mouvement rastafari. Nous considérons particulièrement l'influence des maisons de disque sur l'idéologie et la musique des artistes rasta. Le mouvement rastafari et le reggae exercent un attrait touristique for en faveur de la Jamaïque. Nous analysons les conséquences de ce phénomène sur la dynamique du rastafarisme sur l'île. Lire, traduire, écrire la culture. A la croisée des Cultural Studies et des Postcolonial Studies ISBN : 9782342042153 hal-01380193 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01380193 | Partager |
Organización espacial del turismo de cruceros en México Auteur(s) : Martínez, Claudia Inés Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Au cours des vingt dernières années, l'industrie des croisières au Mexique a apporté des changements importants qui découlent des tendances mondiales actuelles, d'un meilleur positionnement sur le marché, pour l'adoption généralisée de politiques nationales de promotion du tourisme croisière et pour la réforme radicale du système portuaire national qui a permis l'entrée de la participation privée dans les investissements des infrastructures, de gestion et d'exploitation des ports. Dans ce contexte, on a redéfini l´organisation spatiale du tourisme de croisière avec de nouveaux ports d´arrivée, des itinéraires variés à partir de différents ports d´origine et d’escales plaçant le Mexique en tête des destinations mondiales de l’industrie des croisières. Ainsi, l'objectif de cet article est d'examiner les conditions qui ont conduit à la dynamique spatio-temporelle du tourisme de croisière dans le pays à travers un examen critique de la nouvelle géographie régionale du tourisme de croisière au Mexique. The cruise industry in Mexico has had significant changes stemming from current global trends during the last two decades. This has been due to its favorable and strategic geographical position in the market, its warm climate and proximity to the United States. Hence there has been a major relevance towards adopting national tourism policies as well as reforming the national port system allowing the entrance of private investment infrastructure, cruise terminal management and operation. The spatial organization of cruise tourism destination ports in Mexico has been redefined in this context. That is to say, there are new home ports, new routes and ports of call that have placed the country as a world’s leading destination for cruise ship arrivals. Therefore, the aim of this paper is to examine the conditions which have led the spatio-temporal dynamics into a critical review of the new regional geography of cruise tourism in Mexico. En las dos últimas décadas el sector de los cruceros turísticos en México ha presentado profundos cambios, derivados de las tendencias globales, de un mayor aprovechamiento de su favorable condición geográfica dentro del mercado, por una mayor incorporación de la actividad en las políticas turísticas nacionales y por la profunda reforma del sistema portuario nacional que posibilitó el ingreso de la participación privada en la inversión de infraestructura, gestión y operación de terminales de cruceros. En este contexto se ha redefinido la organización espacial del turismo de cruceros con nuevas rutas que articulan diferentes puertos de origen y escalas que han posicionado a México como destino líder mundial en arribo de cruceros. De esta forma, el objetivo del presente artículo es examinar las condiciones que han propiciado la dinámica espacio-temporal del turismo de cruceros en el país, que conduzca a una revisión crítica de la nueva geografía regional de los cruceros turísticos en México. Mexique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5077 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5077 | Partager |