Éditeur(s) : EUTIC : le réseau international et interdisciplinaire pour les Enjeux et Usages des Technologies de l'Information et de la Communication
Extrait de : "Les écosystèmes numériques et la démocratisation informationnelle" : colloque, les 3 et 4 novembre 2015. Université des Antilles
Description : Cette communication s'inscrit dans la continuité d'un travail de recherche commun entre le chercheur et le conservateur de musée - lieu par excellence de la légitimité et de la légitimation- sur la dépossession hiérarchique et le partage des compétences, en forme de démocratisation du rapport à l'art, sous la pression du numérique et du web collaboratif. Il s'agira ici de percevoir de quelle manière, sous l'effet du net et des réseaux sociaux, notamment du financement participatif de projets, l'engagement et le poids des internautes font évoluer les circuits de la reconnaissance artistique. Cette recherche s'appuie sur une série d'entretiens avec des galeristes, des institutionnels, des commissaires d'exposition, des journalistes, tous acteurs traditionnels, sur le marché de l'art, de la reconnaissance artistique. Le cas du photographe Alain Laboile, dont la notoriété est totalement issue des réseaux sociaux et s'affirme actuellement comme légitime au musée, nous permettra d'associer la notion d'interdépendance sociale, telle que Norbert Elias la définit, pour mieux comprendre l'inscription de l'individu, de l'artiste, dans cette société en réseaux.
Siècle(s) traité(s) : 21
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V15403

Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines
Extrait de : "Citoyenneté culturelle et mémoire collective dans la Caraïbe et ses diasporas" : journée d'étude, le 18 avril 2013. Université des Antilles et de la Guyane
Résumé : "Cette communication s'articule autour de la problématique suivante : Quelle relation peuvent entretenir un texte littéraire Caribéen diasporique avec la question de la citoyenneté culturelle ? Rodolphe Solbiac explique d'abord la citoyenneté culturelle en s'appuyant sur la définition de Renato Rosaldo. "La citoyenneté culturelle concerne les aspirations des personnes occupant une position sociale minorée quant à leur perception dans la société. Et elle se caractérise, elle se manifeste par des actions qui consistent à utiliser l'expression culturelle pour revendiquer aussi bien la reconnaissance que l'accès aux droits.""
"Cette communication s'articule autour de la problématique suivante : Quelle relation peuvent entretenir un texte littéraire Caribéen diasporique avec la question de la citoyenneté culturelle ? Rodolphe Solbiac explique d'abord la citoyenneté culturelle en s'appuyant sur la définition de Renato Rosaldo. "La citoyenneté culturelle concerne les aspirations des personnes occupant une position sociale minorée quant à leur perception dans la société. Et elle se caractérise, elle se manifeste par des actions qui consistent à utiliser l'expression culturelle pour revendiquer aussi bien la reconnaissance que l'accès aux droits.""
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V13149
V13149
V13149

Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Association des Amis de l
Extrait de : "Chemins croisés de l'Inde" : conférence, le 3 mai 2016. Université des Antilles
Description : Augustin Brutus Jaykumar (Directeur et fondateur de l'Intercultural Network for Development and Peace -INDP) présente une réflexion sur son itinéraire, la construction de sa double culture (Indien et Français) et propose son regard sur sa culture, la reconnaissance de sa propre culture lorsqu'on est à l'extérieur et l'ouverture sur d'autres cultures. Il s'insiste sur le métissage et les valeurs universelles, propose de s'enraciner intelligemment en reconnaissant son passé en le mettant au service de l'endroit où l'on vit.

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V16115

Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines
Extrait de : "Criminalité, éducation et sécurité" : journée d'étude, le 28 mars 2014. Université des Antilles et de la Guyane
Description : Le capitaine Vgnocan propose de définir le terme "bande" comme une organisation criminelle. Bande organisée aux Antilles, gang aux Etats-Unis. La bande dispose d'une certaine structure hiérarchique. Un chef gère son groupe avec à ses côtés des lieutenants qui lui viennent en aide. Afin de mener à bien leurs actions criminelles, ils s'attribuent en général un territoire qu'ils s'emploient à défendre avec acharnement contre les forces de l'ordre et parfois leurs rivaux. Ils possèdent également des signes de reconnaissance pour procéder à leurs trafics.
Siècle(s) traité(s) : 21
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V14139
V14139

Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe
Extrait de : "La question de la gouvernance territoriale dans les régions et départements français d'Amérique" : journées d'étude, les 8 et 9 avril 2012. Campus de Troubiran
Description : La présentation porte sur le droit des indigènes et des marrons au Suriname. Ainsi, bien que les autorités locales soient reconnues, il n'y a pas d'adaptation des particularités dans la législation ni de mention dans la constitution. Les indigènes et les marrons revendique alors un droit des autochtones sur leurs terres, leurs cultures, leurs langues mais aussi sur l'éducation, l'emploi... Toutes la difficulté étant ainsi de ne pas tomber dans le folkorisme ni l'indépendance. C'est à dire de renforcer les traditions en se développant et de s'intégrer tout en affirmant leurs différences.
Siècle(s) traité(s) : 21
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V12218

Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe
Extrait de : "Rimed gran moun. Plantes et usages au fil du temps" : séminaire, le 15 décembre 2012. Université des Antilles et de la Guyane
Description : Joseph Henry commence par présenter son parcours qu'il met poétiquement en lien avec son intérêt pour la botanique. On découvre un parcours universitaire jalonné de rencontres déterminantes pour son avenir professionnel. Il aborde sa première tentative de commercialisation de produits issus de la pharmacopée traditionnelle. Une expérience qui se solde d'abord par un échec après s'être heurtée à la réalité d'un terrain, non préparé à recevoir cette nouvelle médication. Il relate ensuite le combat juridique auquel il a participé pour la réhabilitation et la reconnaissance de la pharmacopée caribéenne. Il en vient enfin à la création de phytobokaz, unité de production de phytomédicaments et cosmétiques qui assure la diffusion de produits de qualité, élaborés dans un respect total de l'environnement.
Siècle(s) traité(s) : 21
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V13011

Éditeur(s) : ESPE de Martinique : Ecoles Supérieures du Professorat et de l'Education
Extrait de : "Lutte contre les discriminations dans l'éducation" : journée d'étude, le 4 juin 2015. Université des Antilles et de la Guyane
Description : La prévention des comportements et discours homophobes en milieu scolaire vise à protéger les personnes non hétéro-normés contre les violences de genre, mais elle participe aussi à la remise en question des stéréotypes de genre spécifiques au contexte martiniquais, chez l'ensemble des individus formés, quelles que soient leur identité et/ou leur orientation sexuelle. En 2015, malgré l'évolution des mentalités et les progrès obtenus dans la reconnaissance des droits des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres (LGBT), les discriminations subsistent et il demeure toujours difficile d'annoncer ou de vivre librement son homosexualité. Dans ce contexte, KAP Caraïbe s'est fixé un double objectif : l'aide au public LGBT, notamment pour les jeunes qui, lorsqu'ils se découvrent attirés par une personne du même sexe connaissent parfois un mal-être pouvant avoir des conséquences dramatiques et la lutte contre l'homophobie. En articulant protection et prévention, KAP Caraïbe vise ainsi à éviter que ne naissent, ne se reproduisent ou ne se perpétuent des manifestations de mépris, de rejet et/ou de haine envers des personnes homosexuelles ou transgenres. Après une présentation générale de l'association et des raisons qui ont motivé sa création, il sera donc proposé de présenter le bilan des trois années d'exercice de l'association.
Siècle(s) traité(s) : 21
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V15187

Éditeur(s) : APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane SAAHG : Société des Amis des Archives de l'Histoire de la Guyane
Extrait de : "La Guyane au temps de l'esclavage : discours, pratiques et représentations, XVIIe-XIXe siècle" : colloque international, du 16 au 19 novembre 2010. Université des Antilles et de la Guyane
Description : Les musées ont des difficultés à faire une exposition sur l'esclavage puisqu'ils présentent des collections matérielles alors qu'un esclave ne pouvait posséder. François Hubert présente une exposition ayant eu lieu en 2009 au Musée de l'Aquitaine à Bordeaux en la comparant à d'autres plus anciennes ayant eu lieu en Angleterre, aux États-Unis, à Nantes... Les musées sont destinés actuellement à produire la reconnaissance des mémoires sans faire un mémorielle ni tomber dans les récits de l'histoire linéaire. Ils permettent aussi une légitimation sociale et politique, puisqu'avant la ville de Bordeaux était soupçonné de vouloir cacher son passé négrier.
Siècle(s) traité(s) : 21
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V11075

Éditeur(s) : APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane SAAHG : Société des Amis des Archives de l'Histoire de la Guyane
Extrait de : "La Guyane au temps de l'esclavage : discours, pratiques et représentations, XVIIe-XIXe siècle" : colloque international, du 16 au 19 novembre 2010. Université des Antilles et de la Guyane
Description : Au début, des commémorations sporadiques de l'abolition de l'esclavage ont eu lieu. Puis en 1998, pour le 150° anniversaire, une véritable fièvre commémorative se répand dans les anciennes colonies ayant connu l'esclavagisme. Lors de cette commémoration le fait esclavagiste prend le pas sur le fait abolitionniste. Corroboré en 2001 par la reconnaissance de la traite négrière et l'esclavagisme comme crime contre l'humanité par la loi troubiran, le 10 juin s'institutionnalise autour de manifestations, dont le point d'orgue est en 2008, l'inauguration d'une statue célébrant le marronage et l'abolition. Depuis la superposition des mémoires entre l'abolitionniste, l'esclavage, le marronage, la traite négrière... mais aussi la confusion avec le bagne, les amérindiens... tend à faire perdre l'élan unificateur du début des commémorations.
Siècle(s) traité(s) : 20
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V11074

Éditeur(s) : Bibliothèque Universitaire
Description : A l'origine de l'enseignement de l'histoire en France se trouve un projet politique : celui de fournir une culture nationale à des petits Français davantage ancrés dans des identités régionales. Ce dessein a donné naissance à ce que l'on appelle aujourd'hui le récit national. Mais la question des identités multiples est revenue interroger cette trame à la fin des années 1970 et notamment à la faveur de la présence de l'immigration post-coloniale en France. Petit à petit, les tensions se sont accentuées, acculant l'histoire scolaire à intégrer en son récit la reconnaissance de la pluralité culturelle adossée à une mémoire coloniale.

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V20109

Éditeur(s) : ESPE de Martinique : Ecoles Supérieures du Professorat et de l CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRREF : Centre de Recherche et de Ressources en Education et Formation
Extrait de : "Socio-didactique et didactique du français en Martinique et en Guadeloupe" : journée d'étude, le 2 juin 2018. Université des Antilles
Description : Cette intervention est l'occasion de réfléchir à la place de la variation langagière dans la pratique scolaire. Si le rôle nécessaire de l'école est de transmettre à tous les membres de la communauté une même forme de la langue désignée, les autres formes, notamment celles maîtrisées par les élèves ne devraient pas pour autant être exclues ou invalidées en discours. D'une part, on rendrait ainsi compte de la langue pour ce qu'elle est effectivement, c'est-à-dire vivante. D'autre part, l'enseignement de la langue dite maternelle contribuerait de façon plus efficace au développement de la compétence de communication des élèves. En arrière plan, se joue un positionnement idéologique et politique quant à la reconnaissance du dynamisme de la langue (par extension la culture) française.

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V18188

Éditeur(s) : INRA : Institut National de la Recherche Agronomique CIRAD : Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Université des Antilles. Service commun de la documentation
Extrait de : 52e congrès annuel de la Société caribéenne des plantes alimentaires / 52nd annual meeting of the Caribbean food crops society (CFCS), du 10 au 16 juillet 2016. INRA, CFCS
Description : Acknowledging the contribution of agriculture to global changes and its negative impacts on the environment, it is now seen as unavoidable for it to participate to the ecological transition. This research aims to understand the performativity of legal texts. This performativity does not only reveal the institutions? approach of the model to implement. It also aims to change, in the meantime, the reality (Ambroise et al., 2015). The objective of this research is to stress the importance of concepts? definitions in policies implementation when agricultural system reframing is at stake, and to highlight an uncertain use of words may produce. However, little attention is given to the choice of terms concerning the definition of a greener agriculture in official texts: terms are often mixed up without any clarification. Applying content analysis to official documents, we provide an analytical grid to grasp in what extent the unclear use of words and what they namely designate, lead to ambiguous policies eluding aspects of the concept of agroecology underlined by researchers or associations. We also shed light on the local appropriation process of the concept and its specification in the French Indies. Reconnaissant la contribution de l'agriculture aux changements globaux et à ses impacts négatifs sur l'environnement, on le voit maintenant comme inévitable pour qu'il participe à la transition écologique. Objectifs de ces recherches pour comprendre le performativity des textes juridiques. Ce performativity indique non seulement l'approche des établissements du modèle à l'instrument. Il vise également à changer, dans le même temps, la réalité (Ambroise et autres, 2015). L'objectif de cette recherche est de souligner l'importance des définitions des concepts dans l'exécution de politiques quand le système agricole reframing est en jeu, et accentuer une utilisation incertaine des mots peut produire. Cependant, peu d'attention est accordée au choix des termes au sujet de la définition d'une agriculture plus verte en textes officiels : des termes sont souvent mélangés sans n'importe quelle clarification. S'appliquant à l'analyse du contenu aux documents officiels, nous fournissons une grille analytique à la prise dans quelle ampleur l'utilisation peu claire des mots et ce qu'ils à savoir indiquent, mènent aux politiques ambiguës éludant des aspects du concept de l'agroécologie souligné par des chercheurs ou des associations. Nous avons également jeté la lumière sur le processus local d'appropriation du concept et de ses spécifications dans les Antilles françaises.
Siècle(s) traité(s) : 21
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V16255

Éditeur(s) : CAGI : Centre d'Analyse Géopolitique et Internationale
Description : Mme Rachel Chagnon nous propose une conférence sur "Le féminisme made in Québec". Un tour d'horizon global sur le féminisme tel qu'il est vécu au Québec dans une perspective académique. Qu'est-ce que le féminisme ? Quel est le nouveau visage du féministe Québécois ? Mme Chagnon nous dressera également un portrait du féminisme actuel et sur les violences faites aux femmes. Un débat intéressant suivra sa conférence.
Siècle(s) traité(s) : 20
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V14061

Extrait de : Les bagnes : Histoire, Types, Mœurs, Mystères (p.276)
Description : Image représentant, dans un bagne français, un officier reconnaissant un de ses anciens soldats parmi les bagnards
Siècle(s) traité(s) : 19
Droits : Domaine public
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FRA110250316i1

Éditeur(s) : Dépôt général de la marine (Paris)
Résumé : Comprend : Plan des triangles de la Martinique observés dans les années 1824 et 1825 pour la reconnaissance des côtes de cette île / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré ; Carte particulière des côtes de la Martinique (Partie orientale de l'Ile comprise entre la Pointe du Marigot et la Cul-de-Sac du Vauclin). Levée en 1824 et 1825 / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré ; Carte particulière des côtes de la Martinique (Partie méridionale de l'Ile, comprenant la Baie du Fort-Royal, le Cul-de-Sac Marin et la côte orientale depuis la Pointe des Salines jusqu'au Cul-de-Sac du Simon. Levée en 1824 et 1825 / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré ; Carte particulière des côtes de la Martinique (Partie séptentrionale de l'Ile entre la Baie du Fort-Royal et le Rocher du Pain de Sucre). Levé en 1824 et 1825 / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré ; Plan de la Baie du Fort-Royal (Ile de la Martinique). Levé en 1824 / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré ; Plan de la rade et de la ville de St. Pierre (Ile de la Martinique). Levé en 1825 / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré ; Plan du Havre de la Trinité (Ile de la Martinique). Levé en 1824 / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré ; Plan des Havres du Robert et du François (Ile de la Martinique). Levé en 1824 / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré ; Plan du Cul-de-Sac Marin (Ile de la Martinique). Levé en 1824 / Par M. Monnier ; Secondé par M. Le Bourguignon Duperré
Appartient à l’ensemble documentaire : FranceAm
Bibliothèque nationale de France, département Cartes et plans, CPL GE DD-649
Martinique (France)

Droits : domaine public
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b6700416m

Éditeur(s) : [S.l. : s.n.]
Extrait de : Histoire descriptive et pittoresque de l'île de Saint-Domingue (Haïti) (frontispice)
Résumé : """Ce qui est certain, c'est que, si des nègres se sont montrés implacables et cruels dans leurs vengeances, on en a vu aussi de généreux et de reconnaissants."" (p. 207)"
Siècle(s) traité(s) : 19
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LAM17010-0011i1

Résumé : (Biographical) From Wikipedia: John Frank Stevens (25 April 1853 – 2 June 1943) was an American engineer who built the Great Northern Railway in the United States and was chief engineer on the Panama Canal between 1905 and 1907. Biography: Stevens was born in rural Maine, near West Gardiner to John Stevens, a tanner and farmer, and Harriet Leslie French. He attended Maine State Normal School (now the University of Maine at Farmington) for two years. At the conclusion of his schooling in 1873, bleak economic conditions held little promise of a job, and he chose to go west. Entry into the field of civil engineering evolved from his experience in the Minneapolis city engineer's office. For two years he carried out a variety of engineering tasks, including surveying and building railroads, and at the same time gained experience and an understanding of the subject. He became a practical engineer, self-taught and driven by a self-described "bull-dog tenacity of purpose." In 1878 Stevens married Harriet T. O'Brien. They had five children, two of whom died in infancy. By the age of 33, in 1886, Stevens was principal assistant engineer for the Duluth, South Shore and Atlantic Railway, and in charge of building the line from Duluth, Minnesota to Sault Ste. Marie, Michigan, across the Upper Peninsula of Michigan. Although a large part of his work involved surveying, he assisted in all phases of railroading: reconnaissance, locating, organizing, and construction. In 1889, Stevens was hired by James J. Hill as a locating engineer for the Great Northern Railway. Stevens earned wide acclaim in 1889 when he explored Marias Pass, Montana, and determined its practicability for a railroad. Stevens was an efficient administrator with remarkable technical skills and imagination. He discovered Stevens Pass through the Cascade Mountains, set railroad construction standards in the Mesabi Range of northern Minnesota, and supervised construction of the Oregon Trunk Line. Hill promoted him to chief engineer in 1895, and later to general manager. During his time at the Great Northern, Stevens built over a thousand miles of railroad, including the original Cascade Tunnel. Stevens Pass in the Cascade Range was named for him. (Most other Pacific Northwest landmarks with the word "Stevens" are named after Isaac Stevens, who is of no relation.) Panama Canal: Stevens left the Great Northern in 1903 for the Chicago, Rock Island and Pacific Railroad, where he was promoted to vice-president. Then, in 1905, at Hill's recommendation, he was hired by Theodore Roosevelt as chief engineer on the Panama Canal. Stevens' primary achievement in Panama was to build the infrastructure needed for the completion of the canal. "The digging," he said, "is the least thing of all." He proceeded immediately to build warehouses, machine shops, and piers. Communities for the personnel were planned and built to include housing, schools, hospitals, churches, and hotels. He authorized extensive sanitation and mosquito-control programs that eliminated yellow fever and other diseases from the Isthmus. Reflecting his background, he saw the early stage of the canal project itself as primarily a problem in railroad engineering, which included rebuilding the Panama Railway and devising a rail-based system for disposing of the soil from the excavations. Stevens argued the case against a sea level canal like the French had tried to build. He successfully convinced Theodore Roosevelt of the necessity of a high-level canal built with dams and locks. Resignation: Stevens resigned suddenly from the Canal project in 1907 to Roosevelt's great annoyance, as the focus of the work turned to construction of the canal itself. As a railroad engineer, Stevens had little expertise in building locks and dams, and probably realized he was no longer the best person for the remainder of the job. Stevens would also have been aware that the original great Cascade Tunnel, for which he was responsible, was in hindsight built in error too close to the ruling grade and was perhaps turning from a credit to a debit. The true reasons for his resignation have never been known. Subsequent career: Following the collapse of Imperial Russia in 1917, leaders of the provisional government appealed to President Wilson for help with their transportation systems. Stevens was selected to chair a board of prominent U.S. railroad experts sent to Russia to rationalize and manage a system that was in disarray; among his work was on the Trans-Siberian Railway. After the overthrow of the provisional government, the board's work ceased. Stevens remained in Allied-occupied Manchuria and in 1919 headed the Inter-Allied Technical Board charged with the administration and operation of the Chinese Eastern and Siberian railways. He remained in an advisory capacity until occupying Allied troops were withdrawn; he finally left in 1923. After his return to the United States Stevens continued to work as a consulting engineer, ending his career in Baltimore in the early 1930s. He was awarded the Franklin Institute's Franklin Medal in 1930. He then retired to Southern Pines, North Carolina, where he died at the age of 90 in 1943.
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Éditeur(s) : GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides
Extrait de : "Protection des cultures et santé environnementale : héritages et conceptions nouvelles" : congrès, le 26 mai 2014. Université des Antilles et de la Guyane
Résumé : Un projet pluridisciplinaire original est développé, visant à étudier de manière systématique les modes de reconnaissance et d'activation utilisés par les grandes familles de polluants environnementaux (bisphénols, phtalates, parabènes, benzophénones, pesticides, alkylphenols, organoétains, etc.) lors de leur interaction avec leurs récepteurs hormonaux cibles. Pour cela est utilisée une combinaison d'approches biochimique, cristallographique, biophysique et cellulaire complétée par des essais in vivo. Lors de cet exposé, est présenté plus particulièrement les cas des organoétains, du bis-hydroxyphényl-trichloroéthane (HPTE, métabolite du méthoxychlor), du dichlorodiphényl-dichloroéthylene (DDE, métabolite du DDT), du chlordécone et du chlordane afin d'illustrer la diversité des mécanismes mis en oeuvre.
Un projet pluridisciplinaire original est développé, visant à étudier de manière systématique les modes de reconnaissance et d'activation utilisés par les grandes familles de polluants environnementaux (bisphénols, phtalates, parabènes, benzophénones, pesticides, alkylphenols, organoétains, etc.) lors de leur interaction avec leurs récepteurs hormonaux cibles. Pour cela est utilisée une combinaison d'approches biochimique, cristallographique, biophysique et cellulaire complétée par des essais in vivo. Lors de cet exposé, est présenté plus particulièrement les cas des organoétains, du bis-hydroxyphényl-trichloroéthane (HPTE, métabolite du méthoxychlor), du dichlorodiphényl-dichloroéthylene (DDE, métabolite du DDT), du chlordécone et du chlordane afin d'illustrer la diversité des mécanismes mis en oeuvre.
Un projet pluridisciplinaire original est développé, visant à étudier de manière systématique les modes de reconnaissance et d'activation utilisés par les grandes familles de polluants environnementaux (bisphénols, phtalates, parabènes, benzophénones, pesticides, alkylphenols, organoétains, etc.) lors de leur interaction avec leurs récepteurs hormonaux cibles. Pour cela est utilisée une combinaison d'approches biochimique, cristallographique, biophysique et cellulaire complétée par des essais in vivo. Lors de cet exposé, est présenté plus particulièrement les cas des organoétains, du bis-hydroxyphényl-trichloroéthane (HPTE, métabolite du méthoxychlor), du dichlorodiphényl-dichloroéthylene (DDE, métabolite du DDT), du chlordécone et du chlordane afin d'illustrer la diversité des mécanismes mis en oeuvre.
Siècle(s) traité(s) : 21
Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification
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V14218
V14218
V14218
V14218
V14218

Éditeur(s) : EUTIC : le réseau international et interdisciplinaire pour les Enjeux et Usages des Technologies de l'Information et de la Communication EUTIC : le réseau international et interdisciplinaire pour les Enjeux et Usages des Technologies de l'Information et de la Communication
Extrait de : "Les écosystèmes numériques et la démocratisation informationnelle" : colloque, les 3 et 4 novembre 2015. Université des Antilles
Description : Dans cette communication, Dominique Cardon, sociologue au Laboratoire des usages d'Orange Labs et professeur associé à l'université de Marne la Vallée, propose une réflexion sur les propriétés organisationnelles, et notamment algorithmiques, de l'espace public numérique. Comment les calculateurs du web produisent-ils la visibilité numérique ? A partir de quels principes le PageRank de Google, les métriques du web social ou les outils de recommandation décident-ils de donner la prééminence à telle information plutôt qu'à telle autre ? On cherchera notamment à tirer des conséquences des transformations des épistémologies statistiques mises en oeuvre par les algorithmes du web avec la généralisation des techniques d'apprentissage (machine learning). Le web que nous connaissons ne serait pas le même s'il n'avait pas été profondément nourri, domestiqué et organisé par l'algorithme qui le classe, le PageRank de Google. C'est parce que ces documents s'adressent entre eux des liens de reconnaissance que la métrique du PageRank a pu construire une représentation de l'information proche de celles qui prévalaient dans l'espace public traditionnel. Cependant, d'autres formes de métriques de l'information se sont aujourd'hui généralisées avec les compteurs réputationnels du web social et les techniques de recommandation personnalisées. Aussi est-il utile de dégager les différentes formes du calcul qui sont aujourd'hui au principe de la construction des métriques du web afin de proposer une lecture de la manière dont elles enferment des représentations différentes des individus et de leur place dans nos sociétés.

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V15436
V15436

Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe
Extrait de : "Les entités infra-étatiques et les organisations de coopération et d'intégration régionales" : colloque international, les 25 et 26 mars 2013. Université des Antilles et de la Guyane
Résumé : L'intervention débute par un retour sur la reconnaissance du fait régional, qui donne lieu à un droit commun des régions qu'il s'agisse du droit primaire ou du droit dérivé. Le fait régional s'est également affirmé dans la politique budgétaire. Brigitte Facorat Gaspard présente les huit régions ultrapériphériques. Elles constituent un espace de coopération privilégié pour mener à bien, la politique de développement durable de l'Union européenne qui a des enjeux planétaires. On peut voir dans cette coopération des aspects stratégiques ainsi que des aspects opérationnels.
L'intervention débute par un retour sur la reconnaissance du fait régional, qui donne lieu à un droit commun des régions qu'il s'agisse du droit primaire ou du droit dérivé. Le fait régional s'est également affirmé dans la politique budgétaire. Brigitte Facorat Gaspard présente les huit régions ultrapériphériques. Elles constituent un espace de coopération privilégié pour mener à bien, la politique de développement durable de l'Union européenne qui a des enjeux planétaires. On peut voir dans cette coopération des aspects stratégiques ainsi que des aspects opérationnels.
Siècle(s) traité(s) : 21
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