Renégocier l'appartenance : citoyenneté culturelle transnationale dans le roman "The Swinging Bridge" de Ramabai Espinet ; Renégocier l'appartenance : citoyenneté culturelle transnationale dans le roman "The Swinging Bridge" de Ramabai Espinet ; Renégocier l'appartenance : citoyenneté culturelle transnationale dans le roman "The Swinging Bridge" de Ramabai Espinet Auteur(s) : Solbiac, Rodolphe Solbiac, Rodolphe Solbiac, Rodolphe Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Citoyenneté culturelle et mémoire collective dans la Caraïbe et ses diasporas" : journée d'étude, le 18 avril 2013. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : "Cette communication s'articule autour de la problématique suivante : Quelle relation peuvent entretenir un texte littéraire Caribéen diasporique avec la question de la citoyenneté culturelle ? Rodolphe Solbiac explique d'abord la citoyenneté culturelle en s'appuyant sur la définition de Renato Rosaldo. "La citoyenneté culturelle concerne les aspirations des personnes occupant une position sociale minorée quant à leur perception dans la société. Et elle se caractérise, elle se manifeste par des actions qui consistent à utiliser l'expression culturelle pour revendiquer aussi bien la reconnaissance que l'accès aux droits."" "Cette communication s'articule autour de la problématique suivante : Quelle relation peuvent entretenir un texte littéraire Caribéen diasporique avec la question de la citoyenneté culturelle ? Rodolphe Solbiac explique d'abord la citoyenneté culturelle en s'appuyant sur la définition de Renato Rosaldo. "La citoyenneté culturelle concerne les aspirations des personnes occupant une position sociale minorée quant à leur perception dans la société. Et elle se caractérise, elle se manifeste par des actions qui consistent à utiliser l'expression culturelle pour revendiquer aussi bien la reconnaissance que l'accès aux droits."" Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13149 V13149 V13149 V13149 | Partager |
La conservation du patrimoine culturel immatériel (Partie1) Auteur(s) : Alupki, Tasikalé Mouzard, Thomas Norino, Ady Apalai Waiana, Arinaware De Cassia Ribeiro, Simone Lourens, Erienne Wajãpi, Tapajona Graça Estavao, Reginaldo Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Rencontres transfrontalières Oyapock, les 1er et 2 décembre 2012. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'adoption par l'UNESCO en 2003 de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a officialisé une rupture dans la notion de patrimoine et a contribué à instaurer de nouvelles dynamiques au sein des groupes ethniques et culturels du monde entier. Sur le plateau des Guyanes, où les traces patrimoniales immatérielles se distinguent par leur importance et leur diversité, de nombreux acteurs oeuvrent à la conservation et à la valorisation du patrimoine intangible. C'est à travers les exemples des expressions orales et graphiques wayãpi, du rituel maraké et d'autres, que nous aborderons la question du patrimoine culturel immatériel : les différentes manières de le préserver et de le valoriser ainsi que les conséquences de cette valorisation. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13108 V13108 | Partager Voir aussi Patrimoine immatériel Conservation Valorisation Oralité Préservation Patrimoine culturel Guyane Française Suriname Brésil ; Télécharger |
Caribe africano ou la redéfinition de la "mémoire assignée" dans la création, culturelle de Blas Jiminez Abreu Auteur(s) : Ngom, Mbare Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ECMEA : Etudes Croisées des Mondes Européens et Américains CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Terres promises, représentations et imaginaires" : colloque, du 25 au 27 novembre 2015. Université des Antilles Description : Cette communication se propose d'examiner, dans la production culturelle du journaliste, professeur d'université, essayiste et poète afro-dominicain Blas Jiménez, le processus de récupération et de ré-articulation de ce que Victoria Lavou a appelé « la mémoire assignée », comme stratégie d'affirmation d'identité culturelle et ethnique dans un espace topographiquement, politiquement et économiquement fragmenté comme l'est la Caraïbe. Partant de l'« afrorealismo », concept analytique et théorique proposé par le critique et écrivain costaricain Quince Duncan, ce travail tentera d'examiner comment Blas Jiménez Abreú, s'appuie sur un projet littéraire, lyrique, fragmenté du point vue typographique pour recréer et décrire un espace caribéen fragmenté et, au passage, articuler une plateforme discursive dont l'objectif est d'inscrire l'africanité et la transafricanité dans la caribeñidad (culturelle y géographique). Le projet culturel de Jiménez Abreú ouvre un espace de réflexion et d'expression à la transafricanité présent/absent, visible/invisible selon les vicissitudes de l'histoire de la République Dominicaine. Pour cette étude nous utiliserons les textes suivantes : Caribe africano en despertar (1984), Exigencias de un cimarrón en sueños (1987) y El nativo (1996). Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16216 V16216 | Partager |
Table 4 : importance politique et esthétique du carnaval à Trinidad dans la pièce "Drums and colors" de Derek Walcott Auteur(s) : Viala, Fabienne Noel-Ferdinand, Malik Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "L'Université face aux grands défis guyanais et amazoniens" : table ronde, le 12 février 2015. Université de Guyane Description : Session 2 intitulée "Le carnaval : un objet culturel et politique" de la table-ronde sur "Cultures et patrimonialisation" par Fabienne VIALA, directrice du Centre for Caribean studies de l'Université de Warwick. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15257 V15257 | Partager Voir aussi Questions identitaires Théâtre Chanson Expression artistique Carnaval Mouvement social ; Trinité-et-Tobago Télécharger |
L'Atelier 45 ou les prémices d'une défragmentation artistique en Martinique Auteur(s) : Kirchner-Blanchard, Catherine Auteurs secondaires : Lefrançois, Frédéric Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles Tropiques Atrium Scène national - Martinique Extrait de : "Rendre hommage à l'Atelier 45" : conférence, le 15 octobre 2016. Université des Antilles Description : Sociologue et Doctorante à Paris 3 Sorbonne Nouvelle/ Université des Antilles. Sa recherche porte sur la sociologie de l'art et de la culture, les représentations collectives, la violence symbolique, les stratégies de valorisation, la production d'oeuvres et la réception des publics. Elle présente le contexte de l'émergence de l'Atelier 45. Selon elle, le développement politique, socio-économique et culturel de l'île s'inscrit dans une succession dramatique spécifique : une situation coloniale entraînant des restrictions physiques et spirituelles, un interdit de représentation figurative qui contraint fortement l'expression de la création picturale et sculpturale, une période d'occupation sous Vichy au cours de laquelle l'Amiral Robert mit le pays sous coquille, (...). Au moment où l'Europe connaît les exactions de la seconde guerre mondiale, la Martinique voit en cette épreuve le signe de l'affaiblissement du Vieux Monde et l'opportunité de se penser de manière autonome. L'introspection chez les artistes martiniquais va conduire à l'affirmation du déictique de la première personne, du désir de soi, de la force d'Éros, sublimée en art. À la vision apocalyptique du monde, l'Atelier 45 va opposer celle de la création, célébrer la vie à travers la représentation réaliste de l'entour et adopter une vision constructive de son monde à travers la « défragmentation » dans l'art. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16312 V16312 | Partager |
Les enjeux politiques de la sauvegarde du patrimoine dans le développement économique : une analyse politique de la Convention de l'UNESCO et de ses amendements. Auteur(s) : Lavoie, Marie Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le développement économique prend en compte seulement la croissance du PIB. En intégrant le capital culturel, naturel, il a été ajouté le bien-être économique et le bien-être humain. C'est ainsi qu'est né à l'initiative de l'UNESCO : la Liste du patrimoine mondial, la Convention sur la biodiversité, la Déclaration sur la diversité culturelle, la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel, la Convention sur la protection et la promotion des diversités des expressions culturelles... Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12008 V12008 | Partager |
Les années 2000 ou le virage patrimonial du revivalisme français dans la musique et la danse traditionnelles ; Les années 2000 ou le virage patrimonial du revivalisme français dans la musique et la danse traditionnelles ; Les années 2000 ou le virage patrimonial du revivalisme français dans la musique et la danse traditionnelles Auteur(s) : Charles-Dominique, Luc Charles-Dominique, Luc Charles-Dominique, Luc Auteurs secondaires : Khatile, David Khatile, David Khatile, David Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines LEO : Laboratoire d'Ethnomusicologie et d'Organologie CIRCPLES : Centre Interdisciplinaire Récits, Cultures, Psychanalyse, Langues Et Sociétés CIRIEF : Centre International de Recherches Interdisciplinaires en Ethnomusicologie de la France Extrait de : "Signature performancielle et construction identitaire" : journées d'étude, les 24 et 25 mai 2011. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : Monsieur Luc Charles-Dominique nous présente un axe de recherche sur l'étude des processus de patrimonialisation dans le domaine des musiques et danses traditionnelles en France. Il nous présente en particulier l'étude de la FAMDT : la Fédération des Associations de Musiques et Danses Traditionnelles. Créé en 1985, ce réseau regroupe une centaine d'associations et de fédérations d'associations travaillant dans le secteur des musiques et des danses de tradition orale. En 2006, le Ministère de la Culture et de la Communication a mis en oeuvre une convention pour la sauvegarde du Patrimoine Culturel Immatériel (PCI) incluant les traditions et expressions orales, les arts du spéctacle, les évènements rituels, festifs, les savoirs, les pratiques et les techniques artisanales traditionnelles. Monsieur Luc Charles-Dominique nous présente un axe de recherche sur l'étude des processus de patrimonialisation dans le domaine des musiques et danses traditionnelles en France. Il nous présente en particulier l'étude de la FAMDT : la Fédération des Associations de Musiques et Danses Traditionnelles. Créé en 1985, ce réseau regroupe une centaine d'associations et de fédérations d'associations travaillant dans le secteur des musiques et des danses de tradition orale. En 2006, le Ministère de la Culture et de la Communication a mis en oeuvre une convention pour la sauvegarde du Patrimoine Culturel Immatériel (PCI) incluant les traditions et expressions orales, les arts du spéctacle, les évènements rituels, festifs, les savoirs, les pratiques et les techniques artisanales traditionnelles. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12038 V12038 V12038 V12038 | Partager |
La conservation du patrimoine culturel immatériel (Partie2) Auteur(s) : Wajãpi, Tapajona Fremaux, Céline Goguillon, Bertrand Graça Estavao, Reginaldo Guigui, Catherine Labonte, Berchel Lourens, Erienne Mouzard, Thomas Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Rencontres transfrontalières Oyapock, les 1er et 2 décembre 2012. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'adoption par l'UNESCO en 2003 de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a officialisé une rupture dans la notion de patrimoine et a contribué à instaurer de nouvelles dynamiques au sein des groupes ethniques et culturels du monde entier. Sur le plateau des Guyanes, où les traces patrimoniales immatérielles se distinguent par leur importance et leur diversité, de nombreux acteurs oeuvrent à la conservation et à la valorisation du patrimoine intangible. C'est à travers les exemples des expressions orales et graphiques wayãpi, du rituel maraké et d'autres, que nous aborderons la question du patrimoine culturel immatériel : les différentes manières de le préserver et de le valoriser ainsi que les conséquences de cette valorisation. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13109 V13109 | Partager Voir aussi Patrimoine immatériel Conservation Préservation Valorisation Oralité Patrimoine culturel Guyane Française Brésil Suriname ; Télécharger |
Art et Artisanat : authenticité, propriété intellectuelle (Partie 2) Auteur(s) : Lacaisse, Patrick Doorson, Ken Ateni, Joseph Miranda, Andelie Othily, Arthur Abonnenc, Mathieu Jungurman, Remy Kapiten Ngwete, Abelli Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Museu Paraense Emilio Goeldi (Belém) Stichting Surinaams Museum (Paramaribo) Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Journées du patrimoine. "Patrimoines partagés : rencontres transfrontalières", le 17 septembre 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le thème de cet atelier trouve son origine dans les propos de Magda Adjasie : dans son atelier de Paramaribo, cette styliste saamaka crée depuis une quinzaine d'années des pangi dont elle retrouve de (mauvaises) copies sur les marchés du Guyana et de Sainte-Lucie. De son côté, le Musée des cultures guyanaises souhaiterait nouer des relations avec des artistes et artisans vivant en Guyane, auxquels il serait régulièrement passé commande de pièces « originales » proposées à la vente dans sa boutique du 54 rue Madame Payé, à Cayenne. Mais que recouvrent ces notions d'originalité et d'authenticité, souvent rattachées à la « tradition », concept complexe et ambigu qui renvoie trop vite à des expressions immuables, répétitives ? Quelles sont les conséquences du passage d'un art « pour soi » à un art destiné à la vente, à un marché débordant les frontières de son groupe culturel ? Le processus de reconnaissance de l'art tembe en Guyane pourra nous aider à mieux comprendre les enjeux, les écueils, et à tenter de formuler des réponses adaptées au contexte local, débordant le cadre strict de la législation (OMPI). Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12022 V12022 | Partager |
Le tourisme scientifique, un après-tourisme en Patagonie ? Auteur(s) : Bourlon, Fabien Bourdeau, Philippe Michel, Franck Inostroza, Gabriel Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Sur fond de crise du tourisme au Nord, de la globalisation de l’économie et de l’accélération des mobilités, une évolution des formes de développement touristiques semble à l’œuvre dans les confins géographiques. Dans certains territoires touristiques du fait de conflits dans l’usage des ressources naturelles, des pratiques récréatives alternatives émergent qui combinent une logique économique avec des préoccupations socio-environnementales.Notre article analyse l’apparition du tourisme scientifique dans la région « non-touristique » de Aysén, en Patagonie chilienne. Des acteurs d’un territoire se mobilisent selon des pôles culturels et des axes thématiques autour de projets pilotes, de recherche expérientielle et de médiations scientifiques innovantes. Sur ce front pionnier, un réseau informel d’acteurs coordonne ses actions pour aborder les problématiques sociales et environnementales de leur territoire. Opérateurs et prestataires pour le tourisme scientifique créent de manière participative une offre originale. Un système touristique alternatif, axé sur la protection de l’environnement, de la culture et des dynamiques sociales de la communauté d’accueil, favorise l’acquisition et le partage de savoirs entre scientifiques, acteurs locaux et visiteurs.Le tourisme scientifique s’inscrit-il dans une évolution globale des pratiques touristiques ? En proposant de dépasser les frontières, entre activités récréatives et le travail, de lieux de vie et de loisir, il apparaît comme l’expression d’un « après-tourisme ». L’hybridation des pratiques, une approche scientifique associée à l’esprit de la découverte inhérent au voyage, semble pouvoir relever des défis sociétaux liés à l’essor d’un tourisme globalisé. Alors que le tourisme est pensé depuis longtemps en termes de transfert de compétences, de modèles et d’ingénierie du Nord vers le Sud, une périphérie propose de nouveaux cadres de pensée, d’action et de participation qui renouvellent le sens du voyage. In the context of a tourism crisis in the north, a globalized economy and an increase of mobility, a change in the forms of tourism development seems to occur in peripheral areas. In some tourism areas and due to conflicts over the use of natural resources, alternative recreational practices arise that combine economic needs and socio-environmental concerns.Our article analyzes the appearance of scientific tourism in the "non-tourist" region of Aysén, in Chilean Patagonia. Actors of a territory unite according to specific cultural poles and thematic axes through experiential research and innovative scientific mediation pilot projects. On this pioneer front, an informal network of stakeholders coordinates its actions to address the social and environmental issues of their territory. Operators and service providers for scientific tourism create an innovative offer in a participatory process. An alternative tourism system, focused on protecting the environment, the culture and social dynamics of the host community, promotes the acquisition and sharing of knowledge between scientists, local actors and visitors.Is scientific tourism part of a global evolution of tourism practices? By proposing to go beyond established boundaries, of recreational activities and work, everyday places and leisure areas, it appears as the expression of an “After-Tourism”. The hybridization of practices, a scientific approach associated with the spirit of the discovery inherent of the travel experience, seems to respond to the challenges of the community confronted to the rise of a globalized tourism. While tourism has always been thought of in terms of transfer of skills, models and engineering from the North to the South, a periphery offers new frameworks of thought, action and participation that renew the meaning of travel. En un escenario de crisis del turismo en los países desarrollados, de la globalización de la economía y del incremento de las movilidades, una evolución de las formas de desarrollo del turismo parece estar en marcha en los confines geográficos. En ciertos territorios turísticos, debido a los conflictos de uso de los recursos naturales, prácticas recreativas alternativas surgen que combinan una lógica económica con preocupaciones socio-ambientales.El presente artículo analiza el surgimiento del turismo científico en la región “no-turística” de Aysén en la Patagonia chilena. Actores del territorio se unen según polos y temáticas científicas, a través de proyectos pilotos, de investigación experiencial y mediaciones científicas innovadoras. En este frente pionero, una red informal se organiza para abordar las problemáticas sociales y ambientales de su territorio. Operadores y proveedores de servicios para el turismo científico crean de manera participativa una oferta novedosa. Un sistema turístico alternativo, basado en el cuidado del medio ambiente, de la cultura y de las dinámicas sociales del comunidad de acogida, favorece la adquisición y el intercambio de conocimientos entre científicos, actores locales y visitantes. ¿Será la aparición del turismo científico la expresión de una evolución global de las practicas turísticas? Al invitar a que sean sobrepasadas las fronteras, entre actividades recreativas y el trabajo, lugares de vida y sitios de esparcimiento, este se presenta como un “Pos-Turismo”. La hibridación de las prácticas, una aproximación científica asociada al espíritu de descubrimiento inherente del viaje, parece poder resolver los desafíos de nuestras sociedades vinculados al auge de un turismo globalizado. Cuando el turismo suele ser pensado desde hace mucho, como un proceso de transferencia de capacidades, de modelos y de ingenierías, del Norte hacia el Sur, una periferia propone nuevos marcos conceptuales, de acción y de participación, que renuevan el sentido del viaje. Patagonie Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11169 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11169 | Partager |
Art et Artisanat : authenticité, propriété intellectuelle (Partie 1) Auteur(s) : Tiouka, Alexis Soly, Elsol Jungurman, Remy Abonnenc, Mathieu Othily, Arthur Ateni, Joseph Miranda, Andelie Ruben Van der Bock, Steven Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Museu Paraense Emilio Goeldi (Belém) Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Stichting Surinaams Museum (Paramaribo) Extrait de : Journées du patrimoine. "Patrimoines partagés : rencontres transfrontalières", le 17 septembre 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le thème de cet atelier trouve son origine dans les propos de Magda Adjasie : dans son atelier de Paramaribo, cette styliste saramaka crée depuis une quinzaine d'années des pangi dont elle retrouve de (mauvaises) copies sur les marchés du Guyana et de Sainte-Lucie. De son côté, le Musée des cultures guyanaises souhaiterait nouer des relations avec des artistes et artisans vivant en Guyane, auxquels il serait régulièrement passé commande de pièces « originales » proposées à la vente dans sa boutique du 54 rue Madame Payé, à Cayenne. Mais que recouvrent ces notions d'originalité et d'authenticité, souvent rattachées à la « tradition », concept complexe et ambigu qui renvoie trop vite à des expressions immuables, répétitives ? Quelles sont les conséquences du passage d'un art « pour soi » à un art destiné à la vente, à un marché débordant les frontières de son groupe culturel ? Le processus de reconnaissance de l'art tembe en Guyane pourra nous aider à mieux comprendre les enjeux, les écueils, et à tenter de formuler des réponses adaptées au contexte local, débordant le cadre strict de la législation (OMPI). Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12021 V12021 | Partager |
Le « Blues de la canne et du coton » : étude comparative des fonctions socioculturelles du gwo-ka et du blues Auteur(s) : Gadet, Steve Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’article s’intéresse à l’interculturalité entre deux phénomènes culturels que sont le Gwo-ka et le Blues issus de la diaspora africaine aux Amériques. Le Gwo-ka est une expression culturelle née en Guadeloupe, île française située dans la mer des Caraïbes. Le Blues est également une expression culturelle née dans le sud des États-Unis. À partir de l’analyse de leur « matrice » sociohistorique, il s’agira de mettre en évidence les rapprochements entre les différentes fonctions socioculturelles. Nous tenterons de comprendre si la théorie de l’Atlantique Noir de Paul Gilroy, reliant les communautés afro-diasporiques du Nouveau Monde, est valable dans le cadre de notre sujet d’étude. The article deals with the intercultural exchanges between two cultural movements rooted in the African Diasporas. In Guadeloupe, a French island in the Caribbean, Gwo-ka was born on the plantation in the 17th century. Blues appeared in the southern United-States by the end of the 19th century. In order to illustrate the similarities between these two afro-diasporic cultural phenomena, the article first examines the economic and social factors that prompted their emergence. Second, it compares their socio-cultural functions within their respective communities. Using Paul Gilroy’s theory of the Black Atlantic, the article concludes with a questioning of his thesis within the framework of the present study. Caraïbes Guadeloupe États-Unis Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.4675 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/4675 | Partager |
1. Table ronde ; 2. Quelques mots ; 3. Conclusion Auteur(s) : Toumson, Roger Pageaux, Daniel-Henri Cassin, Laura Bessière, Jean Van Den Avenne, Cécile Auteurs secondaires : James-Raoul, Danièle Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles Extrait de : "Oralité, mondialité : la langue dans la littérature française et francophone" : colloque, du 11 au 13 février 2019. Université des Antilles Description : Étudier des ?uvres représentatives du contemporain comme du Moyen-Age et de la Renaissance, appréhender le champ d'étude du récit actuel comme du récit passé permet de saisir les enjeux de l'écriture dans la langue de l'Autre. Afin de penser les grandes évolutions esthétiques et culturelles des formes littéraires narratives actuelles, on peut aussi s'intéresser à cette forme particulière de discours qu'est la chanson d'expression française, l'art de la mélodie, une pratique du patrimoine qui permet une archéologie de la mémoire. L'influence de l'oralité et de son imaginaire renouvelle également la dramaturgie et le langage théâtral et féconde les possibilités scénographiques. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V19051 V19051 | Partager |
Pétanque in Pondicherry: postcolonial negotiation of national and cultural identities in global context ; La pétanque à Pondichéry : Négociation postcoloniale des identités nationales et culturelles en contexte mondialisé Auteur(s) : Ruffié, Sébastien Ferez, Sylvain Marcellini, Anne Auteurs secondaires : Adaptations au Climat Tropical, Exercice et Santé (ACTES) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Santé, Education et Situations de Handicap (SantESiH) ; Université de Montpellier (UM) Éditeur(s) : HAL CCSD L'Harmattan Résumé : International audience The pétanque is used here as a field to interrogate two aspects. Firstly, in a global context, how a cultural practice is modified. In Pondicherry, south of India, how this physical activity, which appeared after the French colonization, is integrated in indianization process? Secondly, that practice show us the links and exchanges that took part between French national of Tamil-Indian origin and Tamils-Indians people? One of the main questions is to understand how the postcolonial context influences their relations? Through the analysis of semi-directives interviews and the observation of the game pétanque for two years, this work shows how this activity represents a syncretism space in which cultural exchanges are realized. The pétanque appears as spaces where the different individuals with their cultural background are engaged in a symbolic compete. This global situation does not produce uniformity but cultural hybridization. Taking place in specific postcolonial context, the practice of pétanque allows expressing different socio-cultural identities between individuals of French and Indian nationality. La pétanque est ici utilisée comme un terrain d’étude pour interroger deux aspects. D’une part, dans un contexte mondialisé, la manière dont se transforme une pratique culturellement située. Dans le contexte indien de Pondichéry, de quelle façon cette pratique « sportive » parvenue après la colonisation, mais par l’intermédiaire de celle-ci, se trouve-t-elle prise dans un processus d’indigénisation ? D’autre part, quels rapports s’établissent entre les individus qui la pratiquent, à la fois Français d’origine tamoule et Indiens tamouls ? Surtout, comment le contexte postcolonial dans lequel s’inscrivent leurs identités et leurs pratiques pèse-t-il sur ces rapports ? À partir de l’analyse d’interviews semi-directifs d’acteurs et de l’observation de la pratique de la pétanque à Pondichéry durant deux années, cet article montre comment cette activité représente un espace syncrétique dans lequel se formalisent des échanges culturels. La pétanque apparaît ainsi comme un espace de mise en concurrence symbolique des individus représentant des espaces nationaux culturellement différents. Loin de produire des formes d’uniformité, la mondialisation produit ici des hybridations culturelles. Inscrite dans un contexte postcolonial spécifique, la pétanque donne lieu à l’expression de registres socioculturels divers dans les échanges entre individus de nationalité française et indienne. ISSN: 1165-0354 hal-01681876 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01681876 | Partager |
Bals parés-masqués et carnaval en Guyane. Le bal paré-masqué : une variante des bals masqués, une spécificité du carnaval Guyanais Auteur(s) : Belfort, Aline Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Le carnaval en Guyane est la manifestation festive la plus populaire. Il offre une lecture de la dynamique qui agit la société guyanaise, à travers ces deux fondamentaux : le carnaval diurne et le carnaval nocturne, différent mais complémentaire. Tous deux livrent un aspect festif... Carnaval nocturne réservé au bal paré-masqué, spécificité guyanaise variante des bals masqués, singularise par un rituel construit autour d'un personnage incontournable : le "touloulou". Origine et territorialisation du "touloulou" et du bal paré masqué : question récurrente est ce la Guyane, les Antilles française, anglaise ? Ayant tissé au temps de l'or des liens culturels. Étymologie du terme "touloulou", une hypothèque est posée. Expression aurait pour origine le mot "tourlourou" qui désigne populairement d'après le Littré le jeune militaire d'infanterie le soldat, ce fantassin portait un pantalon rouge... La même source précise encore que le mot "tourlourou" attribuée à des matelots à un petit crabe de terre rouge... Notons que le personnage carnavalesque comme le crabe, font tous deux références à une personne portant uniforme. L'origine du mot "touloulou" est bien lié à la Guyane et sa territorialisation date 1891. Noté que première référence écrite faite au "touloulou" date de 1891 dans le journal "La vigie" décrivant le carnaval. A cette époque, la Guyane est une société de tradition orale et l'emploi de cette expression dans le langage courant est certainement antérieur à l'écrit. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17160 V17160 | Partager |
The “Blues of the Cane and Cotton”: a Comparative Study of Social and CulturalFunctions of The Gwo-Ka and The Blues ; Diasporas protéiformes Le « Blues de la canne et du coton » : étude comparative des fonctions socioculturelles du gwo-ka et du blues Auteur(s) : Gadet, Steve, Auteurs secondaires : Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience The article deals with the intercultural exchanges between two cultural movements rooted in the African Diasporas. In Guadeloupe, a French island in the Caribbean, Gwo-ka was born on the plantation in the 17th century. Blues appeared in the southern United-States by the end of the 19th century. In order to illustrate the similarities between these two afro-diasporic cultural phenomena, the article first examines the economic and social factors that prompted their emergence. Second, it compares their socio-cultural functions within their respective communities. Using Paul Gilroy’s theory of the Black Atlantic, the article concludes with a questioning of his thesis within the framework of the present study. L’article s’intéresse à l’interculturalité entre deux phénomènes culturels que sont le Gwo-ka et le Blues issus de la diaspora africaine aux Amériques. Le Gwo-ka est une expression culturelle née en Guadeloupe, île française située dans la mer des Caraïbes. Le Blues est également une expression culturelle née dans le Sud des États-Unis. À partir de l’analyse de leur « matrice » sociohistorique, il s’agira de mettre en évidence les rapprochements entre les différentes fonctions socioculturelles. Nous tenterons de comprendre si la théorie de l’Atlantique Noir de Paul Gilroy, reliant les communautés afro-diasporiques du Nouveau Monde, est valable dans le cadre de notre sujet d’étude. ISSN: 1779-0980 Droits : http://creativecommons.org/licenses/by-nc/ hal-01379568 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01379568 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01379568/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01379568/file/etudescaribeennes-4675.pdf DOI : 10.4000/etudescaribeennes.4675 | Partager |
Postures et actions dans le jardin créole Auteur(s) : Anciaux, Frédéric Auteurs secondaires : Centre de recherches et de ressources en éducation et formation (CRREF) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Canopé Résumé : International audience Ce travail s’intéresse aux gestes et aux actions réalisés dans le jardin créole. L’objectif est de présenter une liste de phrases d’action relatives aux activités de jardinage, ainsi qu’à la réalité socioculturelle et linguistique de la Guadeloupe. Cette liste constitue un ensemble de mots et d’expressions en français et en créole, disponible et utilisable par les professeurs des écoles et les enseignants en Langue et Culture Régionales (LCR) en vue d’approches thématiques et pédagogiques autour du jardin créole. Le jardin créole est généralement considéré comme une petite étendue de terre sur laquelle se cultivent diverses espèces végétales manuellement à l'aide d'outils spécifiques. Telchid et Poullet (2000) le définissaient ainsi : « adan on sèl ti mòso tè ou ka touvé onlo éspès-kalité kilti planté ». Cet « espace jardin créole » (Degras, 2005), en tant que systèmes et modes de culture, est susceptible de servir de support pédagogique et écologique à l’école visant à mettre en valeur le patrimoine biologique, agricole, et culturel de la Guadeloupe. ISSN: 9782351900116 hal-01609289 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01609289 | Partager |
L'usage des plantes médicinales aux Antilles et en Guyane ; L'usage des plantes médicinales aux Antilles et en Guyane : Les remèdes anciens au fil du temps Auteur(s) : PAGNEY BENITO-ESPINAL, Françoise Dumont, Jacques Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Jacques Dumont et Françoise Pagney Bénito-Espinal Éditeur(s) : HAL CCSD Karthala Résumé : Ouvrage co-dirigé avec Jacques Dumont International audience Comment les « Rimèd razié » utilisés par les anciens (« Gran Moun »), ces éléments de la flore des Antilles et de la Guyane, employés comme « remèdes », pour soulager, guérir, maintenir en bonne santé, préserver des maléfices…, sont-ils devenus, au fil du temps, ces recours exclusifs ou, plus récemment, adjoints à la médication allopathique, dans nos sociétés antillo-guyanaises ? Comment, de « guérisseurs », selon des pratiques empiriques efficaces, savamment transmises de génération en génération, ces éléments de la flore constituent-ils de nos jours un potentiel exceptionnel de valorisation d’une biodiversité remarquable ? Comment aussi ces entités de la flore native ou introduite au fil des temps (de l’ère précoloniale à l’actuelle) sont-elles devenues, grâce aux bouleversements des moyens de diffusion, des marqueurs de la quête d’expression et de reconnaissance identitaire de nos sociétés antillo-guyanaises ?Cet ouvrage fait suite à une journée d’études publique organisée par le laboratoire de recherche universitaire AIHP-GEODE de l’université des Antilles et de la Guyane. En choisissant de réunir des points de vue d’horizons différents et de présenter des perpectives quelquefois simplement ouvertes, il espère contribuer à une connaissance réflexive sur les plantes médicinales et leur place dans nos sociétés. Il rappelle que le travail scientifique aujourd’hui ne peut se passer de regards et d’approches croisés, mais aussi des échanges avec un public le plus large possible. Car il s’agit moins ici de livrer des savoirs définitifs que de continuer un dialogue que chaque personne concernée peut contribuer à enrichir. Ce numéro 9 de Terres d’Amérique rassemble la contribution d’historiens, de spécialistes des sciences expérimentales sur les Plantes Aromatiques et Médicinales (PAM) , mais aussi laisse la parole à des acteurs qui se sont beaucoup impliqués dans la défense et la valorisation des PAM de nos territoires antillo-guyanais tels que Michel Grandguillotte, Jacques Portécop, Edouard Bénito-Espinal, et plus récemment, Emmanuel Nossin et Henry Joseph qui sont aujourd’hui encore, pleinement impliqués dans la défense et la valorisation de ce riche patrimoine naturel et socio-culturel. https://hal.univ-antilles.fr/hal-01540169 ISBN : 978-2-8111-1483-1 hal-01540169 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01540169 | Partager |