Éditeur(s) : HAL CCSD American Society for Microbiology
Résumé : International audience
A rapid and specific high-performance liquid chromatography method with UV detection (HPLC-UV) for the simultaneous determination of 12 beta-lactam antibiotics (amoxicillin, cefepime, cefotaxime, ceftazidime, ceftriaxone, cloxacillin, imipenem, meropenem, oxacillin, penicillin G, piperacillin, and ticarcillin) in small samples of human plasma is described. Extraction consisted of protein precipitation by acetonitrile. An Atlantis T3 analytical column with a linear gradient of acetonitrile and a pH 2 phosphoric acid solution was used for separation. Wavelength photodiode array detection was set either at 210 nm, 230 nm, or 298 nm according to the compound. This method is accurate and reproducible (coefficient of variation [CV] < 8%), allowing quantification of beta-lactam plasma levels from 5 to 250 μg/ml without interference with other common drugs. This technique is easy to use in routine therapeutic drug monitoring of beta-lactam antibiotics.
ISSN: 0066-4804

hal-00875271
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00875271
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00875271/document
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00875271/file/Simultaneous_Determination-accepted.pdf
PUBMED : 21788467

Éditeur(s) : HAL CCSD Elsevier
Résumé : International audience
Background: Influenza is an important cause of serious illness and death, particularly in elderly and high-risk groups. Objectives Aim of this study was to identify factors associated with poor outcomes among adults hospitalized in France for laboratory-confirmed seasonal influenza. Study design Patients hospitalized for influenza were identified in a prospective, multicenter study carried out in French hospitals during three consecutive influenza seasons (2012–2015). Influenza virus infection was confirmed by reverse transcription polymerase chain reaction. Sociodemographic and clinical variables were compared according to the virus type and subtype. Risk factors for complications, intensive care unit (ICU) admission and death were analyzed by backward stepwise logistic regression. Results The study population consisted of 566 patients, of whom 56% were older than 65 years and 82% had underlying chronic illnesses. Type A influenza viruses infected 422 patients (75%), including subtype H3N2 in 239 patients (57%). The prior vaccine coverage rate was 38%. Complications occurred in 255 patients (45%), consisting mainly of pneumonia (n = 143, 30%) and respiratory failure (n = 116, 20%). Eighty-three patients (15%) were admitted to an ICU, and the in-hospital mortality rate was 4% (n = 21). Sixty-six patients (12%) received oseltamivir. Age over 65 years was the only identified risk factor for complications. Risk factors for ICU admission were an absence of vaccination, no oseltamivir administration before admission, pre-existing chronic respiratory disease, and current smoking. Age over 65 years and ICU admission were risk factors for death. Conclusions Older individuals and patients with underlying conditions are most at risk of influenza complications. Vaccination and early oseltamivir administration, both of which are recommended for these patients, appear to reduce ICU admissions
ISSN: 1386-6532

hal-01302409
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01302409
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01302409/document
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01302409/file/Factors%20associated%20with%20poor%20outcomes.pdf
DOI : 10.1016/j.jcv.2016.04.005

Éditeur(s) : HAL CCSD Springer Verlag
Résumé : International audience
The purpose of this investigation was to characterize the management and prognosis of severe Pneumocystis jirovecii pneumonia (PJP) in human immunodeficiency virus (HIV)-negative patients. An observational cohort study of HIV-negative adults with PJP documented by bronchoalveolar lavage (BAL) through Gomori-Grocott staining or immunofluorescence, admitted to one intensive care unit (ICU) for acute respiratory failure, was undertaken. From 1990 to 2010, 70 patients (24 females, 46 males) were included, with a mean age of 58.6 ± 18.3 years. The mean Simplified Acute Physiology Score (SAPS)-II was 36.9 ± 20.4. Underlying conditions included hematologic malignancies (n = 21), vasculitis (n = 13), and solid tumors (n = 13). Most patients were receiving systemic corticosteroids (n = 63) and cytotoxic drugs (n = 51). Not a single patient received trimethoprim-sulfamethoxazole as PJP prophylaxis. Endotracheal intubation (ETI) was required in 42 patients (60.0 %), including 38 with acute respiratory distress syndrome (ARDS). In-ICU mortality was 52.9 % overall, reaching 80.9 % and 86.8 %, respectively, for patients who required ETI and for patients with ARDS. In the univariate analysis, in-ICU mortality was associated with SAPS-II (p = 0.0131), ARDS (p < 0.0001), shock (p < 0.0001), and herpes simplex virus (HSV) or cytomegalovirus (CMV) on BAL (p = 0.0031). In the multivariate analysis, only ARDS was associated with in-ICU mortality (odds ratio [OR] 23.4 [4.5-121.9], p < 0.0001). PJP in non-HIV patients remains a serious disease with high in-hospital mortality. Pulmonary co-infection with HSV or CMV may contribute to fatal outcome.
ISSN: 0934-9723

inserm-00872789
http://www.hal.inserm.fr/inserm-00872789
DOI : 10.1007/s10096-012-1730-7
PUBMED : 22930407

Éditeur(s) : HAL CCSD Publisher : Paris : Baillière [1980-. Latest Publisher : Paris : Elsevier
Résumé : National audience
Introduction Les monocytes sont constitués de populations cellulaires hétérogènes aux propriétés distinctes. Il est retrouvé une sur-représentation de la population monocytaire CD14+/CD16+ pro-inflammatoire au cours de certaines connectivites. Cette population monocytaire s’oppose aux monocytes CD14+/CD16– qui jouent un moindre rôle dans l’amplification de la réponse inflammatoire. Les monocytes et les macrophages pourraient jouer un rôle central dans les mécanismes de fibrose au cours de la sclérodermie systémique. L’association entre les manifestations cliniques de la sclérodermie systémique et les différentes populations monocytaires reste à préciser. L’objectif de cette étude « proof of concept »est d’évaluer l’association entre la population monocytaire CD14+/CD16+ et les manifestations cliniques de fibrose chez les patients sclérodermiques. Patients et méthodes Cinquante-cinq patients répondant aux critères ACR 2013 de sclérodermie systémique ont été inclus de manière consécutive de mars à juillet 2015. Les atteintes fibrosantes ont été évaluées simultanément selon les données du bilan viscéral annuel en centre de compétence : l’atteinte cutanée était évaluée cliniquement selon le score de Rodnan modifié, les patients étaient classés selon la classification de Leroy (atteinte cutanée diffuse, atteinte cutanée limitée, sine scleroderma). La présence d’une pneumopathie interstitielle diffuse était évaluée par TDM thoracique, son retentissement sur la fonction respiratoire était précisé par les épreuves fonctionnelles respiratoires (capacité pulmonaire totale, capacité vitale forcée, DLCO). La NFS réalisée le jour du bilan viscéral était traitée en hématoflow permettant de préciser les sous populations monocytaires en fonction de leur statut CD16+ ou CD16–. Les données cliniques étaient relevées en aveugle vis-à-vis des données de cytométrie en flux. Résultats 55 patients sclérodermiques ont été inclus. Le taux moyen de monocytes CD16+ était de 0,054 G/L (SD = 0,029). Les patients avec une atteinte cutanée diffuse avaient des taux significativement plus élevés de monocytes CD16+ (p = 0,021), alors que les taux de monocytes CD16–ne différaient pas entre les patients avec atteinte cutanée diffuse et cutanée limitée. Le score de Rodnan modifié était corrélé de manière significative avec le taux de monocytes CD16+ (R = 0,513, p < 0,001). Il existait une tendance à l’association entre des taux élevés de CD16+ et la présence d’une pneumopathie interstitielle diffuse détectée par TDM (p = 0,113). Il existait une corrélation négative significative (p < 0,05) entre les taux de CD16+ et les résultats des épreuves fonctionnelles respiratoires (capacité pulmonaire totale et DLCO), attestant d’une fonction respiratoire moins bonne chez les patients à taux plus élevés de monocytes CD16+. Il n’était pas retrouvé d’association entre les taux de CD16+ et les autres paramètres cliniques ou immunologiques. Discussion Cette étude « proof of concept » semble montrer une association entre des taux élevés de monocytes CD16+ et certains paramètres de gravité des atteintes fibrosantes de la maladie. En plus de leur association à la gravité des atteintes fibrosantes de la sclérodermie systémique, les taux de monocytes CD16+ pourraient également avoir un intérêt pronostique qui reste à évaluer. Des travaux in vitro ont montré que l’ajout de TGFb au milieu de culture cellulaire de monocytes induisait une augmentation de l’expression du CD16+ par ces monocytes. Les monocytes CD16+ sont également une source de production d’IL-1 bêta et de TNF alpha pro-inflammatoires. D’autres travaux in vitro ont très récemment démontré la plus grande capacité des monocytes CD16+ à se différencier préférentiellement en macrophages ayant également des propriétés pro-inflammatoires. La sous-population monocytaire CD16+ peut également être hiérarchisée en fonction de l’intensité d’expression du CD16. La place précise de ces différentes populations monocytaires dans la physiopathologie de la sclérodermie systémique reste encore à déterminer. Les liens ténus entre monocytes et macrophages, dont l’implication est maintenant reconnue au cours de la sclérodermie invitent à investiguer davantage le rôle possible du monocyte dans le cadre de cette maladie inflammatoire et fibrosante afin d’identifier d’éventuelles nouvelles cibles thérapeutiques ou marqueurs pronostiques. Conclusion Dans cette étude « proof of concept », sur un nombre restreint de patients atteints de sclérodermie systémique répondants aux critères ACR 2013, le taux de monocytes CD16+ semble corrélé avec les atteintes fibrosantes de la maladie, laissant supposer une implication possible de cette sous-population monocytaire dans la physiopathologie de cette connectivite
ISSN: 0248-8663

hal-01321851
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01321851
DOI : 10.1016/j.revmed.2016.04.253

Éditeur(s) : HAL CCSD Elsevier Masson
Résumé : National audience
Objectif Analyser les caractéristiques virologiques et les complications des syndromes grippaux chez les diabétiques en période hivernale. Patients et Méthodes Étude conduite dans 6 hôpitaux (Montpellier, Lyon, Cochin, Bichat, Limoges, Rennes) au cours de 3 saisons grippales (2012-2013, 2013-2014 et 2014-2015), sur 1 451 adultes hospitalisés avec syndrome grippal récent (début ≤ 7 jours), associant un signe respiratoire (toux, dys-pnée) et un signe systémique (fièvre, céphalées, malaise, myalgies). Les virus respiratoires étaient recherchés par RT-PCR sur prélèvement naso-pharyngé ou LBA (Centre National de Référence, Lyon). La vaccination anti-grippale, la présence d'un diabète, les comorbidités, les complications en cours d'hospitalisation (insuffisance rénale, cardiaque, respiratoire, pneumonie, décès) et la durée moyenne de séjour (DMS) étaient enregistrées. Les facteurs de risque de complications ont été étudiés par régression logistique multivariée ajustée sur âge, sexe, infection grippale, vaccination, diabète et antécédents de pathologies rénale, cardiaque ou respiratoire. Résultats Les hospitalisations ont eu lieu dans des services de maladies respiratoires, médecine interne, MIT et réanimation. Un diabète était présent chez 368 sujets (non traités : 15 %, ADO : 41 %, insuline : 27 %, mixte : 17 %). Les diabétiques étaient plus âgés (71 ± 15 vs 65 ± 20 ans, P < 0,001) et présentaient plus souvent un antécédent de pathologie rénale (18 % vs 8 %, P < 0,00001) ou cardiaque (19 % vs 11 %, P < 0,001). Leur couverture vaccinale était meilleure (60 % vs 46 %). Les données virologiques étaient comparables : grippe 38,9 % (76,1 % type A) vs 39,2 % ; (74,1 % type A) ; autres virus respiratoires : 17,0 % vs 19,9 %. La DMS était un peu plus élevée chez les diabétiques (9,1 ± 9 vs 8,9 ± 11, P = 0,015), avec une tendance à un risque de décès plus élevé (6,25 % vs 3,97 %, P 0,07). En analyse multivariée, le diabète était un facteur de risque de complications à type d'insuffisance rénale (OR : 1,66, IC 95 % : 1,10-2,52) mais pas d'insuffisance cardiaque, respiratoire ou de décès. Les complications n'étaient pas modi-fiées par les résultats virologiques. Conclusions Le diabète est un facteur de risque de complications rénales chez les patients hospitalisés avec syndrome grippal
ISSN: 1262-3636

hal-01300779
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01300779
DOI : 10.1016/S1262-3636(16)30020-9

Éditeur(s) : HAL CCSD Elsevier Masson
Résumé : National audience
Introduction Les télomérases sont les enzymes assurant la synthèse des télomères, séquences d’ADN essentiels dans la protection des chromosomes. Les mutations des télomérases sont responsables, entre autres, d’anomalies hématologiques, pulmonaires (fibrose pulmonaire idiopathique) et hépatiques. Il n’y a que peu de données dans la littérature concernant les résultats des transplantations pulmonaires chez ces patients mutés. Cas clinique Nous rapportons le cas d’un jeune homme de 39 ans, souffrant de syndrome myélodysplasique associé à une fibrose pulmonaire, permettant de poser le diagnostic de téloméropathie (mutation de la sous-unité ARN ou TERC ; r.182delG, pseudoknot area). L’insuffisance médullaire est sévère : leucopénie à 1,3 G/L dont 0,54 G/L de PNN, anémie macrocytaire (Hb à 10,3 g/dL ; VGM à 120 fL) et thombopénie à 27 G/L. Le syndrome restrictif est également sévère avec une CPT à 60 % et une CVF à 82 % de la valeur prédite (% pred). Il s’associe à une altération de la membrane alvéolo-capillaire (DLCO corrigée sur l’hémoglobine à 31 % pred). Le patient a été récusé à la fois pour la transplantation médullaire et pour la transplantation pulmonaire malgré son jeune âge. La prise en charge est donc palliative : réhabilitation respiratoire, oxygénothérapie, puis nintedanib. Discussion Dans la littérature, les transplantations médullaires chez les patients présentant une mutation des télomérases s’associent à une dégradation de la fonction respiratoire, en lien avec la toxicité des traitements immunosuppresseurs, même en l’absence d’atteinte pulmonaire initiale. Par ailleurs, les complications infectieuses et hématologiques post-transplantations pulmonaires chez ces patients mutés semblent plus fréquentes et nécessitent souvent une adaptation des traitements anti-rejets. Ces risques post-transplantations paraissent plus importants en présence d’une thrombopénie sévère préopératoire. Ces données sont cependant limitées à trois études rétrospectives de petites tailles. Au total, ce jeune patient a été jugé inéligible à la transplantation médullaire et à la transplantation pulmonaire, respectivement à cause de l’insuffisance respiratoire et de l’insuffisance médullaire. Il est émis l’hypothèse que l’allègement de la thérapie immunosuppressive pourrait améliorer le devenir des patients mutés transplantés, sans majorer le risque de rejet, illustrant le concept d’immunosénescence. Mais cette hypothèse reste à être validée. Ce cas clinique souligne l’importance de reconnaître les signes évocateurs de téloméropathie, dans la mesure où le diagnostic impacte la prise en charge de la fibrose pulmonaire
ISSN: 0761-8425

hal-01334065
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01334065
DOI : 10.1016/j.rmr.2016.04.018

Éditeur(s) : HAL CCSD WB Saunders
Résumé : International audience
OBJECTIVE: We hypothesized that, in Human Immunodeficiency Virus and Hepatitis C Virus (HIV/HCV) co-infected patients who did not respond to peg-interferon and ribavirin, a maintenance therapy with peg-interferon could induce fibrosis regression. METHODS: This was a randomized study with two parallel groups. HIV/HCV co-infected patients received peg-interferon α-2a at 180 μg/week or remained on observation for 96 weeks. The primary endpoint was the percentage of patients who experienced a decrease of at least one point in their Metavir fibrosis score between initial and final liver biopsies. Secondary endpoints included plasma fibrosis markers at week 96, occurrence of HCV-related complications, and survival. RESULTS: A total of 52 patients were randomized (peg-interferon: 25; control: 27) including 18 with cirrhosis. The median (interquartile range) age was 44 (40-46) years, and 69% were male. A total of 64% had ALT levels >1.5 normal values, and the CD4 cell count was 391 (296-537) cells/mm(3); 67% of patients had HIV RNA <200 copies/mL at entry. The main endpoint was assessed in 41 patients. Response rates were 3/20 (15%) and 4/21 (19%) in the peg-interferon and control groups, respectively (p = 0.99). There was no significant difference between peg-interferon and control groups on plasma fibrosis markers at the final visit. Severe liver-related complications were observed in 2 and 5 patients in peg-interferon and control groups, respectively. Three deaths were observed, all in the control group. CONCLUSIONS: A maintenance therapy with peg-interferon α-2a over 96 weeks in HIV/HCV co-infected patients, who were non-responders to HCV treatment, did not change liver fibrosis. ClinicalTrials.gov Identifier: NCT00122616.
ISSN: 0163-4453

hal-00875067
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00875067
DOI : 10.1016/j.jinf.2013.05.007
PUBMED : 23800784

Éditeur(s) : HAL CCSD Publisher : Paris : Baillière [1980-. Latest Publisher : Paris : Elsevier
Résumé : National audience
Introduction L’atteinte œsophagienne est fréquente chez les patients présentant une sclérodermie systémique. Le diagnostic est confirmé par la manométrie œsophagienne. La sensibilité et la spécificité de la manométrie œsophagienne ont été améliorées par l’avènement de la manométrie de haute résolution. L’objectif principal de cette étude observationnelle est de caractériser les troubles moteurs œsophagiens par manométrie de haute résolution, à la lumière de la troisième version de la classification de Chicago, chez des patients présentant une sclérodermie systémique selon les critères de l’EULAR/ACR 2013. Patients et méthodes Trente-six patients répondant au diagnostic de sclérodermie systémique selon les critères EULAR/ACR 2013 et ayant bénéficié d’une manométrie de haute résolution dans un centre de compétence français ont été inclus de manière consécutive. Les résultats de la manométrie de haute résolution ont été interprétés selon la troisième version de la classification de Chicago. Les caractéristiques cliniques, biologiques et les atteintes viscérales des patients ont également été relevées et confrontées aux données manométriques. L’atteinte pulmonaire était évaluée selon la méthode de Goh et al. en aveugle des données manométriques. Résultats L’âge moyen à l’inclusion était de 58,4 ans (SD = 14,2 ans) ; 83,3 % des patients étaient de sexe féminin. 22,2 % des patients avaient une sclérodermie systémique avec atteinte cutanée diffuse selon la classification de LeRoy ; 67 % des patients avaient un pyrosis, 30,6 % une dysphagie, 33,3 % une dyspepsie. 11 % des patients avaient des épisodes de fausses routes. D’après les résultats de la manométrie de haute résolution, 55,6 % des patients avaient un apéristaltisme, 33,3 % une hypotonie du sphincter inférieur de l’œsophage et 19,4 % une hypotonie du sphincter supérieur de l’œsophage. En analyse univariée, il n’était pas retrouvé d’association significative entre la présence d’une hypotonie du sphincter inférieur de l’œsophage et les caractéristiques cliniques ou biologiques quelles qu’elles soient. La présence d’un apéristaltisme était associée avec une symptomatologie de pyrosis (p = 0,004). L’apéristaltisme était associé de manière significative avec la présence de télangiectasies (p = 0,007) et d’anticorps anti-centromères (p = 0,038). La présence de calcinose ou d’une sclérodactylie n’était pas spécifiquement associée à une atteinte sphinctérienne ou motrice œsophagienne. Vingt-neuf patients (80,6 %) avaient bénéficié d’une TDM thoracique dans l’année de la réalisation de la manométrie de haute résolution. Parmi eux, 7 patients étaient atteints d’une pneumopathie interstitielle diffuse sévère (atteinte interstitielle de plus de 20 % du parenchyme pulmonaire évaluée sur 5 coupes standardisées). Il existait une association significative entre la présence d’un apéristaltisme et la présence d’une dilatation œsophagienne en TDM (p = 0,002) et la présence d’une atteinte pulmonaire sévère (p = 0,005, OR = 6,85 IC95 % (1,12–41,82)). Discussion L’association retrouvée entre apéristaltisme en manométrie de haute résolution et sévérité de la PID est confirmée par ce travail. Néanmoins un lien de causalité n’est pas certain. Une étude prospective évaluant la mise en évidence d’une atteinte œsophagienne par manométrie de haute résolution au moment du diagnostic de sclérodermie systémique et l’atteinte pulmonaire par TDM à distance serait nécessaire. L’entité nosologique représentée par le syndrome CREST n’est pas retrouvée dans cette cohorte de patients atteints de sclérodermie systémique selon les critères EULAR/ACR 2013, où 2 des critères diagnostiques (présence de calcinose et sclérodactylie) ne sont pas associés de manière significative à l’atteinte œsophagienne d’après les résultats de la manométrie de haute résolution. Conclusions Dans cette série, chez plus de la moitié des patients atteints de sclérodermie systémique la manométrie de haute résolution permet de détecter un apéristaltisme. La présence de troubles moteurs œsophagiens est associée à une atteinte pulmonaire plus sévère en TDM
ISSN: 0248-8663

hal-01321854
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01321854
DOI : 10.1016/j.revmed.2016.04.267

Éditeur(s) : HAL CCSD Springer Verlag
Résumé : International audience
Bronchoalveolar lavage (BAL) is a major diagnostic tool in lung diseases, including viral respiratory infections. We aimed to better define the situations where viral tests should be performed on BAL fluid (BALF). We retrospectively studied all cases where viral tests [immunofluorescence, immunocytochemistry, viral culture, and/or polymerase chain reaction (PCR)] were performed on BALF during a period of 1 year (2008) in our institution. We compared the characteristics of patients with virus-positive versus virus-negative BALF. Of the 636 BALF samples sent to the microbiology laboratory, 232 underwent viral tests. Of these, 70 (30 %) were positive and identified 85 viruses: herpes simplex virus (HSV)-1 (n = 27), cytomegalovirus (CMV, n = 23), Epstein-Barr virus (EBV, n = 18), human herpesvirus (HHV)-6 (n = 12), respiratory syncytial virus (RSV, n = 3), rhinovirus (n = 1), and adenovirus (n = 1). The variables associated with positive viral tests on univariate analysis were immunosuppression [human immunodeficiency virus (HIV), corticosteroids >10 mg/day for ≥3 weeks, or other immunosuppressive therapy], ground-glass attenuations on computed tomography (CT) scanning, late-onset ventilator-associated pneumonia (VAP), and durations of (i) hospital stay, (ii) intensive care unit (ICU) stay, and (iii) mechanical ventilation before BAL (p < 0.01 for each comparison). On multivariate analysis, only immunosuppression [odds ratio (OR) 6.4, 95 % confidence interval (CI) [2.8-14.3], p < 0.0001] and ground-glass attenuations (OR 3.7, 95 % CI [1.8-7.7], p = 0.0004) remained associated with virus-positive BAL. None of the viral tests performed on BALF for the initial assessment of diffuse infiltrative lung disease (n = 15) was positive. PCR improved the diagnostic yield of viral tests on BALF by 50 %. Testing for viruses on BALF should be mostly restricted to immunocompromised patients with acute respiratory diseases and/or patients with unexplained ground-glass attenuations on CT scanning.
ISSN: 0934-9723

hal-00873158
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00873158
DOI : 10.1007/s10096-012-1791-7
PUBMED : 23238685

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : International audience
Primary spontaneous pneumothorax (PSP) is common and affects young and active patients. Guidelines are accurate about diagnosis and treatment indications, but the initial optimal management remains unclear. Smoking is the main risk factor and smoking cessation must be systematically advised. If simple surveillance is acceptable for small PSP and/or paucisymptomatic patient with PSP, exsufflation or hospitalization with chest tube drainage remains the standard treatment in other situations. Ambulatory management is possible and could become the next standard of care. © 2015, Société de réanimation de langue française (SRLF) and Springer-Verlag France
Reanimation

hal-01326967
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01326967
DOI : 10.1007/s13546-015-1156-1

Éditeur(s) : HAL CCSD Springer
Résumé : International audience
Diabetologia
Stockholm, Sweden

hal-01204766
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01204766
DOI : 10.1007/s00125-015-3687-4

Éditeur(s) : HAL CCSD Oxford University Press (OUP)
Résumé : International audience
STUDY QUESTION: Is prenatal exposure to persistent organic pollutants (POPs) associated with variations of sex hormone levels in cord blood? SUMMARY ANSWER: Prenatal exposure to a number of POPs is associated with a disruption of hormone levels in cord blood, with sex specificities. WHAT IS KNOWN ALREADY: Epidemiological studies have reported disorders of reproductive health, in relation with POPs exposure during early life and the endocrine disruption properties of these chemicals have been suggested as possible mechanisms. STUDY DESIGN, SIZE, DURATION: A subset of 282 mother-child pairs was selected from the prospective population-based PELAGIE birth cohort (n = 3421, 2002-2006, Brittany, France). Pregnant women were recruited before 19 weeks of gestation and followed until delivery. PARTICIPANTS/MATERIALS, SETTING, METHODS: Sex hormone levels including sex hormone-binding globulin (SHBG), estradiol (E2), total testosterone (T), free testosterone (fT = T/SHBG) and the aromatase index (AI = T/E2) were measured in 282 cord blood samples. Anti-Müllerian hormone (AMH) was measured in male newborns only. Pesticide concentrations of α-endosulfan, β-hexachlorocyclohexane (β-HCH), γ-HCH, dieldrin, pp'-dichlorodiphenyldichloroethylene (p,p'-DDE), hexachlorobenzene (HCB), heptachlor epoxide (HCE), as well as PCBs (congeners 153, 187 and the sum of anti-estrogenic PCBs 118, 138, and 170) and decabrominated diphenyl ether (BDE209) were also measured in cord blood. Associations between sex hormones and POPs exposure were explored using multiple linear regressions adjusted for potential confounders. MAIN RESULTS AND THE ROLE OF CHANCE: High PCB levels were associated with an increase of SHBG (P-trend extless 0.01) and AMH (P-trend extless 0.05) and a decrease of fT (P-trend extless 0.05) and AI (P-trend extless 0.01). High pesticide levels, particularly α-endosulfan and HCE, were associated with an increase of SHBG (P extless 0.05) and E2 (P extless 0.01) and a decrease of fT (P extless 0.05) and AI (P extless 0.01). Several of these associations were stronger, or specific, among male or female newborns. The associations were not altered in the sensitivity analyses. LIMITATIONS, REASONS FOR CAUTION: The study population was of relatively small sample size, and some compounds rarely detected in cord blood. The high level of correlation between POPs makes it difficult to identify the most contributing POPs. Hormone measurements were performed at birth (in cord blood) and may not adequately represent the infant endocrine system. Multiple statistical testing may have led to false-positive associations. WIDER IMPLICATIONS OF THE FINDINGS: Our results are in discordance with those reported in the only published study of the kind but in accordance with studies about prenatal exposure to other endocrine disruptors such as phthalates. These findings may help understanding the pathways involved in adverse reproductive outcomes associated with POPs exposure. STUDY FUNDING/COMPETING INTERESTS: The PELAGIE cohort is funded by Inserm, French Ministry of Health, French Ministry of Labor, InVS, ANR, ANSES, and French Ministry of Ecology. None of the authors has any competing interest to declare
ISSN: 0268-1161

hal-01220641
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01220641
DOI : 10.1093/humrep/dev260
PUBMED : 26493407

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : International audience
BACKGROUND: The aim of this systematic review was to evaluate and compare the pros and cons of using living donors or brain-dead donors in uterus transplantation programs, 2 years after the first worldwide live birth after uterus transplantation. METHODS: The Medline database and the Central Cochrane Library were used to locate uterine transplantation studies carried out in human or nonhuman primates. All types of articles (case reports, original studies, meta-analyses, reviews) in English or French were considered for inclusion. RESULTS: Overall, 92 articles were screened and 44 were retained for review. Proof of concept for human uterine transplantation was demonstrated in 2014 with a living donor. Compared with a brain-dead donor strategy, a living donor strategy offers greater possibilities for planning surgery and also decreases cold ischemia time, potentially translating into a higher success rate. However, this approach poses ethical problems, given that the donor is exposed to surgery risks but does not derive any direct benefit. A brain-dead donor strategy is more acceptable from an ethical viewpoint, but its feasibility is currently unproven, potentially owing to a lack of compatible donors, and is associated with a longer cold ischemia time and a potentially higher rejection rate. CONCLUSIONS: The systematic review demonstrates that uterine transplantation is a major surgical innovation for the treatment of absolute uterine factor infertility. Living and brain-dead donor strategies are not mutually exclusive and, in view of the current scarcity of uterine grafts and the anticipated future rise in demand, both will probably be necessary.
Transplantation

hal-01447062
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01447062
DOI : 10.1097/TP.0000000000001481
PUBMED : 27607535

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : International audience
o abstract
Journal of Thoracic Disease

hal-01319894
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01319894
DOI : 10.21037/jtd.2016.03.34
PUBMED : 27162684
PUBMEDCENTRAL : PMC4842784

Éditeur(s) : HAL CCSD Springer Verlag
Résumé : International audience
The objective of this study is to assess the association of clinical manifestations of systemic sclerosis (SSc) with the absolute count of circulating blood monocyte subpopulations according to their membrane expression of CD16. Forty-eight consecutive patients fulfilling the 2013 ACR/EULAR classification criteria for SSc were included in this cross-sectional study. CD16+ monocyte absolute count was defined by flow cytometry and confronted to the clinical characteristics of SSc patients. Twenty-three healthy donors (HD) were randomly selected for comparison. SSc patients had an increased number of total circulating blood monocytes compared to HD (p < 0.001). The CD16- subpopulation absolute count was increased in SSc patients compared to HD (p < 0.001) but was similar in limited SSc (lSSc) and diffuse SSc (dSSc). On the contrary, the CD16+ population absolute count was increased in dSSc compared to both HD and lSSc patients (dSSc 0.071 Giga/L (+/- 0.034) vs HD 0.039 Giga/L (+/- 0.030), p < 0.01, and dSSc 0.071 Giga/L (+/- 0.034) vs lSSc 0.048 Giga/L (+/- 0.024), p < 0.05). The CD16+ monocyte subpopulation absolute count was significantly correlated with the severity of skin fibrosis evaluated by the modified Rodnan skin score (p < 0.001). The CD16+ monocyte subpopulation was also associated with pulmonary fibrosis (p < 0.05), with the severity of the restrictive ventilatory defect evaluated by total lung capacity (p < 0.05) and with the pulmonary function impairment reflected by diffusing capacity of the lungs for carbon monoxyde measures (p < 0.01). These results suggest that CD16+ monocytes are associated with the main fibrotic manifestations of SSc and their role in the pathogenesis of fibrosis in this autoimmune disorder should therefore be further considered.
ISSN: 0770-3198

hal-01560150
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01560150
DOI : 10.1007/s10067-017-3597-6
PUBMED : 28293753

Éditeur(s) : HAL CCSD European Respiratory Society
Résumé : International audience
Telomerase reverse transcriptase (TERT) or telomerase RNA (TERC) gene mutation is a major monogenic cause of pulmonary fibrosis. Sequencing of TERT/TERC genes is proposed to patients with familial pulmonary fibrosis. Little is known about the possible predictors of this mutation and its impact on prognosis. We retrospectively analysed all the genetic diagnoses made between 2007-2014 in patients with pulmonary fibrosis. We evaluated the prevalence of TERT/TERC disease-Associated variant (DAV), factors associated with a DAV, and the impact of the DAV on survival. 237 patients with pulmonary fibrosis (153 with familial pulmonary fibrosis, 84 with telomere syndrome features without familial pulmonary fibrosis) were tested for TERT/TERC DAV. DAV was diagnosed in 40 patients (16.8%), including five with non-idiopathic interstitial pneumonia. Prevalence of TERT/TERC DAV did not significantly differ between patients with familial pulmonary fibrosis or with only telomere syndrome features (18.2% versus 16.4%). Young age, red blood cell macrocytosis, and low platelet count were associated with the presence of DAV; the probability of DAV was increased for patients 40-60 years. Transplant-free survival was lower with than without TERT/TERC DAV (4.2 versus 7.2 years; p=0.046). TERT/TERC DAV were associated with specific clinical and biological features and reduced transplantfree survival. ©ERS 2016.
ISSN: 0903-1936

hal-01467555
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01467555
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01467555/document
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01467555/file/Prevalence%20and%20characteristics%20of%20TERT.pdf
DOI : 10.1183/13993003.02115-2015

Éditeur(s) : HAL CCSD Elsevier
Résumé : International audience
Background Experimental evidence suggests that developmental exposure to persistent organic pollutants (POP) and to some non persistent pesticides may disrupt metabolic regulation of glucose metabolism and insulin secretion, and thereby contribute to the current epidemic of obesity and metabolic disorders. Quasi-experimental situations of undernutrition in utero have provided some information. However, the evidence in humans concerning the role of the prenatal environment in these disorders is contradictory, and little is known about long-term outcomes, such as type 2 diabetes, of prenatal exposure. Objectives Our aim was to evaluate the effects of prenatal exposure to POP and organophosphate pesticides on fetal markers of glucose metabolism in a sample of newborns from the Pelagie mother–child cohort in Brittany (France). Methods Dialkylphosphate (DAP) metabolites of organophosphate pesticides were measured in maternal urine collected at the beginning of pregnancy. Cord blood was assayed for polychlorinated biphenyl congener 153 (PCB153), p,p′-dichlorodiphenyl dichloroethene (DDE) and other POP. Insulin and adiponectin were determined in cord blood serum (n=268). Results A decrease in adiponectin and insulin levels was observed with increasing levels of DDE, but only in girls and not boys. Adiponectin levels were not related to the concentrations of other POP or DAP metabolites. Decreasing insulin levels were observed with increasing PCB153 concentrations. Insulin levels increased with DAP urinary levels. Additional adjustment for BMI z-score at birth modified some of these relations. Conclusions Our observations bring support for a potential role of organophosphate pesticides and POP in alterations to glucose metabolism observable at birth
ISSN: 0013-9351

hal-01259218
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01259218
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01259218/document
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01259218/file/Prenatal%20exposure%20to%20persistent%20organic%20pollutants%20and%20organophosphate%20pesticides%2C%20and%20markers%20of%20glucose%20metabolism%20at%20birth.pdf
DOI : 10.1016/j.envres.2016.01.005

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : International audience
Letter to the Editors
Journal of Neurology

hal-01372466
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01372466
PUBMED : 27416854
DOI : 10.1007/s00415-016-8216-y

Éditeur(s) : HAL CCSD Oxford University Press (OUP): Policy B
Résumé : International audience
AIMS: Indications for surgery in acute infective endocarditis (IE) are detailed in guidelines, but their application is not well known. We analysed the agreement between the patient's attending physicians and European Society of Cardiology guidelines regarding indications for surgery. We also assessed whether surgery was performed in patients who had an indication. METHODS AND RESULTS: From the 2008 prospective population-based French survey on IE, 303 patients with definite left-sided native IE were identified. For each case, we prospectively recorded (i) indication for surgery according to the attending physicians and (ii) indication for surgery according to guidelines. Surgery was indicated in 194 (65%) patients according to attending physicians and in 221 (73%) according to guidelines, while 139 (46%) underwent surgery. Agreement was moderate between attending physicians and guidelines (kappa 0.41-0.59) and between indication according to guidelines and the performance of surgery (kappa 0.38). Of the 90 (30%) patients not operated despite indication, contraindication to surgery was reported by the attending physicians in 42 (47%), and indication was not identified in 48 (53%). One-year survival was 76% in patients with indication and surgery performed (n = 131), 69% in patients without indication and no surgery (n = 74), 56% in patients with identified indication and contraindication to surgery (n = 42), and 60% in patients with no identified indication (n = 48; P = 0.059). CONCLUSION: Cardiac surgery during acute IE was recommended in almost three out of four patients, although fewer than half were actually operated. Indication was not acknowledged by the attending physicians in one out of six patients
ISSN: 0195-668X

hal-01255874
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01255874
DOI : 10.1093/eurheartj/ehv650
PUBMED : 26685134

Éditeur(s) : HAL CCSD Daedalus Enterprises Inc
Résumé : International audience
ISSN: 0020-1324

hal-01117964
https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01117964
DOI : 10.4187/respcare.03467
PUBMED : 25406346