Solanum nigrescens ; hierba mora ; macuy ; quilete Résumé : Herbácea de hasta 1 m de alto; tallos jóvenes pilosos. Hojas en pares o solitarias, de diferentes tamaños pero similares en forma, enteras o sinuado-dentadas, ovadas a ovado-lanceoladas, ápice acuminado, base atenuada. Inflorescencia internodal, racemosa o subumbelifera; corola blanca o lila, con una mancha obscura en la base de cada lóbulo. Fruto globoso de 4 a 7 mm de diámetro. Herbacée pouvant atteindre 1 m de haut; tiges jeunes pileuses. Feuilles par paires ou solitaires, de différentes tailles mais de forme semblable, entières ou sinuo-dentées, ovées à ovo-lancéolées, à pointe acuminée et à base atténuée. Inflorescence internodale, en grappe ou subombellifère; corolle blanche ou couleur lilas, avec une tache sombre à la base de chaque lobe. Fruit arrondi de 4 à 7 mm de diamètre. Anthers 1.7 mm or more in length; dull black or green mature fruit; calyx adhering to fruit; fruiting pedicels noticably deflexed; plants of highlands. Herb, up to 1 m high; young stems pilose. Leaves in pairs or solitary, of different sizes but similar appearance, entire or sinuate-dentate, ovate to ovate-lanceolate; apex acuminate, base attenuate. Inflorescences internodal, racemose or subumbellate; corolla white or lilac, with a dark spot at the base of each lobe. Fruit globose, 4-7 mm in diameter. Nativa de Centroamérica, crece en todo el trópico americano. Originaire de l’Amérique centrale, présente dans l’ensemble de la zone tropicale américaine, mais jamais signalé aux Petites Antilles. Native to Central America; grows http://www.tramil.net/fototeca/plant328 | Partager Voir aussi |
Iguana delicatissima Extrait de : Une excursion aux climats tropicaux : voyages aux îles-du-vent St-Kitts, Nevis, Antigue, Monserrat, La Dominique, La Guadeloupe, Ste-Lucie, La Barbade, Trinidad (p. 86) Résumé : Gravure représentant un iguane Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Provenance : Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation Permalien : http://www.manioc.org/images/HASH9b96e7d75dd320cce092d5 HASH9b96e7d75dd320cce092d5 | Partager Documents liés :
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Du nom indigène des îles de l'archipel des Antilles Auteur(s) : L'Etang, Gerry Année de publication : Description : Construit à partir de l'examen systématique de la plupart des sources disponibles, cartes, archives, chroniques, ouvrages et relations des XVIème et XVIIème siècles, le présent travail se définit comme une présentation générale de la toponymie indigène des Antilles. Y sont présentées, quand elles existent, les tentatives de définition formulées par les auteurs modernes, ainsi toutes celles que nous permettent l'état actuel des connaissances relatives aux dialectes Arawak des Grandes et des Petites Antilles. Les îles sont distribuées ci-après selon l'ordre naturel de leur position le long de l'arc antillais, de la Floride au Venezuela. Droits : Ce document est protégé par le droit d'auteur. Il ne peut en aucun cas être utilisé sans l'autorisation de l'auteur et des ayant droits Permalien : http://www.manioc.org/recherch/HASH01770dab508ee9674171765c HASH01770dab508ee9674171765c | Partager |
Nouvelle théorie a propos de l'origine de la vénénosité : de certains poissons antillais Auteur(s) : Morice, Jean Éditeur(s) : ISTPM Résumé : The problems caused by venomous fish in the waters of the Lesser Antilles were studied in two notes published by the state-run Technical Assistance and Social Credit Company (SATEC) and in older works by Poey (1866), Arcisz (1950) and Randal (1958). The first SATEC note gives the brief description and classification of venomous coastal fishes of St. Barthelemy; the other SATEC note explores the hypotheses on the origin of venomousity of tropical fish based on a vast literature review (Morice, 1961, 1962). It also gives in the appendix a complete list of "fearful" species (this is how venoumous fish are designated in the local language and the "ciguatera" is called a "hurt fish") in St. Barthelemy waters and reports the cases of poisoning studied on the island since September 1960.In October 1963, we carried out a short expedition to St. Martin, during which we established equivalences between local names used by the inhabitants of St. Barthelemy and St. Martin to designate dangerous species. Moreover, thanks to kind help by a doctor at the Marigot hospital, we were able to note details on the symptoms from a series of serious poisonings that occurred at Marigot and surrounding areas in July-August 1963. The species incriminated by the victims of this poisoning had been caught in the south-west of the "Ile des Chiens" situated in the north-west of St. Martin and were all part of the list previously established for St. Barthelemy. Les problèmes posés par la vénénosité de certains poissons des eaux des Petites Antilles ont fait l'objet, en de:hors de travaux anciens de POEY, 1866 à ARCISZ, 1950 et RANDALL, 1958) de deux notes ronéotypées par les services de la S.A.T.E.C. L'une concerne la description rapide et la classification des poissons côtiers vénéneux de l'île de St-Barthélémy; l'autre étudie les théories émises à propos de l'origine de la vénénosité des poissons tropicaux, ceci après compilation de la vaste littérature parue à ce sujet (MORICE, 1961 : 1962) ; elle donne également en annexe la liste complétée des espèces « redouteuses » des eaux de St-Barthélémy avec notification des cas d'empoisonnement étudiés dans l'île depuis septembre 1960 (c'est en effet par ce qualificatif que les poissons vénéneux sent désignés dans le patois de St-Barthélémy, et la « ciguatera)) est appelée « mal poisson ))). En octobre 1963, nous avons effectué une courte mission d'étude à St-Martin, séjour au cours duquel nous avons pu établir l'équivalence des noms vernaculaires utilisés par les habitants de St-Barthélémy et de St-Martin pour désigner les espèces dangereuses; de plus, grâce au concours aimable du médecin de l'hôpital de Marigot, nous avons pu noter les détails symptomatologiques d'une série d'intoxications graves survenues à Marigot et clans ses environs en juillet-août 1963. Les espèces incriminées par les victimes de cette intoxication avaient été capturées dans le sud-ouest de l'îlot des Chiens, dans le nord-ouest de St-Martin et faisaient toutes partie de la liste établie précédemment pour St-Barthélémy. (OCR non contrôlé) Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1965-09 , Vol. 28 , N. 3 , P. 231-236 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1965/publication-4040.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4040/ | Partager |
Ecrire une histoire de la Caraïbe : réflexions et échanges autour de la publication du 2ème tome d'Histoire et Culture de la Caraïbe ; Ecrire une histoire de la Caraïbe : réflexions et échanges autour de la publication du 2ème tome d'Histoire et Culture de la Caraïbe ; Ecrire une histoire de la Caraïbe : réflexions et échanges autour de la publication du 2ème tome d'Histoire et Culture de la Caraïbe Auteur(s) : Sainton, Jean-Pierre Bérard, Benoît (1972-....) Chateau-Degat, Richard Sainton, Jean-Pierre Bérard, Benoît Chateau-Degat, Richard Sainton, Jean-Pierre Bérard, Benoît Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Extrait de : "Ecrire une histoire de la Caraïbe" : Séminaire, le 15 octobre 2012. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : "Première réunion du séminaire de l'AIHP-GEODE autour de l'histoire et du patrimoine antillais. Présentation du travail sur la rédaction du deuxième tome du manuel d'histoire antillais intitulé "Histoire et Civilisation de la Caraïbe (Guadeloupe, Martinique, Petites Antilles): Le temps des matrices (économie et cadres sociaux du long dix-huitième siècle)". Pourquoi écrire une histoire sur la caraïbe ? Ce deuxième tome aborde une période essentielle de la structuration antillaise : l'économie coloniale, les productions, la traite négrière et la question du travail (esclavagiste et négrière) au 18e siècle." "Première réunion du séminaire de l'AIHP-GEODE autour de l'histoire et du patrimoine antillais. Présentation du travail sur la rédaction du deuxième tome du manuel d'histoire antillais intitulé "Histoire et Civilisation de la Caraïbe (Guadeloupe, Martinique, Petites Antilles): Le temps des matrices (économie et cadres sociaux du long dix-huitième siècle)". Pourquoi écrire une histoire sur la caraïbe ? Ce deuxième tome aborde une période essentielle de la structuration antillaise : l'économie coloniale, les productions, la traite négrière et la question du travail (esclavagiste et négrière) au 18e siècle." Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12228 V12228 V12228 V12228 | Partager |
Engins et techniques de pêche de la Martinique Auteur(s) : Guillou, Alain Lagin, Alain-sabin Résumé : This document is mainly a catalogue of the different types of fishing gears noticed all around
Martinique during a ten years period (1985-1994)The technical description of these gears and their plans are presented, according to FAO standards.
Besides these descriptions, the origins of the introduction in Martinique of the main categories of gears are related .Moreover,, the operating conditions of each fishing gear as well as the targeted species are dealt with.
In addition, recent gears and techniques such as fishing aggregating devices (FADs) and associated fishing techniques are described. These ones appeared in Guadeloupe and Martinique during the last eighties years.
Furthermore, the main characteristics of the martinican fishing fleet structure are mentioned at the beginning of this work, with a special attention to dug-out canoes, because of their progressive disappearance.
Cet ouvrage est essentiellement un catalogue des différents types d'engins de pêche observés le long du littoral de la Martinique, entre 1985 et 1994. Les caractéristiques techniques de ces: engins et leurs plans sont présentés selon les normes FAO. En dehors de ces descriptions, on s'est à chaque fois que possible attaché à rappeler l'introduction à la Martinique des grandes catégories d'engins de pêche. En outre, les conditions pratiques de mise en oeuvre de chaque engin ainsi que les principales espèces recherchées sont précisées au mieux. Sont également décrits des engins et techniques récents,tels que les dispositifs de concentration de poissons (DCP) et des techniques de pèche qui leur sont associées, apparues dans les eaux de la Guadeloupe et de la Martinique à la fin des années quatre vingt. Enfin, les grands traits de la structure de la flottille de pêche martiniquaise sont rappelés en début d'ouvrage, avec un développement particulier pour les gommiers, en raison de leur disparition progressive. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/1997/rapport-1120.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/1120/ | Partager |
De l'archéologie précolombienne au patrimoine antillais Auteur(s) : Bérard, Benoît (1972-....) Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'intérêt pour l'héritage amérindien porté au début surtout sur les roches gravées, puis après des fouilles archéologiques sur des expositions d'objets précolombiens. Les années 60-70 marque un réel engouement pour ce patrimoine avec l'organisation du 1er congrès d'archéologie des petites Antilles en Guadeloupe, l'ouverture du parc des rôches gravées, d'un musée... Par ailleurs, la mémoire amérindienne est moins polémique et permet de revitaliser le tourisme local comme avec la création d'un village amérindien reconstitué. Aujourd'hui avec le Musée des civilisations amérindiennes des petites Antilles en Martinique, l'identité amérindienne est au coeur du processus de patrimonialisation. Enfin, la connaissance et la valorisation de l'histoire amérindienne permet aux Antilles françaises de se réintégrer dans l'espace de la caraïbe. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12131 V12131 | Partager |
How wide is the seismogenic zone of the Lesser Antilles forearc? Auteur(s) : Gutscher, Marc-andre Westbrook, Graham Marcaillou, Boris Graindorge, David Gailler, Audrey Pichot, Thibaud Maury, Rene Éditeur(s) : Soc Geol France Résumé : The Lesser Antilles subduction zone has produced no recent strong thrust earthquakes, making it difficult to quantify the seismic hazard from such events. The Lesser Antilles arc has a low subduction rate and an accretionary wedge that is very wide at its southern end. To investigate the effect of the wedge on seismogenesis, numerical models of forearc thermal structure were constructed along six transects perpendicular to the arc in order to determine the thermally predicted width of the seismogenic zone. The geometry of each section is constrained by published seismic profiles and crustal models derived from gravity and seismic data and by earthquake hypocenters at depth. A major constraint on the deep part of the model is that mantle temperature beneath the volcanic arc should achieve a temperature of 1,100 degrees C to generate partial melts. Predicted surface heat flow is compared to the available heat flow observations. Thermal modeling results indicate a systematic southward increase in the width of the seismogenic zone, more than doubling in width from north to south and corresponding to a dramatic southward increase in forearc width (distance from the arc to the deformation front of the accretionary wedge). The minimum width of the seismogenic zone (distance between the intersections of the subduction interface with the 150 degrees C and 350 degrees C isotherms) increases from about 80 km, north of 16 degrees N, to 230 km, at 13 degrees N. The maximum width (between the 100 degrees C and 450 degrees C isotherms) ranges from about 150 km in the north to up to 320 km in the south. This large variation in the width of the seismogenic zone is a consequence of the increasing width of the accretionary wedge to the south, caused by the increased thickness of sediment on the subducting plate. There is good agreement between the thermally predicted seismogenic limits and the sparse distribution of recorded thrust earthquakes, which are observed only in the northern portion of the arc. Possible scenarios for mega-thrust earthquakes are discussed. Depending on the segment length (along-strike) of the rupture plane, the occurrence of an event of magnitude 8-9 cannot be excluded. L’absence de grands séismes récents à mécanismes chevauchants dans la zone de subduction des Petites Antilles rend difficile l’évaluation de l’aléa sismique lié à de tels événements. L’arc des Petites Antilles est caractérisé par une faible vitesse de subduction et par la présence d’un prisme d’accrétion très développé à son extrémité méridionale. Afin d’évaluer les effets de la largeur de ce prisme sur la genèse des séismes, nous avons étudié six sections perpendiculaires à l’arc, du nord au sud de celui-ci, pour déterminer la largeur de la zone sismogène prédite par les modèles thermiques appliqués à chacune de ces coupes. La géométrie de ces dernières est contrainte par les profils sismiques publiés, par les modèles de structure crustale déduits des données gravitaires et sismiques, et enfin par la distribution des hypocentres des séismes. Un contrôle important permettant de tester la validité des modèles thermiques en profondeur est qu’une température minimale de 1 100oC, compatible avec la fusion partielle du manteau hydraté, doit être atteinte sous l’arc volcanique actif. Par ailleurs, le flux thermique en surface prédit par ces modèles doit être compatible avec les mesures de flux de chaleur. Les modèles thermiques retenus d’après ces critères montrent une augmentation du simple au double vers le sud de la largeur de la zone sismogène, qui correspond à un élargissement considérable de la taille du domaine avant-arc. En effet, la largeur minimale de la zone sismogène (définie comme la distance entre les intersections de l’interface des plaques avec les isothermes 150o et 350oC) augmente d’environ 80 km au nord de 16oN jusqu’à 230 km à 13oN. La largeur maximale de cette zone (définie par les intersections de l’interface avec les isothermes 100o et 450oC) augmente, quant à elle, d’environ 150 km au nord jusqu’à 320 km au sud de l’arc. Cette variation considérable est la conséquence de l’augmentation de la largeur du prisme d’accrétion, elle-même causée par l’accumulation croissante des sédiments déposés sur la plaque plongeante. Les largeurs de la zone sismogène prédites à l’aide des modèles thermiques sont en bon accord avec les rares données disponibles sur les séismes à mécanismes chevauchants dans la partie nord de l’arc. Les scénarios possibles relatifs à des méga-séismes de ce type n’excluent pas de futurs événements atteignant des magnitudes de 8 à 9. Bulletin De La Societe Geologique De France (0037-9409) (Soc Geol France), 2013 , Vol. 184 , N. 1-2 , P. 47-59 Droits : 2013 Societe Geologique de France http://archimer.ifremer.fr/doc/00140/25140/29432.pdf DOI:10.2113/gssgfbull.184.1-2.47 http://archimer.ifremer.fr/doc/00140/25140/ | Partager |
Aperçu du commerce colonial à travers les papiers des Amirautés des Petites Antilles 1770-1780 Auteur(s) : Guibert, Jean-Sébastien Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe HARCMAR : Histoire et Archéologie Maritimes des Petites Antilles Extrait de : "Entre exclusif et contrebande, le commerce colonial aux Antilles XVIIe-début XIXe siècle" : journées d'étude, du 24 au 26 octobre 2019. Université des Antilles Description : Les amirautés des Antilles ont été établies à partir de 1719 et ont été supprimées en 1791. Leurs archives ont longtemps été considérées comme des archives fantômes. Une partie de ces fonds, concernant la période des années 1770-1780, conservés aux Archives Nationales, a été retrouvée récemment. La documentation consultée bien que partielle donne un aperçu de la fréquentation maritime des Petites Antilles (long cours cabotage) depuis les Antilles mais aussi de la fraude récurrente que l'on peut appréhender au travers des saisies et des liquidations des navires et des marchandises pris par les navires du Domaine ou de la station navale. Aux côtés de la pratique de ce commerce clandestin les entorses aux règlements sont nombreuses. Il s'agira de présenter l'apport de ces fonds à la connaissance de la fréquentation maritime des colonies françaises des Petites Antilles, de voir ce qu'ils apportent pour étudier l'envers du décor : la fraude et enfin leur intérêt pour appréhender la vie maritime et portuaire au quotidien. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V19104 V19104 | Partager |
La géothermie en Martinique Auteur(s) : Labeau, Yannis Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles AREBio Groupe de recherche BIOSPHERES : BIOlogie, Sciences Physiques & Humaines pour les énergies Renouvelables, l Extrait de : 1er colloque international BIOSPHERES, du 18 au 20 juin 2019. Université des Antilles Description : La Martinique, d'une superficie de 1128 km², est l'une des îles des Petites Antilles résultant de la subduction de la plaque nord-américaine sous la plaque Caraïbes. Ce contexte géodynamique est favorable en soi à l'existence de réservoirs géothermiques exploitables pour la production d'électricité. Dès la fin des années 60, les explorations géothermiques ont pu mettre en évidence trois zones d'intérêt : - La plaine du Lamentin où a été identifié un réservoir de basse à moyenne enthalpie (~90°C), à partir duquel une valorisation en termes de production de froid peut être envisagée. - Le flanc sud-ouest de la Montagne Pelée au nord-ouest et les Anses d'Arlet au sudouest, qui abriteraient des réservoirs de haute enthalpie (>180°C) favorables à la production d'électricité. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V19088 V19088 | Partager |
Catalogue descriptif des poissons vénéneux du banc de Saint Barthelemy (Antilles françaises) Auteur(s) : Morice, Jean Éditeur(s) : ISTPM Résumé : The Caribean Sea ichthyofauna, like that of all tropical and subtropical seas, contains venomous fishes some of which can cause certain forms of ichthyosarcotoxism.The first people to notice, at their expense, the existence of these dangerous animals in the waters of the West Indies were the conquistadores who settled in Haïti and Cuba after Christopher COLOMBUS. As these men were not well provided by fresh supplies from their far away home-as related by many chroniclers-they had to live on local food resources. Originally, terrestrial fauna, in these islands, was very lacking as far as big mammals go, and birds bigger than a pigeon were rare. As a consequence, Spanish sailors and soldiers ate mostly seafood, fish, crustaceans and molluscs that abounded in the clear waters of the Caribean shores. (The introduction of European mammals: bovines, ovines, caprines and porcines, but also poultry, only happened many years later-cattle raising only developed when the conquistadores were well settled and land had been divided-initial protid production was not sufficient to cover the Spaniards' needs.... La faune ichthyologique de la Mer des Antilles, comme celle de toutes les mers des regions tropicales et subtropicales, contient des poissons vénéneux, causes de certaines formes d'ichthyosarcotoxisme. Les premiers qui s'aperçurent, à leurs dépens, de l'existence de ces animaux dangereux dans les eaux des Indes occidentales furent les conquistadores qui s'installèrent en Haïti et à Cuba après les découvertes de Christophe COLOMB et de ses lieutenants. Ces hommes, souvent fort mal ravitaillés par leur trop lointaine métropole -tous les chroniqueurs de l'époque en font foi -furent obligés d'utiliser les ressources alimentaires locales. Comme à l'origine, la faune terrestre des îles était très pauvre en grands mammifères et que les oiseaux plus volumineux qu'un ramier étaient rares, les soldats et les marins espagnols consommèrent surtout les fruits de la mer : poissons, crustacés et mollusques qui abondaient dans les eaux claires des rivages antillais. (L'introduction des mammifères européens: bovins, ovins, caprins et porcins, comme des oiseaux de basse-cour, fut relativement tardive; l'élevage ne se développa que lorsque les conquérants de l'Eldorado furent installés et que la terre fut partagée; la production initiale de protides était très nettement insuffisante pour couvrir les besoins des Espagnols.) L'un des animaux les plus faciles à capturer était -et l'est encore -le-« burgo », Linona pica L., gros gastéropode de la famille des Trochidés qu'il suffisait de récolter à la main sur les récifs coralliens ou les rochers qui bordaient les plages; l'abondance de la distribution de ce gros bigorneau est encore telle à l'heure actuelle qu'il forme une ressource permanente appréciée; dans certaines petites îles très mal ravitaillées: Los Hermanos et La Blanquilla dans les Antilles vénézuéliennes; Saint-Barthélémy, La Désirade, dans les Antilles françaises, etc., où le « burgo » constitue une partie importante de la ration alimentaire. Il arrivait à Cuba, que sa consommation soit la cause d'accidents gastro-intestinaux et neuraux qui furent groupés par les Espagnols sous le nom de "ciguatera", le mollusque lui-même étant appelé "cigua", (II faut noter que les « burgos » récoltés sur certains îlots et récifs de la côte méridionale de Saint-Barthélemy sont la cause de troubles analogues à ceux qui furent décrits par les chroniqueurs des XVe et XVIe siècles) Le vocable s'est étendu ensuite, dans le langage populaire, aux troubles digestifs et aux troubles neuraux ressentis après l'ingestion de différentes espèces de poissons vénéneux, espèces qui se révélèrent malheureusement relativement nombreuses dans les eaux des Grandes Antilles, Le auteurs anciens, repris par COUTIÈRE dans sa thèse (1899) décrivent également des cas d'intoxications graves depuis le début de l'occupation des Petites Antilles par les Européens, intoxications attribuées pour la plupart aux barracudas, aux balistes, aux murènes, à certains clupes, aux carangues comme à un certain nombre d'espèces de « poissons rouges ». Les naturalistes modernes, d'ARCISZ (1950) à RANDALL (1958), donnent la liste scientifique des espèces incriminables dans la Mer des Antilles. Il n'existe actuellement aucun manuel en langue française permettant la détermination des poissons marins et des espèces dulçaquicoles des Petites Antilles, Le naturaliste est obligé, pour identifier les poissons, de recourir à des ouvrages américains ou hollandais, ou encore à des monographies toutes rédigées en langue anglaise. Ces livres, à de très rares exceptions près, sont anciens et difficiles à trouver en librairie étant presque tous épuisés ou rares. La publication que nous présentons ici n'a pas la prétention de pallier l'inexistence de documents en langue française sur l'ensemble de la faune ichthyologique antillaise; elle n'a pour but que de fournir au personnel chargé du contrôle du conditionnement et des marchés, aux armateurs à la pêche désireux de se renseigner sur les possibilités locales, comme à quelques esprits curieux, une documentation suffisante et illustrée, pour permettre une identification sûre et rapide des espèces dangereuses. Cette étude est née d'un besoin précis : les pêcheurs des Antilles françaises, maintenant guidés par une assistance technique qui reprend élémentairement les bases de la profession, se sont heurtés très rapidement au fait suivant : il était nécessaire de créer un conditionnement des produits de la pêche car quelques espèces de poissons commerciaux, saines dans certaines régions, sont vénéneuses dans d'autres, géographiquement toutes voisines, et doivent être éliminées du marché. Pour cela il fallait établir avec précision quelles espèces pouvaient être dangereuses, et donner aux pêcheurs, aux marchands et au public l'image exacte des formes incriminables. Si une espèce donnée peut contenir des individus vénéneux, tous les individus de cette espèce ne sont pas dangereux et des spécimens de la même espèce incriminables en un point ne le seront pas dans d'autres lieux de pêche. POEY (1866) a écrit: « ... il n'y a pas un poisson suspect sur dix mille... » Cela est sans doute vrai si l'on envisage le stock constitué par une espèce, mais ne l'est plus si l'on considère les concentrations géographiques. A travers l'expérience que nous avons acquise à Saint-Barthélemy, nous pouvons affirmer avec certitude que les poissons vénéneux sont bien groupés en isolats cernés par des frontières géographiques précises. De plus il apparaît très nettement que les poissons âgés, donc ayant atteint un certain poids, sont seuls responsables des accidents ciguatériques les plus graves. Le fait que l'ichthyologiste cubain POEY, 1866, ait imposé l'interdiction des poissons pesant plus de trois livres dans les espèces suspectes sur le marché de La Havane est très significatif. Un fait statistique observé à Saint-Barthélemy vient corroborer les notions précédemment énoncées. Un certain nombre de canots de pêche à la ligne à main, travaillant à l'accore méridional du banc de Saint-Martin, capturait surtout des « oreilles noires » (Lufianus buccanella (c. et V.), 1828) et des « vivaneaux » (L. vivanus (c. et V.), 1828) ; le poids des poissons vidés acceptés par le service de contrôle de la coopérative des pêcheurs de Gustavia avait été fixé à 1 500 g; des poissons de poids bien supérieurs à ce plafond ayant été acceptés par le conditionnement en janvier et février 1963, toute une série d'intoxications graves de type ciguatérique se produisit à Basse-Terre et à Pointe-à-Pitre de La Guadeloupe, lieux principaux de consommation du poisson capturé sur le banc de Saint-Martin. Le poids des poissons vidés exportables ayant été ramené à 1 500 g. les intoxications cessèrent. Il reste à étudier l'étiologie de la «ciguatera », forme la plus commune d'ichthyosarcotoxisme notée aux Antilles. L'accumulation des observations et des notes prises à propos des cas observés à Saint-Barthélemy, à La Guadeloupe, comme à La Martinique (1950) ainsi que les dissections effectuées sur les poissons capturés par les pêcheurs de Saint-Barthélemy nous permettront peut-être de conclure bientôt à ce sujet. Enfin. il faudra trouver le test biochimique simple et précis permettant de déterminer rapidement si un poisson considéré comme « redouteux» est vénéneux ou non. (Les poissons incriminables sont désignés sous le nom de poissons «redouteux» dans le patois de Saint-Barthélemy; la « ciguatera » est nommée « mal poisson ».) Les appellations vernaculaires créoles des espèces vénéneuses ont été établies à partir des notes prises depuis 1950. Cette liste est loin d'être exhaustive car il n'y a pas de domaine plus ingrat que la synonymie vernaculaire. Les appellations américaines, britanniques et hollandaises ont été prises dans les ouvrages publiés d'une part par le Fish and Wildlife Service (laboratoire de Biologie marine de Miami), et d'autre part par la Commission des Caraïbes. Kent House, à La Trinidad. 1959. relayée ensuite par le Secrétariat central de l'Organisation des Caraïbes, 1961. Hato Rey. Porto-Rico. Enfin. nous avons pu établir l'équivalence vernaculaire des noms de poissons utilisés à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin grâce à l'aimable collaboration du Dr PETIT, chef de l'hôpital de Marigot à Saint-Martin. Les bases de la systématique que nous avons utilisées, pour replacer les espèces décrites dans un cadre cohérent. sont celles qui sont exposées par BERTIN et ARAMBOURG (1958) dans le troisième fascicule du tome treize du Traité de Zoologie publié sous la direction du Pr P. GRASSÉ: nous y avons fait de larges emprunts. (OCR non contrôlé) Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1965-03 , Vol. 29 , N. 1 , P. 1-130 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1965/publication-4004.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4004/ | Partager |
La pêche des espèces pélagiques aux Antilles françaises - Etat actuel et perspective de développement Auteur(s) : Sacchi, Jacques Lagin, Alain Chaudemar, Victor Langlais, Claude Éditeur(s) : ISTPM Résumé : L'essor de la pêche aux Antilles représente un atout important dans le développement économique et social des Petites Antilles, encore faut-il en déterminer les possibilités, les limites et les moyens. C'est à cette tâche que l'Institut Scientifique et Technique des Pêches Maritimes s'est appliqué depuis son implantation en Martinique. Pour les espèces pélagiques, il s'agissait, en premier lieu, de faire l'inventaire des ressources qu'offrent les eaux antillaises, et d'en préciser le niveau d'exploitation actuel. Science et Pêche (0036-8350) (ISTPM), 1981-04 , Vol. 312 , P. 1-15 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1981/publication-7178.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/7178/ | Partager |
La problématique du développement durable dans les Petites Antilles (quelques enseignements généraux) Auteur(s) : Joseph, Philippe Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : Juin 2003 Dans le contexte actuel de mondialisation, de changement climatique et de forte anthropisation de la biosphère, les Petites Antilles s'érigent en monde marginal ou encore en anti-monde. Fracturées du point de vue politique, économique, linguistique et à certains égards culturel, ces territoires insulaires du Bassin caraïbe recèlent de richesses environnementales (physiques, écosystèmiques et paysagères). Comme partout ailleurs dans le monde humanisé, la survie de ces sociétés implique le rétablissement des grands équilibres écologiques consubstantiels à une articulation efficiente entre le naturel, l'urbain et l'agricole. Compte tenu de la pression démographique, variable d'une île à l'autre, la pérennité des écosystèmes en covariance avec un développement économique profitant au plus grand nombre ne peut se concevoir à l'échelle insulaire. Il semble judicieux d'imaginer un développement à l'échelle de l'archipel basé sur la complémentarité, puisque au sein de chaque composante les diverses ressources biologiques terrestres et marines sont insuffisantes pour assurer une autosuffisance en termes de produits de premières nécessités et d'énergie. Le développement des Petites Antilles s'il doit être durable et prendre comme ossature les directives de Rio (Brésil, 1992) et de Johannesburg (Afrique du Sud, 2002), il devra s'inscrire dans une gestion administrative, scientifique, technique et agricole commune dans le cadre d'une Caraïbe fonctionnellement unifiée. A l'unité floristique, faunistique et biocénotique doivent correspondre des stratégies et donc des politiques, similaires mais diversifiées, d'utilisation des ressources abiotiques (énergie éolienne, hydroélectrique et photovoltaïque) et biotiques (écosystèmes terrestres et marins, flore, faune, sols). Malheureusement dans le présent, la compartimentation économique et politique de la Caraïbe rend ces propos profondément utopiques. Néanmoins dans le futur la survie des peuples des Petites Antilles, impliquera un développement durable signifié par des rapports équilibrés entre hommes et milieux. ––––– In the nowadays context of "globalization", climatic variation and great anthropization of the biosphere, the Lesser Antilles appear as a marginal world. In a political point of view, those islands offer a greatly distinct and fractured image. The same fact can also be observed in an economic, linguistic and, in a certain measure, cultural perspective. Despite of such a statement, those territories of the Caribbean basin keep economic and landscape resources whom survival depends on the re-establishment of the great ecologic structures implying a productive articulation between the natural, the urban and the agricultural. It seems pertinent to imagine a development on the level of the archipelago based upon complementarity since each constituent presents a limited number of earth and marine biologic reserves which do not guarantee an autosubsistance in energy and first nessecity productivity. A lasting development of the Lesser Antilles supposes a necessary and commun administrative, scientific, technical and agricultural management within the setting of a Caribbean functionally unified. Facing the biocenotic unity, a useful strategy, based on a similar and diversified organization in the exploitation of biophisic resources, must be erected. Such statements could be considered as utopic, regarding the situation of politic and economic division in the Caribbean nowadays. However, in the future, the survival of those insular societies will imply a lasting development lying upon an efficient relationship between Man and environment. https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003054 Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess halshs-00003054 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003054 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003054/document https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003054/file/Devpt-durable_JOSEPH-PHILIPPE.pdf | Partager |
Toward a New Tourism Policy in the French West Indies: The End of Mass Tourism Resorts and a New Policy for Sustainable Tourism and Ecotourism ; Hacia una nueva política turística en las Antillas francesas: el final de la misa complejos turísticos por una nueva política para el turismo sostenible y el ecoturismo ; Vers une nouvelle politique touristique dans les Antilles françaises: de la fin des stations touristiques de masse pour une nouvelle politique pour le tourisme durable et l'écotourisme Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Augier, Dominique Auteurs secondaires : Lieux, Identités, eSpaces, Activités (LISA) ; Université Pascal Paoli (UPP) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Centre de Recherche en Economie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience In this study, we propose to analyze the limits of mass tourism in the French Antilles, specifically the decline of tourism, economic limits, and ecological degradation). The recognition of these limits is overdue, and signals a need to define another model for tourism development.The popular coastal sector in the south of Martinique has been subject new regulations to protect marine resources. These regulations require the development of new practices and a greater level of awareness for tourists, for example, around coral reefs and mangroves. Ecotourism programs aim to demonstrate to visitors the forests rich natural resources and biodiversity in general. It also features the inclusion of small rural businesses that benefit from additional sources of revenue as a result of ecotourism.The situation in the French Antilles is complex: Urbanization is fraught with serious consequences for the coastline. Tourism products currently being marketed on the island are not competitive (particularly against the political dynamics of the neighbouring island of Dominica). Ecotourism and sustainable tourism are just beginning to develop in such destinations, where tourism has been declining in the last ten years. The situation of the French Antilles is paradoxical in a region that generally has a very favourable tourism. Assessing these limits through the scope of ecotourism helps to highlight the causes of these difficulties and to adapting to new tourism practices. En el contexto de este estudio, nos proponemos analizar los límites del turismo de masas en las Antillas Francesas (depreciación del turismo, las limitaciones económicas, ecológicas y las molestias). Este reconocimiento de esos límites está en el origen de la conciencia tardía de la necesidad de definir otro modelo de desarrollo turístico.En el sector costero de la más popular, como en el sur de Martinica, se pone en la normativa nuevo lugar para proteger los recursos marinos. Esto requiere el desarrollo de nuevas prácticas y la sensibilización de los turistas, por ejemplo, alrededor de los arrecifes de coral y los manglares.Programas en torno al ecoturismo también tienen como objetivo dar al visitante la riqueza de los recursos forestales y la biodiversidad en general. También incluye las pequeñas empresas rurales que reciben los nuevos ingresos a través del turismo.Pero la situación es compleja en las Antillas francesas: la urbanización está llena de importantes consecuencias para la costa. Productos turísticos que se comercializan actualmente no son competitivos (en particular, contra la dinámica política de la cercana isla de Dominica). Ecoturismo y desarrollo sostenible están empezando a desarrollar en este destino turístico, donde el turismo está en problemas en los últimos diez años.Esta situación es bastante paradójico en un turismo regional muy favorable. Sin lugar a dudas, pensando en el ecoturismo contribuye a identificar los destinos de estos retrasos y dificultades para adaptarse a nuevas prácticas de turismo. Dans le cadre de cette étude, l’accent est mis sur les limites du tourisme de masse dans les Antilles françaises (dépréciation du tourisme, les contraintes économiques et les nuisances écologiques). La reconnaissance de ces limites est à l'origine de la prise de conscience tardive de la nécessité de définir un autre modèle de développement touristique.Dans le sud de la Martinique, le secteur le plus populaire du littoral, de nouvelles règlementations sont mises en place pour protéger les ressources marines. Cela nécessite le développement de nouvelles pratiques et de sensibilisation des touristes notamment autour des récifs coralliens et les mangroves. Les programmes autour de l'écotourisme visent également à montrer aux visiteurs la richesse des ressources forestières et de la biodiversité en général. Il comprend également les petites entreprises rurales qui reçoivent de nouveaux revenus grâce au tourisme.La situation est complexe dans les Antilles françaises: l'urbanisation est lourde de conséquences importantes sur la côte. Les produits touristiques commercialisés actuellement ne sont pas compétitifs (notamment contre la dynamique politique de l'île voisine de la Dominique). L'écotourisme et le tourisme durable commencent tout juste à se développer dans ces destinations où le tourisme classique est en difficulté depuis une dizaine d’années ; situation assez paradoxale au regard du dynamisme de ce secteur d’activité dans la région. ISSN: 1779-0980 hal-01624756 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01624756 DOI : 10.4000/etudescaribeennes.5262 | Partager |
Le fragment dans les pratiques plastiques des Petites Antilles Françaises Auteur(s) : Berry, Anne-Catherine Auteurs secondaires : Berthet, Dominique Elbaz, Gilbert Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : Conférence des masters, les 29 et 30 mars 2012. Université des Antilles et de la Guyane Description : Anne-Catherine Berry nous présente son mémoire de recherche sur "Le fragment dans les pratiques plastiques des Petites Antilles Françaises". Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12243 V12243 | Partager |
Les éruptions volcaniques historiques aux Petites Antilles : inventaire et spatialisation des impacts physiques et humains Auteur(s) : Lalubie, Guillaume Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : IRD : Institut de Recherche pour le Développement Université des Antilles et de la Guyane Extrait de : "Projet CARIBSAT, système caribéen d'information environnementale" : conférence, le 21 mars 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'intervention présente l'étendue des aléas volcaniques et l'impact des éruptions sur les sociétés caribéennes. L'auteur fait l'inventaire de l'activité volcanique historique et rappelle la gestion de crise après mai 1902. Il traite également de la spatialisation des impacts physiques et humains des éruptions historiques aux Petites Antilles, ou encore des relations entre les aléas volcaniques et les réactions humaines. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13103 V13103 | Partager |
Ressources marines caribéennes et écotourisme : lorsque la dimension patrimoniale intégre le projet touristique Auteur(s) : Augier, Dominique Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'ile de Saba est une ile néerlandaise d'une superficie de 13 km2 située au nord ouest des petites Antilles qui a entamé il y a plusieurs décennies un processus de patrimonialisation. Bien que ne comportant pas de plage, la beauté et la richesse des fonds marins sont réelles en raison des coraux, éponges, algues... Il y a alors pour les activités de plongée un intérêt économique de protéger les récifs coralliens, et ce dès 1984 avec l'élaboration d'un parc marin de 1300 hectares entourant l'ile. La patrimonalisation est donc dans ce cas une forme de régulation environnementale. Toutefois, la zone naturelle ne fait pas l'unanimité au regard de l'exclusion de la population locale et de l'appropriation des ressources marines par le tourisme. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12130 V12130 | Partager |
Mise en évidence d'une discontinuité émersive majeure au sein de la plate-forme récifale plio-pléistocène de l'avant-arc des Petites Antilles Auteur(s) : Léticée, Jean-Len Randrianasolo, Auran Cornée, Jean-Jacques Münch, Philippe Lebrun, Jean-Frédéric Saint-Martin, Jean-Paul Villeneuve, Michel Auteurs secondaires : JE 2371 GEOL ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Paléoenvironnement et paléobiosphère (PP) ; Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Géologie des Systèmes Carbonatés (FRE 2761 ) ; Université de Provence - Aix-Marseille 1 - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Éditeur(s) : HAL CCSD Elsevier Masson Résumé : International audience Une surface d'émersion majeure (S1) au sein de l'unité récifale Pliocène supérieur à Pléistocène inférieur des « calcaires supérieurs » de Grande-Terre (avant-arc des Petites Antilles) révèle une baisse du niveau marin relatif d'au moins 60 m et permet de définir un nouveau découpage stratigraphique. S1 est surmontée par un cortège transgressif sablo-calcaire, puis par une formation récifale à Acropora. L'ensemble représente l'enregistrement d'un cycle eustatique complet par cette plateforme carbonatée de marge active. La comparaison avec la plate-forme carbonatée de marge stable du banc des Bahamas permet d'estimer que S1 correspond à l'émersion majeure de 1,66 Ma et qu'elle est d'origine glacio-eustatique. ISSN: 1631-0713 hal-00180663 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00180663 DOI : 10.1016/j.crte.2005.01.012 | Partager |