L'expérience de l'exportation de la chevrette Macrobrachium rosenbergii en Guyane française Auteur(s) : Lacroix, Denis Maubras, Yann Éditeur(s) : Ifremer Résumé : L'élevage de la chevrette Macrobrachium rosenbergii a été introduit en Guyane au début de la décennie 80 pour aider le développement économique de ce département. Les atouts naturels de cette région permettaient d'envisager d'emblée une culture d'exportation vers le marché métropolitain. Les premiers bassins sont ensemencés en 1983 et la production dépasse la capacité d'absorption du marché local dès 1986 (36 t.). La SICA des producteurs tente d'écouler en 1987 les dizaines de tonnes en stock sur le marché de gros de la métropole mais se heurte à la concurrence de produits similaires, beaucoup moins chers, en provenance du Sud-Est-Asiatique. En 1987, une étude de marketing montre qu'il existe un marché potentiel pour la chevrette à un prix élevé mais à des conditions précises : animal présenté en frais, sur place, dans le circuit de la grande distribution avec un nom et des fiches-recettes; information et animation auprès des chefs de rayon et de la clientèle finale. Suivant ces recommandations, une campagne est lancée en novembre 1988 avec l'aide de l'État et de l'Ifremer et donne d'excellents résultats: 44 tonnes vendues de janvier à décembre 1989 (soit 50 % de la production de la Guyane) à un prix de vente de 99,5 F/kg. La poursuite de l'opération par le groupement des producteurs en 1990 se solde par un échec en raison du manque de rigueur des producteurs et de leur incapacité à financer ce redéploiement. La démonstration a cependant été faite que la chevrette a une place de crustacé haut de gamme à condition d'être valorisée en fonction de la clientèle visée. Equinoxe (Ifremer), 1991-06 , N. 35 , P. 4-12 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00040/15154/12495.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00040/15154/ | Partager |
Stratégies innovantes de gestion du pâturage pour améliorer l'alimentation et lutter contre le parasitisme gastro-intestinal : pâturage mixte caprins/bovins et addition de vermicompost ; Innovative strategies for grazing management to improve nutrition and fight against gastrointestinal parasitism : pâturage mixed goats / cattle and addition of vermicompost Auteur(s) : D'Alexis, Séverine Auteurs secondaires : Antilles-Guyane Boval, Maryline Résumé : Les systèmes d'élevage des petits ruminants au pâturage sont les plus répandus en zone tropicale humide mais l'exposition aux strongles gastro-intestinaux entraîne des pertes importantes de production. L'objectif de ce travail est d'évaluer un système de gestion mixte du pâturage associant diverses espèces animales permettant à priori d'accroître les performances via la réduction du parasitisme et!ou une meilleure alimentation. L'étude de la littérature a conduit à une méta-analyse confirmant de meilleures performances individuelles ou à l'hectare pour les ovins en mixte. Préalablement un dispositif visant à vérifier la non-transmission des larves d'Haemonchus contortus des caprinsaux génisses Créoles a été validé. Un second dispositif avec des chevrettes conduites en mixte, infestées ou pas par Haemonchus comortus (Ml et MnI) ont été comparées à des chevrettes contrôles infestées ou non (CI et CnI). Ce dispositif a été conduit pendant 2 ans avec des mesures du couvert pâturé, des mesures individuelles des quantités ingérées, de la digestibilité, du parasitisme et de la croissance. De plus fortes croissances ont étéobservées en pâturage mixte que les chevrettes soient infestées ou pas (43.25 et 31.68 glj pour MDI et MI vs. 32.44 et 17.91 glj) avec une moindre biomasse. Les mesures d'ingestion et d'ingéré digéré ont été corrélées aux croissances des chevrettes contrairement aux variables parasitaires et met en évidence le rôle de l'alimentation et de la résilience dans le bénéfice du pâturage mixte. Une autre gestion intégrée du pâturage a été étudiée basée sur l'utilisation du vermicompost et s' ant sur les mêmes leviers d'action: l'alimentation et le itisme Systems of small ruminant grazing are most prevalent in the humid tropics but this environment exposes animals to gastro-intestinal with production losses. The objective ofthis thesis is to evaluate a system ofmixed management ofthe pasture combining various animal species, which allows a priori to increase animal performance by reducing the parasitism and/or better nutrition. The study of literature bas led to a meta-analysis confirming the better individual performances or calculated per ha for sheep reared mixed. The first experiment validated the non-transmission of Iarvae ofHaemonchus contortus from goats to heifers. In a second experiment, goats mixed with heifers, infested or not with Haemonchus contortus (Ml vs MnI) were compared with controls goats, reared alone, infested or not (CI and CNI). This deviee with a continuous driving was studied for two years with measurements on the sward, individual measures of intake, digestibility, parasitism and growth ofthe goats. The highest growth rates were measured with the mixed pasture as goats are infested or not (43.25 and 31.68 g / d for MN! and MI vs. 32.44 and 17,91 g / d) with lower biomass. The herbage intake and the digested herbage intake were well correlated to the growth rate, unIike parasitic variables, and highlight the role of diet in the benefit of mixed driving for goats. Therefore, the infested goats with Haemonchus, expressed greater resilience with improved growth performance compared with controls. Parallel to the study ofmixed pasture, another integrated management of grazing was studied, based on the use of vermicompost and relying on the same levers. namelv throuzh feedinz and parasitism http://www.theses.fr/2012AGUY0537/document | Partager |
Amélioration des techniques d'élevage de la chevrette Macrobrachium rosenbergii en Guyane (programme pluri-annuel 1988-1990). 2ème volet : années 1989-1990 Auteur(s) : Griessinger, Jean-michel Gondouin, Philippe Dutto, Gilbert Lacroix, Denis Pollet, Thierry Falguiere, Jean-claude Mer, Gilles Résumé : Le programme d'amélioration des techniques d'élevage de la Chevrette Macrobrachium rosenbergii en Guyane constitue la deuxième phase du programme d'expérimentation mené sur la station IFREMER de Kourou. Jusqu'en 1988, l'effort a porté sur l'analyse du système continu classique utilisé par l'ensemble des producteurs de Macrobrachium aux Antilles et en Guyane. A partir de 1988, il apparut que la résolution des problèmes posés par son application passait par l'utilisation de schémas de gestion de la population en mode discontinu. Les expérimentations ont donc porté sur les principales conditions d'élevage susceptibles d'améliorer l'efficacité du schéma d'exploitation de la population.
En prégrossissement, il s'agissait d'obtenir le meilleur compromis densité/croissance en jouant sur des facteurs tels que l'aliment artificiel ou la stimulation de la productivité naturelle, tout en produisant un juvénile pour toute post larve ensemencée.
En grossissement, la contrainte essentielle est l'organisation sociale de la population qui se traduit par une croissance rapide et hétérogène des mâles et une croissance lente mais homogène des femelles. Nous avons essayé de dégager les schémas permettant de tirer le maximum de profit de ces spécificités de croissance avec un minimum de coût. Pour cela nous avons testé différentes procédures en jouant sur le poids moyen initial, les caractéristiques de la population introduite (monosexe, lot de tête ou de queue issus d'un tri), la densité et la durée d'élevage,le mode de récolte. Droits : 1992 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00041/15262/12611.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00041/15262/ | Partager |
Aménagement des techniques de production de la chevrette Macrobrachium rosenbergii en Guyane Auteur(s) : Griessinger, Jean-michel Lacroix, Denis Falguiere, Jean-claude Pollet, Thierry Gondouin, Philippe Mer, Gilles Résumé : En 1987, la filière de production de chevrettes Macrobrachium rosenbergii en Guyane Française a fait l'objet d'intervention du laboratoire d'aquaculture de l'IFREMER à 2 niveaux : un appui technique à la profession, et des expérimentations à la station expérimentale gérée en commun par IFREMER et INRA, à KOUROU. L'appui technique a porté sur la formation d'éleveurs notamment pour le démarrage des exploitations, l'amélioration des techniques d'exploitation et de choix des classes détaillées commerciales, la maîtrise des caractéristiques du milieu d'élevage par l'utilisation des amendements classiques, la lutte contre la contamination des produits par les germes coliformes. Le programme de recherche a porté en 1987 sur l'analyse du milieu d'élevage et tenté d'identifier un bon estimateur de la qualité du milieu, nécessaire pour l'exploitation des bassins par la méthode en «continu». Au plan de la production, l'année 1987 est marquée par un arrêt brutal de la dynamique de la production qui caractérisait les années précédentes, en raison de l'échec de la commercialisation à l'exploitation, allant jusqu'à l'arrêt de quatre exploitations représentant une vingtaine d'hectares. Droits : 1989 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00041/15267/12619.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00041/15267/ | Partager |
Aquaculture de poisson en Martinique : Compte rendu de mission en martinique du 19 au 26 juillet 1990 Auteur(s) : Antona, Martine Résumé : Fish aquafarming is an activity that is starting to take off in Martinique as possible diversification of giant river prawn breeding (Macrobrachium Rosenbergii) which debuted in the middle of the 70s. Two species were involved, one freshwater species (the red tilapia or Saint-Pierre) and a marine species (the redfish or red drum). This mission report presents, in the first section, the local conditions of fish aquafarming development in Martinique the current characteristics of the breeds, the existing production sector and its management. A second section inventories the main operating constraints of this field technical or market constraints. (OCR non controlé) L'aquaculture de poisson est une activité en démarrage en Martinique comme diversification possible de l'élevage de la chevrette (Macrobrachium Rosenbergii) débuté au milieu des années 70. Deux espèces sont concernées, une espèce d'eau douce (le tilapia rouge ou Saint-Pierre pays) et une espèce marine (le redfish ou ombrine tropicale). Ce rapport de mission présente dans une première section, les conditions locales de développement de l'aquaculture de poisson en Martinique - les caractéristiques actuelles des élevages, le secteur de production existant et son encadrement-. Une seconde section recense les principales contraintes de fonctionnement de la filière -contraintes techniques ou de marché. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/1990/rapport-2421.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/2421/ | Partager |
Amélioration des techniques d'élevage de la chevrette Macrobrachium rosenbergii en Guyane Auteur(s) : Griessinger, Jean-michel Gondouin, Philippe Dutto, Gilbert Lacroix, Denis Pollet, Thierry Falguiere, Jean-claude Mer, Gilles Résumé : En 1987, l'analyse du système d'élevage en continu menée par l' IFREMER tant sur les fermes guyanaises que sur la station expérimentale de Kourou a permis de mettre en évidence les limites et les faiblesses de ce mode d'élevage. Elle a montré la nécessité d'un meilleur contrôle du cheptel depuis l'ensemencement jusqu'à la commercialisation afin de pouvoir atteindre de manière fiable des rendements de l'ordre de 2,5 T/ha/an. Droits : 1990 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00041/15266/12618.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00041/15266/ | Partager |