La perception des gens de couleur par les Nantais à la fin du XVIIIe siècle ; La perception des gens de couleur par les Nantais à la fin du XVIIIe siècle Auteur(s) : Michon, Bernard Michon, Bernard Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Capitale française de la traite négrière tout au long du XVIIIe siècle, le port de Nantes doit une bonne part de son développement aux échanges croissants avec les colonies de plantation. Le recours à la main d'oeuvre servile est dès lors présenté comme une impérieuse nécessité, bien mise en évidence dans le témoignage de Listré, un Nantais devenu avocat au Cap-Français, au nord de l'île de Saint-Domingue. Cétait en Afrique qu'on allait chercher les cultivateurs. On ne saurait s'en passer sans renoncer aux Colonies. La montée d'un courant de pensée hostile à l'esclavage, évidemment peu perceptible dans une place comme Nantes, ajoutée aux vives tensions traversant les sociétés coloniales et surtout à la Révolution noire de Saint-Domingue, conduisent les Nantais à justifier dans divers écrits ce système vacillant. La communication s'intéresse surtout à la manière dont ces Nantais, appartenant majoritairement au monde du négoce mais aussi à celui des navigants, présentent les Noirs et gens de couleur. Au-delà de la diversité des populations ? rois et courtiers africains, esclaves et libres de couleur ?, il s'agit de mettre en évidence la radicalisation du discours et ses causes fondamentales. Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16098 V16098 V16098 | Partager Voir aussi Esclavage Libre de couleur Traite négrière Nègre Esclavage Libre de couleur Traite négrière Nègre France|Nantes France|Nante Télécharger |
Essai sur l'Histoire naturelle de l'isle de Saint-Domingue, avec des figures en taille-douce Auteur(s) : Nicolson Éditeur(s) : Gobreau, libraire Gobreau, libraire Résumé : Description, par un religieux Dominicain, de Saint-Domingue au XVIIIème siècle. Nicolson (nom de l'auteur dont le prénom est inconnu) aborde l'histoire et décrit l'administration, l'activité industrielle de la colonie. Il consacre une grande partie de son ouvrage à la description de la nature. République Dominicaine Haïti 18 Hipaniola Droits : Domaine public patrimon:HASH011018184feb42c708996ebb | Partager |
Avatars de la domination coloniale et formation des personnalités guadeloupéennes et martiniquaises Auteur(s) : Bernabé, Jean Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Ecrire la domination" : journée d'étude, le 14 mai 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : La critique du concept d'identité transférée de l'individu aux peuples se fonde sur le fait que ces derniers, parce que inscrits dans l'histoire, sont nécessairement évolutifs. Contrairement à l'identité, la personnalité constitue donc un attribut tant pour l'individu que pour les peuples. La fable "Les deux cafiés", écrite au XIXème siècle sous la plume du Guadeloupéen Paul Baudot, constitue un témoignage éloquent des effets de la domination coloniale comme génératrice de contentieux entre deux peuples. Il est question, dans la présente communication, d'analyser ces causes et ces effets afin d'éclairer les populations concernées sur les modalités et circonstances ayant présidé à la formation non seulement de leurs personnalités respectives, mais aussi des contrastes et des antagonismes qui obèrent une relation pacifiée entre deux îles dites « soeurs » au motif, parfaitement colonial, quelles ont une même métropole. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13190 V13190 | Partager |
Art haïtien : une esthétique de la marge, entre imaginaire et syncrétisme Auteur(s) : Berry, Anne-Catherine Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "L'impact des marges dans les capitales littéraires, artistiques, politiques" : journée d'étude, le 19 avril 2018. Université des Antilles Description : Anne-Catherine BERRY, Docteure en Arts, cadre son intervention sur la diversité de l'art haïtien. Haïti détient une histoire partagée par les espaces caribéens, une histoire qui s'articule sur la colonisation européenne, la domination et l'exploitation des populations natives et déportées. Les mémoires diasporiques, conséquences majeures de l'esclavage des africains, caractérisent également les différents espaces de la Caraïbe. Pour autant, elle se distingue fortement. En effet, la République d'Haïti représente la première République noire libre, qui obtient son indépendance en 1804. Dès lors, cette nation s'inscrit dans une société stigmatisée la tenant hors des normes établies par les sphères hégémoniques du pouvoir, politique, culturel, religieux... Dans le domaine de l'art, si durant tout le XIXe siècle les élites valorisent les Beaux-Arts, hérités de la période coloniale, à partir des années 1930-1950 se produit une forme de renouveau. Ce territoire est le lieu d'émergence de formes combinatoires de l'imaginaire et de la marge. Ainsi, se pose un certain nombre de questions au regard de la thématique proposée. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V18140 V18140 | Partager |
L'âme déconnectée : les conséquences de la colonisation européenne sur les Garifunas (Caraïbes-Noirs) d'aujourd'hui à St. Vincent et en Amérique centrale ; L'âme déconnectée : les conséquences de la colonisation européenne sur les Garifunas (Caraïbes-Noirs) d'aujourd'hui à St. Vincent et en Amérique centrale ; L'âme déconnectée : les conséquences de la colonisation européenne sur les Garifunas (Caraïbes-Noirs) d'aujourd'hui à St. Vincent et en Amérique centrale Auteur(s) : Ellis-Brown, Zoila Ellis-Brown, Zoila Ellis-Brown, Zoila Ellis-Brown, Zoila Ellis-Brown, Zoila Auteurs secondaires : Donatien, Patricia Donatien, Patricia Donatien, Patricia Donatien, Patricia Donatien, Patricia Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Citoyenneté culturelle et mémoire collective dans la Caraïbe et ses diasporas" : journée d'étude, le 18 avril 2013. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : Patricia Donatien lit la communication proposée par Zoila Eliis-Brown. L'exposé commence par un panorama sur la colonisation vécue par les Caraïbes aux prises avec les colonisateurs français et anglais avant 1748 puis de 1763-1795, jusqu'à leur expulsion de St. Vincent en 1797. Le propos aborde ensuite la question des répercussions de cette expérience coloniale sur la société de Saint-Vincent, puis sur l'ensemble de la population autochtone de la Caraïbe. Après avoir traité de l'évolution de ces dernières années, l'accent est mis sur l'action de la fondation dédiée au patrimoine Garifuna et sur les perspectives de collaboration en vue de la promotion de la culture Garifuna dans la Caraïbe. Patricia Donatien lit la communication proposée par Zoila Eliis-Brown. L'exposé commence par un panorama sur la colonisation vécue par les Caraïbes aux prises avec les colonisateurs français et anglais avant 1748 puis de 1763-1795, jusqu'à leur expulsion de St. Vincent en 1797. Le propos aborde ensuite la question des répercussions de cette expérience coloniale sur la société de Saint-Vincent, puis sur l'ensemble de la population autochtone de la Caraïbe. Après avoir traité de l'évolution de ces dernières années, l'accent est mis sur l'action de la fondation dédiée au patrimoine Garifuna et sur les perspectives de collaboration en vue de la promotion de la culture Garifuna dans la Caraïbe. Patricia Donatien lit la communication proposée par Zoila Eliis-Brown. L'exposé commence par un panorama sur la colonisation vécue par les Caraïbes aux prises avec les colonisateurs français et anglais avant 1748 puis de 1763-1795, jusqu'à leur expulsion de St. Vincent en 1797. Le propos aborde ensuite la question des répercussions de cette expérience coloniale sur la société de Saint-Vincent, puis sur l'ensemble de la population autochtone de la Caraïbe. Après avoir traité de l'évolution de ces dernières années, l'accent est mis sur l'action de la fondation dédiée au patrimoine Garifuna et sur les perspectives de collaboration en vue de la promotion de la culture Garifuna dans la Caraïbe. Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13148 V13148 V13148 V13148 V13148 V13148 | Partager Voir aussi Colonisation Citoyenneté Diaspora Citoyenneté culturelle Culture Histoire Population autochtone Colonisation Citoyenneté Diaspora Saint-Vincent-et-les-Grenadines Saint-Vincent-et-les-Grenadines Saint-Vincent-et-les-Grenadines Saint-Vincent-et-les-Grenadines Saint-Vincent-et-les-Grenadines ; Télécharger |
L'immigration indienne en Guadeloupe (1848-1923) : Coolies, planteurs et administration coloniale Auteur(s) : Schnakenbourg, Christian Éditeur(s) : Université de Provence Université de Provence Résumé : Cette thèse est un document de référence sur l'histoire des indiens d'Inde en Guadeloupe. Elle retrace en 1250 pages le contexte de la mise en place de la politique migratoire, les conditions de la traversée des indiens vers la Guadeloupe, leur installation et conditions de vie dans une société coloniale et la question du retour ou de l'implantation à la fin de l'engagement. Inde Guadeloupe 19 20 Droits : Ce document est protégé par le droit d'auteur. Il ne peut en aucun cas être utilisé sans l'autorisation de l'auteur et des ayant droits recherch:T14002 | Partager |
L'immigration indienne en Guadeloupe (1848-1923) : Coolies, planteurs et administration coloniale Auteur(s) : Schnakenbourg, Christian Année de publication : Date de publication : 2014-9-3 Éditeur(s) : Université de Provence Description : Cette thèse est un document de référence sur l'histoire des indiens d'Inde en Guadeloupe. Elle retrace en 1250 pages le contexte de la mise en place de la politique migratoire, les conditions de la traversée des indiens vers la Guadeloupe, leur installation et conditions de vie dans une société coloniale et la question du retour ou de l'implantation à la fin de l'engagement. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Ce document est protégé par le droit d'auteur. Il ne peut en aucun cas être utilisé sans l'autorisation de l'auteur et des ayant droits Permalien : http://www.manioc.org/recherch/T14002 T14002 | Partager |
Martinique, terre amérindienne ; Martinique, terre amérindienne : Une approche pluridisciplinaire Auteur(s) : Berard, Benoit Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Benoit Bérard Éditeur(s) : HAL CCSD Sidestone Press Résumé : International audience Aujourd'hui, les traces de la présence amérindienne en Martinique constituent, en dehors des pétroglyphes de la forêt de Montravail et des pièces exposées dans les musées de l'île, un patrimoine invisible. Cependant, avant son invasion par les européens cette île a bien été pendant au moins 1500 ans terre amérindienne. Pendant dix années, entre 1995 et 2005, une équipe pluridisciplinaire internationale a ainsi travaillée à étudier l'occupation précolombienne de la Martinique. Ce programme initialement dirigé par J.-P. Giraud puis par Benoît Bérard a été menée dans le cadre d'un Projet Collectif de Recherche intitulé "Le néolithique martiniquais dans son contexte antillais" agréé par le Ministère de la Culture et de la Communication et financé par la Direction des Affaires Culturelle de la Martinique. La synthèse des résultats de ces travaux a été présentée au public martiniquais dans le cadre d'un séminaire international qui s'est tenu à Fort-de-France en mai 2007 avec le soutient du Conseil Général. Elle constitue le cœur de cet ouvrage. Elle a été complétée par un certain nombre de contributions permettant une mise en perspectives des résultats obtenus. Ce volume se divise en trois parties. La première fait un état des lieux de la connaissance sur les différentes cultures précolombiennes qui se sont succédées dans l'île au travers de la présentation de plusieurs sites de références. Elle se conclue par un regard historique qui grâce au récit de l'incroyable vie de Francisco Congo illustre les contacts entre populations amérindiennes, africaines et européennes au début de la colonisation et nous offre des informations inédites sur l'origine de la communauté des Caraïbes noirs de Saint-Vincent. La seconde partie de l'ouvrage présente un bilan des connaissances sur la relation entre les amérindiens et leur environnement naturel au travers d'études archéo-vulcanologiques, archéo-zoologiques et paléo-ethnobotaniques. Ce recours aux sciences paléo-environnementales offre pour la première fois la possibilité d'une réelle approche historicisée de cette relation. Enfin, parce ce que la division géopolitique coloniale et post-coloniale de l'archipel antillais n'a pas de sens appliquée à l'étude de son peuplement précolombien, il nous est apparu essentiel de conclure cet ouvrage par une ouverture sur les îles voisines en particulier la Dominique et la Guadeloupe. Cela nous fait entrer dans cette perspective archipélique qui guide aujourd'hui le travail des archéologues. Cet ouvrage est le premier volume synthétique sur l'occupation amérindienne de la Martinique publié depuis des décennies. Par son sérieux et son accessibilité il met enfin à la disposition d'un public de spécialistes et de non-spécialistes un bilan des dernières connaissances produites. Il répond en cela tant à un besoin scientifique qu'à une réelle demande sociale. https://hal.univ-antilles.fr/hal-00971509 ISBN : 9789088901584 hal-00971509 https://hal.univ-antilles.fr/hal-00971509 | Partager |
Bordeaux colonial, 1850-1940 ; Bordeaux colonial, 1850-1940 : Préface Dominique Jarrassé Auteur(s) : Christelle, Lozère Jarrassé, Dominique Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : Résumé de l'ouvrage With the constitution of the colonial empire, at the end of the nineteenth century, Bordeaux, whose the traded tradition was already well established dreams of becoming the “colonial capital city of France” in competition with the cities of Paris, Marseille and Lyon. Faced with the ignorance of French people on these countries and on these peoples with the strange and primitive customs, the Elite from Bordeaux tried to promote the products coming from colonies and, at the same time, to spread the idea and the taste of colonial cultures. The commercial, industrial and artistic exhibitions will prove to be a festive, theatrical and didactic mean of popularization. Bordeaux, pioneer city, will organize more than forty exhibitions and the colonial fairs at the Quinconces place between 1850 and 1940. The Philomathic Society of Bordeaux will set up the most prestigious ones, in 1895 and 1907. Staged in real colonial palace, Bordeaux sold “colonial dream”. With these private colonial pavilions, Bordeaux will be crowned, in 1923, first colonial fair of France. In these same educational and paternalistic spirit, Bordeaux will open five museum rooms for the French colonies. During several decades, Bordeaux will proudly affirm its colonial identity though its cultural demonstrations and the dynamism of its port activities. Avec la constitution de l'empire colonial, à la fin du XIXe siècle, Bordeaux, dont la tradition commerçante était déjà bien établie, rêve de devenir la « capitale coloniale de la France » en concurrence avec les villes de Paris, Marseille et Lyon. Face à la méconnaissance des Français sur ces pays et ces peuples aux « moeurs curieuses et sauvages », les élites bordelaises cherchèrent à promouvoir les produits en provenance des colonies et, en même temps, à diffuser l'idée et le goût des cultures coloniales. Les expositions commerciales, industrielles et artistiques se révéleront comme un moyen festif, théâtral et didactique de vulgarisation populaire. Bordeaux, ville pionnière, organisera plus d'une quarantaine d'expositions et de foires coloniales sur les Quinconces entre 1850 et 1940. Les plus prestigieuses seront celles organisées par la Société Philomathique de Bordeaux, en 1895 et 1907. Mis en scènes dans de véritables palais coloniaux, Bordeaux vend du « rêve colonial ». Avec ses pavillons coloniaux particuliers, Bordeaux sera consacré, en 1923, première « foire coloniale de France ». Dans ce même esprit pédagogique et paternaliste, Bordeaux ouvrira cinq salles de musées aux colonies françaises. Pendant plusieurs décennies, Bordeaux affirmera fièrement son identité coloniale à travers ses manifestations culturelles et le dynamisme de ses activités portuaires. L'élan colonisateur ne s'est pas arrêté à une simple propagande politique et mercantile : ce fut avant tout la mobilisation d'énergies humaines qui, dans la passion de l'histoire en marche, ont mis en scène leurs convictions à travers d'ambitieuses démonstrations. Aujourd'hui, les fonds artistiques et ethnographiques des musées bordelais et l'abondance des collections privées témoignent aussi d'un véritable goût pour l'ailleurs et pour la différence. Pour le meilleur comme pour le pire, la richesse incontestable des faits historiques révèle que l'histoire des outre-mers a toujours été liée à la ville de Bordeaux. https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01091926 hal-01091926 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01091926 | Partager |
Les Antilles Françaises, particulièrement la Guadeloupe, depuis leur découverte jusqu'au 1er novembre 1825 : ouvrage orné d'une carte nouvelle de la Guadeloupe et de quatorze tableaux statistiques. Tome premier Auteur(s) : Boyer-Peyreleau, Eugène-Edouard (1774-1856) Éditeur(s) : Ladvocat, libraire Ladvocat, libraire Guadeloupe 15 16 17 18 19 Droits : Domaine public patrimon:HASH062a52f4b75dde56066ea9 | Partager |
Provincial exhibitions and colonial identities in the Nineteenth Century ; Expositions provinciales et identités coloniales au XIXe siècle Auteur(s) : LOZERE, CHRISTELLE, Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Association culturelle Diacronie Résumé : International audience Is it possible to construct a history of France’s ‘colonial exhibitions’ without mentioning those organized in the Nineteenth Century at Bordeaux, Nantes, Metz, Le Havre, Lyon, Rochefort, Cherbourg, Beauvais, Nice, Montauban, Rouen and Tours? By studying the scenography of these little-known provincial exhibitions, this paper seeks, firstly, to understand the economic, political and especially symbolic issues for these towns (especially the ports) around the construction of their colonial identities; secondly, it wants to determine the role of the State in the dissemination and gradual popularization of a unified national discourse. Peut-on construire une histoire des ‘expositions coloniales’ françaises sans parler de celles organisées au XIXe siècle à Bordeaux, Nantes, Metz, Le Havre, Lyon, Rochefort, Cherbourg, Beauvais, Nice, Montauban, Rouen, Tours? En étudiant la scénographie de ces expositions provinciales peu connues, cet article propose, d’une part, de comprendre les enjeux économiques, politiques et surtout symboliques pour ces villes (particulièrement les ports) autour de la construction de leurs identités coloniales et, d’autre part, de déterminer le rôle de l’État dans la diffusion et la vulgarisation progressive d’un discours national unifié. Si può forse ricostruire una storia delle ‘mostre coloniali’ francesi senza accennare a quelle organizzate nel XIX secolo a Bordeaux, Nantes, Metz, Le Havre, Lione, Rochefort, Cherbourg, Beauvais, Nizza, Montauban, Rouen, Tours? Analizzando la scenografia di queste mostre provinciali poco conosciute, il presente contributo si propone, in primo luogo, di mettere in luce i risvolti economici, politici e soprattutto simbolici che per quelle città (in particolare quelle portuali) si manifestarono intorno alla costruzione delle loro identità coloniali e, in secondo luogo, di determinare il ruolo dello Stato nella diffusione e progressiva estensione di un discorso nazionale unitario. ISSN: 2038-0925 hal-01092401 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01092401 | Partager |
Du code noir au chlordécone. L'Héritage colonial ou du monstre juridique au monstre chimique Auteur(s) : Niort, Jean-François Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane Description : "Le propos sera de montrer - textes historiques à l'appui (notamment un mémoire du roi aux administrateurs de la Martinique de janvier 1765) - que du Code Noir au Chlordécone, prévaut aux Antilles françaises la même logique "coloniale", malgré l'apparente "décolonisation". Cette attitude, fondée sur la subordination économique de la colonie à sa métropole, en instaurant un modèle agricole fondé sur l'exportation commerciale et non la satisfaction des besoins locaux et le développement de l'économie locale, a dans les deux cas, conduit à deux "monstres", l'un juridique, l'autre chimique, par le même processus de dérogation au droit commun national. En effet, l'esclavage a été implanté et légalisé dans les colonies en contravention manifeste - et pleinement assumée par le pouvoir central - avec le droit commun du royaume. Il a été de plus rétabli en 1802 en toute illégalité, après le retour des territoires antillais dans le statut colonial - et donc dérogatoire - en 1799. Or, même si l'esclavage comme institution légale et mode de production a été aboli (1848), et même si le statut administratif et politique a été transformé en département (1946), le modèle agricole antillais n'a pas été "décolonisé", et a conduit, pour des raisons commerciales, à partir des années 1950, à l'utilisation massive de pesticides générateurs d'une pollution massive et durables des sols, des animaux et des populations, avec le soutien actif de l'Etat, qui a autorisé l'épandage aérien même pour des produits interdits sur le sol hexagonal comme l'était la Chlordécone après 1990, et qui continue à le faire en contravention du droit européen et d'une décision du Tribunal administratif de Basse-Terre. C'est donc toujours cette même attitude "coloniale" de dérogation juridique négative au droit commun - voire au droit tout court- qui prévaut. Finalement, après l'esclavage et la traite, c'est au autre "crime contre l'humanité, généré par la même logique coloniale, et tout aussi ravageur et meurtrier, qui a été perpétré dans les Antilles françaises, et qui continue à l'être sous nos yeux." Siècle(s) traité(s) : 17 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13180 V13180 | Partager Voir aussi Chlordécone Environnement Pollution Code noir Commerce Colonisation Agriculture Esclavage Droit Pesticide Guadeloupe Martinique ; Télécharger |
Au peuple de Cayenne Auteur(s) : Quintrie, A. Année de publication : Extrait de : Affaire Galmot () Résumé : Image représentant une affiche officielle comportant une déclaration du maire de Cayenne adressée à la population à la suite de la mort de l'homme politique Jean Galmot, en août 1928. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA111490013i1 FRA111490013i1 | Partager |
L'école et la représentation du rôle des femmes et des hommes dans la société antillaise (Guadeloupe et Martinique, 1905-1921). Auteur(s) : Palmiste, Clara Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : "Représentations, pratiques, déconstruction du genre dans les sociétés caribéennes" : journée d'étude, le 14 novembre 2016. Université des Antilles Description : Clara Palmiste, Docteure en Histoire et Civilisation, développe son propos autour de l'histoire des rapports sociaux entre les deux sexes dans les sociétés post esclavagistes. Les processus d'assimilation que l'on retrouve dans ces sociétés post esclavagistes sont particulièrement présents dans les écoles. La chercheuse explique que l'adaptation du système métropolitain à la situation coloniale va être réclamée des deux côtés. Il y a deux mouvements qui se rejoignent, cette mission civilisatrice de métropole et d'autre part ce désir d'assimilation des populations antillaises. Ces mouvements sont perceptibles dans les discours de distribution de prix dans les écoles. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16335 V16335 | Partager |
Nationality, subjecthood and citizenship at Swedish St Barthélemy Auteur(s) : Thomasson Fredrik Auteurs secondaires : Urban, Yerri Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Description : Fredrik Thomasson (professeur à l'Université d'Uppsala, Suède) propose une étude sur la situation des Gens de couleurs et des Noirs libres dans l'histoire de la Saint-Barthélemy suédoise, entre 1784 et 1878. Il présente les aspects d'une présence suédoise méconnue dans l'histoire coloniale de la Caraïbe avec l'implantation suédoise à Saint-Barthélemy et la fondation de la ville de Gustavia (en honneur du roi Gustave III très attaché à la politique d'Outre-mer de la Couronne suédoise) et de son port franc. C'est ainsi que la ville de Gustavia comptait 5492 habitants en 1812 répartis entre les esclaves (un quart environ de la population), les Blancs (un quart également) et les Libres de couleur (la moitié restante). D'où la réflexion proposée sur le traitement de la population noire, esclaves ou libres, dans le système judiciaire mise en place par la colonisation suédoise. Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16119 V16119 | Partager |
Appel à l'ordre Auteur(s) : Gober, E. Année de publication : Éditeur(s) : Cayenne : Imprimerie Papet, E. Gratien & Compagnie Extrait de : Affaire Galmot () Résumé : Image représentant une affiche ou un tract du maire de Cayenne, Eugène Gober,annonçant sa démission et lançant un appel au calme à la population dans le contexte de l'Affaire Galmot, en 1928 Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA111490009i1 FRA111490009i1 | Partager |
Modélisation spatiale des systèmes de productions multi-espèces aux Antilles Françaises Auteur(s) : Mantran, Murielle Auteurs secondaires : CEREGMIA ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : L’agriculture aux Antilles, depuis la période coloniale, est orientée vers quelques monocultures, de la canne à sucre à la banane en passant par le coton et le café (Lasserre, 1961). Aux côtés de cette agriculture exportatrice, les agrosystèmes multi-espèces sont aussi très anciens mais ont longtemps fonctionné de façon isolée et sur une base empirique notamment à travers les jardins familiaux ou "jardin créole" (Degras, 2005). De plus en plus, l'intérêt, voire la nécessité d'une diversification professionnelle de l'activité agricole aux Antilles est admise, reconnue voire soutenue compte tenu des impasses agronomiques, environnementales ou économiques L’insularité d’un territoire entraine de nombreux conflits d’usage dans la gestion du capital foncier. La nécessité de terres à bâtir dans un contexte d’augmentation de la population, la nécessité de protection de la forêt tropicale, des forêts marécageuses de mangroves et des zones à proximité des rivières amènent de nombreuses questions en matière d’aménagement et de gestion des territoires surtout lorsqu’ils sont exigus. L’agriculture est un secteur consommateur d’espace et ce pour l’ensemble des productions agricoles Aux Antilles, l’agriculture connaît de lourds héritages avec la prépondérance des cultures destinées à l’exportation et gourmandes en surfaces, la canne à sucre et la banane. La gestion des territoires mais aussi des pratiques agricoles sont très clairement remises en cause depuis la crise médiatique de la chlordécone en 2002 et les années suivantes par les successives interdictions prononcées par arrêtés préfectoraux depuis la crise sociale de 2009 décriant les cultures d’exportation pour leur caractère polluant et intensif et appelant à un retour aux productions locales plus respectueuses de l’environnement. Les systèmes productifs sont sans cesse en évolution. Ces changements sont le reflet des choix productifs effectués par les exploitants et par des pratiques agricoles mises en œuvre. L’analyse du système se fera de manière à identifier les spéculations initiales et leurs évolutions au cours de la dernière décennie. La diffusion spatiale de ces pratiques agricoles ne s’effectue pas linéairement car, dans les systèmes productifs, le phénomène est bien plus complexe dont la compréhension nécessite la prise en compte (i) des interactions entre les acteurs et (ii) de l’aspect temporel. L’émission d’un message informatif évolue dans le temps ainsi que les acteurs et leurs interactions sur le territoire. Même si les agriculteurs sont soumis à des facteurs exogènes communs à l’ensemble de leur exploitation, ils sont tout de même concernés par des influences provenant des réseaux au sein desquels ils sont insérés. Le processus classique de diffusion des pratiques agricoles est résumé par la courbe logistique (Hägerstrand, 1967). Sur le territoire, la situation d’adoption de pratiques n’est pas homogène. Pour une compréhension et une anticipation quant à l’évolution du territoire, l’ensemble des DOM antillais sera sujet à étude. Dans un premier temps, l’analyse des spéculations des systèmes multi-espèces à travers une analyse exploratoire des données permettra de mieux appréhender les dynamiques spatiales perceptibles sur le territoire et ce en fonction du type de production agricole. Pour modéliser la dynamique spatiale de diffusion des choix, il faudra envisager une combinaison de plusieurs approches géographiques pour une meilleure compréhension de la situation et ce en fonction de la complexité du système multi-espèces proposé au sein d’une même exploitation. Il s’agit par la géographie historique de s’intéresser aux changements survenus dans les modèles agricoles au cours du temps en d’étudier l'utilisation des terres agricoles au cours de la dernière décennie (approche diachronique) et la photographie du paysage agricole aux Antilles Françaises (approche synchronique). Ces deux approches synchroniques et diachroniques, révèlent respectivement les corrélations entre plusieurs éléments qui se trouvent dans un même lieu à une période donnée et met l'accent sur les processus de l'activité agricole qui sous-tendent les changements dans les modèles géographiques. La diffusion d’une pratique peut être analysée tout d’abord temporellement (Rogers, 1983) en estimant qu’il n’existe pas de différenciation spatiale dans le phénomène. Dans un deuxième temps, la considération de la dimension spatiale (Hägerstrand, 1967) dans l’étude de la diffusion devient primordiale pour l’étude de diffusion d’une pratique agricole dans des territoires diversifiés même s’ils sont insulaires et exigus. Les processus de diffusion spatiale sont perceptibles à différentes échelles spatiales (Aber, 1972) et il s’agit de déterminer les échelles d’études les plus pertinentes pour clarifier le phénomène : de l’échelle régionale à l’échelle locale (Morrill, 1970). La difficulté est de sélectionner la meilleure échelle pour établir un modèle de diffusion spatio-temporelle (Morrill, 1970). Il s’agira, dans la présente étude, d’opter pour une analyse en « time-geography » (Chardonnel, 2001) à savoir une analyse des réactions des individus dans le temps et l’espace : le comportement des agriculteurs face à leur pratique de 2000 à aujourd’hui et la diffusion spatio-temporelle de ces pratiques agricoles sur le territoire. L’objectif principal de la thèse est de comprendre et de modéliser les processus de diffusion spatiale des pratiques agricoles dans les systèmes productifs multi-espèces aux Antilles françaises. Il s’agira de retracer l’apparition des pratiques agricoles de la dernière décennie des agriculteurs n’ayant pas de mono-spéculation mais développant des systèmes productifs multi-espèces et touchant par conséquent différents secteurs agricoles (banane, canne, élevage, maraîchage…) et tout cela dans une même exploitation agricole. L’enjeu sera d'identifier les différents évènements significatifs survenus et subis par les différentes filières agricoles concernées et les producteurs, évènements marquants intervenus au cours de la période, tant climatiques, parasitaires, qu'organisationnels, structurels, réglementaires, marchands ou sociaux. Chaque agriculteur souhaite faire converger son système de production vers ses objectifs productifs en tenant compte des évolutions contextuelles d’exercice de son activité et ce, en fonction de l’offre technologique disponible dans la période correspondante. Il s’agira d’établir un modèle spatio-temporel de diffusion d’pratiques agricoles en tenant compte des facteurs moteurs et facteurs barrières à l’adoption et en donnant des poids différents aux différents facteurs d’influence. L’adoption de pratiques agricoles dépend de la situation géographique de l’exploitation, de la distance par rapport à l’innovateur : le principal déterminant spatial de l’adoption dans les filières de diversification, moins sujettes à un message technique unilatéral prodigué pour des filières très structurées, est l’effet de « mimétisme » (Girard, 1961). Cette adoption dépend également de l’interconnexion entre les différents acteurs de filière. Ce lien n’est peut-être pas nécessairement lié à la proximité géographique des individus mais à une proximité sociale résultant de l’appartenance à un ou plusieurs réseaux sociaux (Granovetter, 1983). L’accessibilité à l’information et la réaction de l’agriculteur face aux changements de pratiques dépend de son appartenance à un groupe social. Dans des filières très bien structurées (canne à sucre et banane), le message technique diffusé est homogène à toute la population et est influencé grandement par des facteurs exogènes à l’exploitant. La dimension spatiale et les réseaux sociaux sont des facteurs influençant les choix des exploitants et ce selon le type d’exploitations (monoculture ou multi-espèces). Actuellement, il semblerait que ce soit le type d’exploitation (taille et localisation) qui influence le choix de l’exploitation dans l’adoption d’innovation en milieu bananier (Mantran, 2011). A partir des techniques d’exploration des données, on pourra aboutir à la mise au point d’un modèle explicatif de la diffusion d’informations et ce probablement par type de production. Cette étude permettra une meilleure connaissance du territoire et de ses dynamiques spatiales agricoles. Doctoriales du CEREGMIA Cayenne, Guyane, France hal-01458425 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01458425 PRODINRA : 384817 | Partager |
L’Asie insulaire, forte exportatrice de main-d’œuvre féminine possède-t-elle un système migratoire propre ? Les cas indonésien, philippin et sri-lankais Auteur(s) : Husson, Laurence Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’Asie insulaire, forte exportatrice de main-d’œuvre féminine possède-t-elle un système migratoire propre ? Les cas indonésien, philippin et sri-lankais.Les migrations de travail ont une longue tradition en Asie. Instaurées par les puissances coloniales européennes par le biais des contrats de travail, après l’abolition de l’esclavage, elles ont ainsi favorisé l’expansion de deux solides diasporas, l’une chinoise, l’autre indienne.Ce vaste continent qui abrite désormais 60 % de la population mondiale et les deux tiers de la force de travail mondiale demeure, pour longtemps encore, une zone de très forte mobilité.Trois pays, dont deux archipels et une île, les Philippines, l’Indonésie et le Sri Lanka, sont devenus, en l’espace d’une à trois décennies, les principaux exportateurs de main-d’œuvre à l’échelle mondiale. Ces politiques migratoires visent d’une part à réduire la pauvreté et le chômage et d’autre part à accroître les indispensables rentrées de devises par le biais des transferts financiers des migrants. La féminisation des flux migratoires est particulièrement marquée en Asie insulaire où la proportion de femmes avoisine les 70 % du total des migrants. The labour migration have a long tradition in Asia. Migration, which were introduced by European colonial powers (through employment contracts, after the abolition of slavery), have encouraged the expansion of two solid diasporas, 'One China, one Indian. This vast continent, home now 60% of the world's population and two thirds of the global labor force, remains for a long time, a zone of very high mobility. Three countries, including two archipelagos and one island, the Philippines, Indonesia and Sri Lanka are now in the space of one to three decades, the main exporters of labour globally. The objective of these policies migration is a part of reducing poverty and unemployment, and secondly to increase the necessary cash currency, with financial transfers of migrants. The feminization of migration is particularly marked in Asia island where the proportion of women is around 70% of total migrants Indonésie Philippines Sri Lanka Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.982 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/982 | Partager |
Proclamation Année de publication : Extrait de : Affaire Galmot () Résumé : Reproduction d'une affiche portant proclamation du gouverneur de Guyane à la population suite à l'annonce de la mort de l'homme politique Jean Galmot Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA111490025i1 FRA111490025i1 | Partager |
De l'apport de l'archéologie funéraire à la connaissance des sociétés passées aux Antilles Auteur(s) : Romon, Thomas Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : INRAP : Institut National de Recherches Archéologiques Préventives Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : "L'archéologie urbaine, l'archéologie funéraire et l'archéozoologie : apports des disciplines archéologiques à la connaissance des sociétés passées des Antilles", le 11 mars 2016. Université des Antilles Description : Cette communication porte sur l'archéologie funéraire, c'est-à-dire la fouille et l'étude des sépultures. Après un aperçu très rapide du contexte géographique et chronologique, Thomas Romon, présente les techniques et les limites de cette discipline. Puis a travers des exemples de sépultures précolombiennes et d'époque coloniale récemment fouillées sur le territoire de la Guadeloupe, ce que l'archéologie funéraire apporte a la connaissance des populations du passé : à l'échelle de l'individu, de la population, des gestes et des pratiques funéraires. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16055 V16055 | Partager |