Quelle participation des collectivités françaises de la Caraïbe dans les organisations régionales ? Auteur(s) : Jos, Emmanuel Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : "Les entités infra-étatiques et les organisations de coopération et d'intégration régionales" : colloque international, les 25 et 26 mars 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : Dans cette intervention, sont évoquées les participations de la France à la Commission des Caraïbes (1946) à l'Organisation des Caraïbes (1961) et à la Commission Economique pour l'Amérique Latine. Il est question aussi de l'exclusion des puissances « extérieures » au moment de la création en 1975 du Comité de Développement et de Coopération de la Caraïbe (CDCC), organe subsidiaire de la CEPAL, devenue par la suite CEPALC, compte tenu de l'entrée en nombre d'Etats nouveaux des Caraïbes au sein de l'ONU. Sont analysées les raisons pour lesquelles les collectivités territoriales françaises ont été écartées des institutions régionales et celles qui ont, en revanche, ouvert de nouvelles perspectives d'intégration de ces collectivités dans leur environnement régional. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13128 V13128 | Partager |
Impact hydrodynamique de la mise en place d’un parc d’hydroliennes en Baie du Mont Saint-Michel Auteur(s) : Batifoulier, Francois Kervella, Youen Laborbe, Renaud Cuny, Jérôme Caillaud, Matthieu Lazure, Pascal Cayocca, Florence Éditeur(s) : XIIèmes Journées Nationales Génie Côtier - Génie Civil. Cherbourg, 12-14 juin 2012. n°12. Levacher D, Sanchez M, et Guillou S (Eds). ISBN 978-2-35921-008-8. Thème 5 : Energies marines. pp.809-818 Résumé : Les fortes vitesses rencontrées à l’entrée de la Baie du Mont Saint-Michel font de cet environnement macro-tidal un endroit privilégié, en termes de ressources énergétiques, pour l’implantation d’une ferme d’hydroliennes. Afin d’établir plus précisément son potentiel énergétique et d’évaluer l’impact de l’implantation de telles machines sur son hydrodynamisme, une modélisation hydrodynamique de la Baie du Mont Saint-Michel est mise en oeuvre à l’aide du modèle de circulation régionale MARS3D (LAZURE & DUMAS, 2008) dans sa version tridimensionnelle. La validation hydrodynamique de cette configuration est réalisée à partir de comparaisons à des mesures courantologiques récentes (KERVELLA, 2010). A partir de cette modélisation, une cartographie du potentiel énergétique de la Baie est établie et les endroits propices à l’installation de structures récupératrices de l’énergie des courants sont identifiés. L’impact de l’implantation d’une ou plusieurs structures à l’un de ces endroits sur l’hydrodynamique de la Baie est évalué : l’effet de l’extraction d’énergie des courants est modélisé par l’implémentation d’un nouveau terme puits, correspondant à une force de retard colinéaire à l’écoulement (DEFNE et al., 2011), dans les équations du mouvement de MARS3D. Les résultats présentés pour 2 valeurs d’extraction de l’énergie disponible (25% et 55%) montrent que l’impact d’un parc de petite superficie sur les courants reste très local. Droits : Editions Paralia CFL http://archimer.ifremer.fr/doc/00195/30599/29055.pdf DOI:10.5150/jngcgc.2012.088-B http://archimer.ifremer.fr/doc/00195/30599/ | Partager Voir aussi Modélisation régionale Hydroliennes Baie du Mont Saint-Michel Hydrodynamisme Potentiel énergétique Télécharger |
Biosécurité en écloserie : le rinçage des Artemia Auteur(s) : Pham, Dominique Vourey, Elodie Ansquer, Dominique Walling, Emilie Résumé : Seawater, algae, micro-diets and Artemia are the main inputs in shrimp larval rearing. Each of them are potential carriers of pathogenic bacteria in the rearing media and weaken the animal in its early life stages. Daily monitoring of rearing water and larvae showed a bacterial spike after the first live feed meal. Vibrio settlement can be enhancedby giving Artemia with their incubation water where vibrio concentration can reach up to 105 CFU per milliliter. This study showed that simple measures such as rinsing and supplying Artemia with freshwater allowed a significant drop in their bacterial load. L’élevage larvaire de crevettes nécessite l’utilisation de plusieurs intrants que sont l’eau de mer, les algues, les micro-particules et les Artemia. Chacun de ces intrants peut être une porte d’entrée potentielle de bactéries pathogènes et affaiblir l’animal dans les stades précoces. Des analyses bactériennes de l’eau d’élevage et des larves au quotidien montrent que c’est après l’introduction des proies vivantes que la flambée bactérienne est observée. La présence de vibrio peut être favorisée par la distribution des artémies dans leur eau d’incubation où il a pu être dénombré jusqu’à 105 CFU/ml. Cette fiche biotechnique montre qu’une mesure simple et efficace telle que le rinçage et la distribution des proies vivantes dans l’eau douce permet de réduire significativement la quantité de bactéries apportée par les Artemia. Droits : 2008 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00118/22971/20801.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00118/22971/ | Partager |
Compétences bilingues français/créole chez des enfants de 5 ans en contexte martiniquais Auteur(s) : Genelot, Sophie Négro, Isabelle Peslages, Dominique Auteurs secondaires : Institut de recherche sur l'éducation : Sociologie et Economie de l'Education (IREDU) ; Université de Bourgogne (UB) Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Institut universitaire de formation des maîtres - Martinique (IUFM Martinique) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Laboratoire Parole et Langage Résumé : 06073 Ce texte présente une partie des résultats issus d'une recherche à évaluer les compétences langagières d'enfants martiniquais de 5 ans dans leurs deux langues, le français et le créole, à l'entrée du second cycle de l'école primaire. L'objectif général de cette étude est de déterminer l'influence respective de ces compétences langagières sur les acquisitions en lecture au cours du cycle 2. Nous nous proposons ici d'exposer certaines données qui permettent d'interroger quelques représentations sociales à l'œuvre, parmi la population martiniquaise, à propos de la pratique de ces deux langues en rapport avec les contextes sociaux. ISSN: 0708-2398 halshs-00218168 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00218168 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00218168/document https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00218168/file/06073.pdf | Partager |
Tourisme et lutte contre la pauvreté, l’expérience du sud andin rural au Pérou Auteur(s) : Arellano, Alexandra Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Tout en étant une des régions les plus pauvres du Pérou, le sud andin est la destination touristique nationale par excellence où se trouve le sanctuaire archéologique de Machu Picchu, un des sites du patrimoine mondial les plus prisés au monde. Le boom du développement touristique des années 1990 à rapidement transformé la région de Cuzco en une destination écotouristique et de tourisme culturel. Cette étude présente le développement du tourisme dans la région en général, ainsi que les effets sur quelques communautés spécifiques s’étant intégrées au système touristique international grâce au développement du chemin de l’inca, une randonnée de quatre jours servant de porte d’entrée à Machu Picchu. Les hommes des communautés paysannes des hauts plateaux andins avoisinant Ollantaytambo ont été sollicités pour transporter l’équipement nécessaire au service des randonneurs étrangers. Ces habitants représentaient une main d’œuvre accessible, abordable, voire exploitable, capable physiquement de transporter des poids lourds en haute altitude. Aujourd’hui, la Fédération des Porteurs Daniel Estrada est composée de 6200 porteurs provenant de différentes communautés de la vallée. Essentiellement quechuas, ces communautés rurales marginalisés survivent sur des terres arides ; leur niveau d’éducation ne dépasse souvent pas le primaire ; les villages ne disposent pas d’eau potable, de services d’égouts, d’électricité, de téléphone, d’accès à des services de santé ; les habitations sont faites d’adobe. Étant donné la vulnérabilité de ces populations, l’intégration à un système offrant de nouvelles possibilités de revenus s’avérait souhaitable, malgré les conditions d’emploi déplorables. While one of the poorest regions of Peru, the Andean south is a national tourist destination and the site of the archaeological sanctuary and one of the most popular sites in the world, Machu Picchu. The boom of tourism development in the 1990s quickly transformed the Cuzco region to an ecotourism and cultural tourism destination. This paper presents the development of tourism in the region in general, as well as the effects for some communities as they are integrated into the international tourism system through the development of the Inca Trail, a four-day hike which leads to Machu Picchu. Men in the peasant communities in the Andean highlands surrounding Ollantaytambo are asked to carry the equipment needed by foreign hikers during the ascent. These people represent an available and affordable workforce, physically capable of carrying heavy weight at high altitudes. Today, the Daniel Estrada Federation of Carriers is composed of 6200 carriers from different communities in the valley. Mainly Quechua, these marginalized rural populations survive in an arid environment; their education often does not exceed the primary level; the villages lack drinking water, sewage services, electricity, telephones, and access to health services; and the houses are made of adobe. Given the vulnerability of these populations, the integration of a system offering new revenue opportunities proved desirable, in spite of the deplorable employment conditions. Pérou Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6550 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6550 | Partager |
Structure sismique de la zone de subduction des Petites Antilles : implications sur les dimensions de la zone sismogène interplaque ; Seismic structure of the Lesser Antilles subduction zone : relevance for the extent of the seismogenic zone Auteur(s) : Evain, Mikael Éditeur(s) : Université Nice Sophia Antipolis Résumé : The Lesser Antilles is a case study of a very slow subduction (~2 cm/yr) of an old oceanic lithosphere (~84-100 Ma). The region presents a relatively low seismic activity, especially along the interplate contact, and the seismic hazard associated with a possible mega-thrust earthquake is still poorly known. This PhD thesis is a first step toward assessing the ability of the Lesser Antilles subduction zone to produce such a large subduction event. To do so, it aims at constraining the downdip width of the interplate's seismogenic zone. The lack of coverage of permanent seismological stations is a major limitation in the exploration of the Lesser Antilles subduction zone. It is due to the presence of only small aligned islands at far distances from the potentially seismogenic interplate area. Several oceanographic cruises were therefore planned that notably allowed the repeated deployment of ocean bottom seismometers; some of them being left for a few months of background seismicity recording. This thesis specifically focuses on two sets of wide-angle seismic data acquired offshore the Dominica and Martinique islands. From their analysis 3D and 2D tomographic models were produced respectively over the forearc region and across the whole subduction complex. These models constrain the plates' seismic structure as well as their geometry. They allow the discussion of how the imaged structures affect the subduction processes and give a first estimation of the downdip width of the seimogenic zone, defined as the segment of the interplate between the backstop and the upper plate's Moho. The joint interpretation of seismic models and earthquake localizations then refine this first assessment. Epicenter distribution from height months of seismic recording shows indeed that seismicity concentrates within the inner forearc region. The strong velocity gradient that characterize its basement suggests it is denser and more rigid than the more deformable outer forearc basement. The updip limit of the seismogenic zone could then lie arcward of the backstop at the contact of the interplate and the seaward end of the inner forearc crust. At depth, interplate earthquake mechanisms are observed between 35 and 45 km depth and interpreted to have occurred at the downdip limit of the seismogenic zone. The latter could reach a depth over 10,km deeper than the contact of the upper plate's Moho with the interplate, and therefore lie within the mantle wedge. All together, these results imply a large downdip width of the seismogenic zone (~70 km) offshore the Dominica and Martinique islands. Further work is, however, needed in order to fully comprehend the ability of the Lesser Antilles subduction zone to produce a possible mega-thrust earthquake. This would necessitate the evaluation of seismic coupling at the interplate contact and the possible segmentation of the seismogenic zone, for instance, due to the subduction of oceanic ridges. Les Petites Antilles présentent un contexte géodynamique caractérisé par la subduction à très faible vitesse (~2 cm/an) d'une lithosphère océanique âgée (~84-100 Ma). L'activité sismique y est relativement faible, notamment à l'interplaque, où l'aléa sismique lié à un éventuel séisme de méga-chevauchement reste encore mal contraint. Cette thèse se veut être une première étape dans l'évaluation de la capacité de la zone de subduction des Petites Antilles à générer un tel évènement. Dans ce but, ces travaux tentent d'appréhender l'extension en profondeur du domaine sismogène de l'interplaque. Le manque de couverture des stations sismologiques permanentes est un inconvénient majeur dans l'exploration des Petites Antilles. Il s'explique en raison du peu de terres émergées et de leur éloignement de la zone potentiellement sismogène de l’interplaque. La région a donc fait l'objet de plusieurs campagnes océanographiques qui ont permis, notamment, le déploiement de sismomètres fond de mer (OBS); certains instruments étant restés immergés plusieurs mois afin de procéder à une écoute de la sismicité. Les travaux réalisés au cours de cette thèse se sont focalisés sur deux jeux de données de sismique grand-angle acquis au large des îles de la Dominique et de la Martinique. Leur analyse a permis la construction de modèles tomographiques 3D et 2D respectivement à l'échelle de l'avant-arc et de l'ensemble de la subduction. Ces modèles renseignent sur la structure sismique des plaques en convergence ainsi que sur leur géométrie. Ils permettent de discuter le rôle de la structure dans le fonctionnement de la subduction et d’obtenir une première estimation de l'extension en profondeur de la zone sismogène en considérant la portion de l'interplaque comprise entre le butoir et le Moho de la plaque supérieure. Dans un second temps, l'interprétation conjointe des modèles tomographiques et des localisations des séismes locaux a permis d'affiner cette estimation. Huit mois d'enregistrement de la sismicité montrent en effet une concentration des épicentres dans la région interne de l’avant-arc. Celle-ci présente un socle épais, à fort gradient de vitesse interprété comme plus dense et rigide que le socle de la région externe de l'avant-arc, plus déformable. La limite amont de la zone sismogène pourrait donc se situer en retrait de la position du butoir au contact de l'interplaque et de la limite entre ces deux zones de l'avant-arc. En profondeur, des mécanismes interplaques sont observés entre 35 et 45 km et interprétés comme des marqueurs de la limite aval de la zone sismogène. Cette dernière pourrait donc atteindre une profondeur jusqu'à 10 km supérieure à la limite précédemment évoquée et se trouver, par conséquent, au contact du manteau lithosphérique. L'ensemble de ces résultats suggèrent une extension en profondeur de la zone sismogène (i.e une largeur) de près de 70 km face aux îles de la Dominique et de la Martinique. Ces travaux doivent cependant être poursuivis afin d’évaluer pleinement la capacité de la zone de subduction des Petites Antilles à générer un éventuel séisme de méga-chevauchement. Le taux de couplage à l'interplaque doit être précisé ainsi que sa possible segmentation en lien, par exemple, avec à l'entrée en subduction des rides océaniques. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/00172/28335/26628.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00172/28335/ | Partager |
Devenir de la chlordécone dans les réseaux trophiques des espèces marines consommées aux Antilles (CHLORETRO) Auteur(s) : Bodiguel, Xavier Bertrand, Jacques Fremery, Juliette Résumé : La chlordécone est un insecticide organochloré qui a été utilisé aux Antilles de 1972 à 1993 afin de combattre un charançon s’attaquant aux racines des bananiers. Très persistant dans le milieu, la molécule est véhiculée des terres contaminées vers les systèmes aquatiques par le biais des matières particulaires fines, contaminant ainsi le milieu marin côtier. L’objectif de l'étude était de caractériser le devenir de la chlordécone dans les réseaux trophiques de la macrofaune côtière. Il s'agissait en particulier de tenter d’identifier ses voies d’entrée à partir des apports terrigènes et sa propagation au sein de ces réseaux. Le modèle d'étude est une baie de la Martinique, avec les herbiers à phanérogamme comme système de production primaire.
Les résultats obtenus ont montré que les apports terrigènes ont une influence sur les niveaux de contamination de la faune marine, les individus d’une même espèce et aux caractéristiques comparables apparaissant plus contaminés lorsqu’ils sont proches des exutoires des rivières que lorsqu’ils en sont plus éloignés. Cette contamination présente une bioamplification le long des réseaux trophiques, depuis les producteurs primaires jusqu’aux espèces de rang trophique élevé tels que les carnivores de deuxième ordre (facteur de bioamplification trophique estimé entre 1,4 et 1,9). Le lieu de vie et le mode d’alimentation ont ainsi été identifiés comme jouant une rôle important sur les niveaux de contamination.
Des phénomènes de bioaccumulation ont été avérés chez deux espèces pour lesquelles le niveau de contamination par la chlordécone est élevé, Chloroscombrus chrysurus et Callinectes danae. Mais cette caractéristique ne s’applique pas à toutes les espèces étudiées. Une diminution des niveaux de contamination a même été observée au cours de la vie de la langouste blanche Panulirus argus. Elle est principalement attribuée à une migration de l’espèce vers le large entre les phases juvéniles et adultes.
Le présent rapport apporte ainsi des connaissances nouvelles sur les modalité de transfert de la chlordécone en milieu marin, en particulier sur la capacité de transfert de la molécule dans les réseaux trophiques, sur la capacité des organismes à la bioaccumuler ainsi que sur l'influence du mode de vie et de l’alimentation des espèces sur leurs niveaux de contamination. Il met en évidence le rôle de l’écologie des espèces dans les niveaux de contamination. Malgré les progrès accomplis, ces résultats restent encore fragmentaires. Droits : 2011 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00036/14684/11986.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00036/14684/ | Partager |
Rapport annuel 1999 Résumé : Président de l'Ifremer depuis mars 2000, je suis amené à commenter le bilan de l'activité de notre organisme au cours de 1999, et a traduire l'action de mon prédécesseur, Pierre David. La plupart des réalisations, des résultats ou des réorganisations prennent leur source dans des choix des années précédentes, et donc dans sa stratégie a l'échelle de son mandat. Les priorités affichées par Pierre David concernaient l'environnement du littoral, la gestion des ressources halieutiques et le rôle d'agence de moyens a la mer. En ce qui concerne le rôle d'agence de moyens. le nombre de jours de mer de la flotte hauturière a baissé en 1999 de 10% par rapport a 1998, mais cela résulte d'un choix d'investissement et de développement technologique préparant le futur: le Nadir a largement été employé au test de la nouvelle sismique multitraces, le plus performant des outils de recherche académique en Europe, tandis que Le Suroît a été désarmé pour sa refonte. Les océanographes disposeront ainsi d'un navire de taille moyenne performant et bien équipé pour les dix prochaines années. II faut aussi noter l'entrée en fonctionnement du Victor 6000, le nouvel engin téléopéré. L'étude des ressources halieutiques s'oriente plus nettement vers celle de I'. écologie halieutique, notamment avec l'ouverture du chantier du golfe de Gascogne dans le cadre du Pnec (programme national de l'environnement côtier), ainsi qu'avec la poursuite des développements d'outils de pêche sélective. D'autre part, on notera la contribution de l'Ifremer au renforcement de la concertation internationale sur les pêches méditerranéennes. L'aquaculture poursuit son recentrage, avec un moindre effort en zootechnie, mais des développements "amont" sur les questions des pathologies, de la sélection génétique et du respect des contraintes d'environnement. Le succès économique de la perliculture à Tahiti et de la crevetticulture en Nouvelle Calédonie se confirme. [OCR NON CONTRÔLE] Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/1999/rapport-5299.PDF http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/5299/ | Partager |
L’expérience professionnelle à l’étranger : expérience de travail et voyage initiatique Auteur(s) : Mathé, Thierry Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’expérience professionnelle à l’étranger peut constituer l’occasion d’une véritable immersion dans le pays et dans la vie quotidienne de ses voisins, collègues, parfois amis, en échappant à la situation « hors-sol » du touriste.Elle semble permettre à l’individu d’occuper une place singulière en n’étant ni étranger ni autochtone, lui donnant accès à des rapports plus égalitaires que le touriste (au moins en impression) avec la population locale ; à la participation à la vie locale ; à une utilité intégrée. Elle offre ainsi la possibilité de réduire la distance avec « l’autre en tant qu’autre », non seulement par le temps passé sur place, mais encore par une plus grande horizontalité avec les habitants.Nous proposons ici d’envisager cette expérience dans sa dimension initiatique, en particulier chez les jeunes pour lesquels c’est une occasion de partir en dehors du cadre touristique, qui peut faire office d’entrée dans l’âge adulte, de plonger dans un univers d’autonomie et d’incertitude. Celui qui part doit affronter un certain nombre d’épreuves, dont il sortira changé.Partant des analyses de J. Campbell sur les trois temps de l’initiation (avant - pendant — après), l’interprétation réclame l’étape du retour en même temps que le retour sur l’expérience. Il s’agit d’une recherche en cours reposant sur une collecte d’entretiens. Professional experience abroad can be an occasion for being truly immersed in the country, in the life of one’s colleague, sometimes friends, in avoiding the traditional tourist framework.It seems to allow having a peculiar place without the feeling of being a total foreigner neither a local. Allowing a closer relationship with the locals (at least giving that impression). Taking part in the daily life and feeling deeply useful. It offers the possibility to reduce the distance with the “other” as “another” thanks to the time spent on site but also with an improved relationship with the inhabitants.We suggest exploring this experience in its learning aspect, specifically amongst young people. It is an occasion to get out of the usual tourist framework and get fully immersed in autonomy and uncertainty. Upon leaving and trying out this experience one will face challenges which will change him or her forever.Taking the three different analysis from J. Campbell on the three initiating steps (before, during and after the stay) the interpretation requires the return stage as well as the feedback on the experience, providing a collection of interviews. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11347 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11347 | Partager |
Projet pilote du Système d’Informations Halieutiques (SIH) Martinique (2007-2010). Premières données sur la pêche en Martinique (2009-2010) Auteur(s) : Reynal, Lionel Demaneche, Sebastien Guyader, Olivier Bertrand, Jacques Berthou, Patrick Dromer, Clement Maros, Emmanuel Bruneau, Marie Résumé : Le statut de département français fait de l’île de la Martinique une des régions ultra périphériques (RUP) de l’Union européenne. L’activité des navires de pêche qui exploitent sa ZEE s’inscrit dans le cadre de la politique commune des pêches de l’Union européenne, et la gestion des ressources partagées avec d’autres pays s’exerce dans le cadre des organisations internationales de pêche afférentes. Avec 1098 navires de pêche dont 1074 de moins de 10 mètres, la flotte de la Martinique représentait en 2009 16% de la flotte française. L’absence de données halieutiques depuis les évaluations de Gobert en 1989 a été identifiée à de nombreuses reprises comme un élément critique pour le suivi de l’évolution des activités de pêche et des ressources exploitées, ainsi que pour la définition de politiques de gestion durable de ce secteur économique.
L’objectif de cette étude pilote était de tester la mise en place d’un système d’informations relatif aux activités de pêche maritime en Martinique, et d’étudier les conditions scientifiques et techniques d’une pérennisation d’un tel dispositif. Ce projet mené sur la période 2008-2010 avait pour objectif d’une part de consolider les connaissances en termes d’effort de pêche, de captures et de suivi socio-économique des différentes composantes de la pêche martiniquaise, et d’autre part de réaliser des synthèses sous forme d’indicateurs à destination des partenaires du projet (Direction des pêches maritimes et de l’aquaculture, Conseil régional de Martinique, Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins de Martinique).
Ce travail a été mené considérant le contexte particulier de la pêche martiniquaise qui cumule les difficultés inhérentes à une pêcherie artisanale en milieu tropical : utilisation de nombreux engins, exploitation à partir d’une centaine de ports/abris une ressource très diversifiée, débarquement de faibles quantités de produits à toutes heures de la journée, faible disponibilité des patrons, très polyvalents dans leur activité en mer comme à terre, pour remplir des documents statistiques.
Le projet a permis de tester différentes méthodes d’enquêtes dans les ports et de sondages téléphoniques utilisables dans ce contexte. La confrontation de ces méthodes et de leurs résultats a permis de mettre en évidence certains biais associés à la difficulté de respecter les règles du tirage statistique des unités d’échantillonnage. Il est ainsi apparu que les enquêtes sur les points de débarquement pouvaient surévaluer l’effort de pêche et les débarquements. En effet, ces enquêtes méconnaissent les navires inactifs parqués hors des ports. De plus, les retours de pêche avec des prises faibles ou nulles échappent en partie aux observateurs en raison de la brièveté du séjour du patron dans le port au terme de sa marée.
Des sondages téléphoniques couvrant une période de sept jours ont été menés, afin de prendre en compte le cycle hebdomadaire d’organisation de la pêche et de la commercialisation du poisson. Ces sondages permettent de s’affranchir des contraintes spatiales (éloignement et mauvaise accessibilité de certains lieux de débarquement) et temporelles (fin de semaine, jours fériés, débarquements de nuit), dans la mesure où ils peuvent être établis sur la base d’un registre complet des patrons-armateurs. Au cours de l’étude pilote, le plan d’échantillonnage a pu être suivi à 70 % (navires tirés au hasard figurant dans le plan). Dans 27 % des cas, l’observateur a du substituer l’unité d’échantillonnage, selon les règles imposées par le plan. En outre 2 % des sondages prévus au plan n’ont pas pu être réalisés en raison d’un refus.
L’inconvénient majeur attribué à la méthode des sondages téléphoniques est l’impossibilité de vérifier les déclarations de personnes interviewées. Une comparaison entre ces déclarations et des pesées effectuées par les observateurs sur les points de débarquement a permis de décrire les divergences entre les deux modes de collecte des données. Cette analyse a également montré que si la collecte des données au débarquement offre la garantie d’une observation directe, elle peut également manquer une partie du produit de la pêche : langoustes déposées en vivier en pleine eau avant l’entrée dans le port, poisson non débarqué pour satisfaire la commande d’un client, lots de poissons remis aux haleurs de sennes de plage, débarquement sur un premier point avant le site enquêté, etc.
Il est apparu qu’une collecte de données fiables ne peut se faire sans une bonne information des professionnels et leur participation volontaire à l’établissement des statistiques. La collecte des données dans un cadre qui garantit l’anonymat du pêcheur est également une condition inhérente à la réussite d’un observatoire. Par ailleurs, bon nombre d’informations portant par exemple sur l’activité en mer (dimension des engins, temps de pose, zone de pêche, etc.) invérifiables sur le lieu de débarquement peuvent être recueillies dans des conditions analogues par téléphone. Pendant la réalisation du projet pilote, 90,4 % des pêcheurs contactés par téléphone ont répondu sans réticence aux observateurs. Ceux qui ont refusé de répondre ou qui n’ont jamais décroché le téléphone (erreur de numéro ou refus) représentent 3 % des patrons-armateurs des navires figurant au fichier flotte national. Les pêcheurs qui n’ont pas régulièrement répondu aux observateurs représentent 6,6 % des effectifs.
Pour valider les données collectées par enquêtes téléphoniques, leurs résultats ont été comparés par différentes méthodes à ceux des enquêtes au débarquement en vue d’identifier et de quantifier des biais éventuels. Aucune surévaluation ou sous-évaluation systématique par les enquêtes téléphoniques n’a été décelée au cours de ces travaux, certaines valeurs pouvant être plus élevées et d’autres moins. Les écarts non formellement expliqués ont été considérés comme une sous-évaluation par les enquêtes téléphoniques. Ceux-ci s’élèveraient à 20 % pour l’estimation du nombre de sorties et à 30 % pour celle des prises par sortie. Malgré la prise en compte de ces écarts, les estimations faites en 2009 et 2010 indiquent une régression des débarquements et de l’effort de pêche depuis l’évaluation réalisée en 1987 par le Pôle de recherche océanographique et halieutique Caraïbes. Un second niveau de validation a consisté à vérifier cette décroissance de la pêche en confrontant les informations obtenues par la présente étude pilote à des données d’origines différentes : étude des comportements alimentaires par l’Institut de veille sanitaire, étude de la consommation des ménages par l’INSEE, évolution des données d’importation des Douanes, données de vente de matériel de pêche par la coopérative d’avitaillement des pêcheurs de la Martinique (COOPEMAR). Toutes ces données font ressortir une baisse de la consommation de poisson par habitant depuis la fin des années 1980 et une augmentation des importations de produits de la mer. La pêche martiniquaise n’étant pas exportatrice, ces données donnent également un signal de diminution de la pêche martiniquaise au cours des 25 dernières années.
Les données collectées à l’occasion de cette étude pilote suggèrent que la régression de la pêche martiniquaise au cours des dernières décennies serait le résultat de deux causes majeures :
- la surpêche des ressources de fond sur le plateau insulaire. Ces ressources subissent une forte pression de pêche, entre autres de la part des pêcheurs les plus âgés qui n’ont plus les capacités physiques de pratiquer une activité loin des côtes. Un quart des patrons-armateurs ont aujourd’hui l’âge de la retraite et relèvent près de la moitié des nasses mouillées sur le plateau insulaire. Ces pêcheurs à l’activité peu flexible sont contraints de la poursuivre en raison de la faiblesse de leur pension de retraite. Une réduction de la pression de pêche sur le plateau insulaire par le départ effectif de ces pêcheurs favoriserait certainement, après quelques années, un retour à la situation décrite il y a 25 ans, qui permettait un débarquement annuel d’espèces issues du plateau insulaire d’environ 1 000 tonnes de plus que la production actuelle.
- la concurrence des importations, en particulier des produits congelés, est certainement en partie la cause de la régression de la pêche des pélagiques hauturiers, malgré le développement des dispositifs de concentration de poissons (DCP) qui sont à l’origine d’environ 30 % des débarquements de la pêche de l’île. Face aux importations, la commercialisation de la pêche locale est encore peu structurée avec plus de 49 sites de vente répartis sur le territoire, généralement peu achalandés en raison des faibles prises irrégulières des pêcheurs artisans. Les espaces de vente sont encore peu équipés et rarement aux normes. C’est ainsi que plus de quarante pour cent des tables de vente sont en bois.
Plusieurs options sont actuellement examinées pour améliorer la fiabilité et la précision des données collectées par le SIH sans augmenter leurs coûts de collecte.
Le traitement des données collectées sur quelques années permettra d’affiner les critères de stratification de la population afin d’améliorer la précision des données.
Compte tenu de l’éparpillement des points de débarquement et de la faible fréquence de sortie des navires de pêche, une optimisation du travail de terrain des observateurs doit être faite. L’objectif de ces enquêtes de terrain doit être de :
- servir de témoin pour la validation des enquêtes téléphoniques. Pour cela, il faudra rechercher les sousensembles communs aux enquêtes téléphoniques et aux observations sur le terrain afin qu’ils soient comparables ;
- disposer d’une composition spécifique et en taille des débarquements qui soit si possible représentative de l’ensemble des débarquements ou au moins d’une part significative qui pourrait servir d’indicateur de l’évolution de la pêche et des ressources exploitées.
Afin d’optimiser les déplacements des observateurs sur le terrain, les données des enquêtes téléphoniques peuvent être utilisées pour identifier par semestre les 50 à 100 sites et tranches horaires de cinq heures au sein desquels les fréquences de retours de pêche sont les plus élevées. L’étude pilote a montré que, par ce procédé, le nombre de retours échantillonnés s’élève en moyenne à 3,5.
Les échantillonnages biologiques des débarquements permettant de décrire leur composition spécifique et en taille sont réalisés par photographie lorsque l’engin utilisé capture un grand nombre d’espèces différentes (nasses, filets de fond, senne de plage...). Par ce procédé, il est possible de réduire la durée des échantillonnages de près de trois quarts du temps nécessaire aux mensurations directes, et ainsi de moins gêner le débarquement et la vente du poisson. Ce procédé permet également d’avoir une traçabilité des échantillonnages; il offre notamment la possibilité de revenir sur les identifications en cas de doute. Cette méthode, aujourd’hui bien rodée, devrait permettre d’améliorer la qualité des travaux sur la biodiversité de la faune marine. Droits : 2013 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00156/26762/24850.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00156/26762/ | Partager |
Travaux ISTPM 1954 - Campagnes océanographiques et travaux à la mer Éditeur(s) : ISTPM Résumé : Le navire de recherches «Président Théodore Tissier », déréquisitionné, remis en état par la Marine Nationale, a effectué une première campagne en juillet 1946 pour étudier les conditions hydrologiques en Manche, à l'entrée occidentale de cette mer et sur les hauts-fonds du Plateau continental Celte. Remis en juin 1947 à la Marine Marchande, (qui a depuis cette date assuré son entretien et son armement), le « Président Théodore Tissier» a rempli de nombreuses missions scientifiques appliquées aux pêches. [OCR NON CONTRÔLE] Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1954 , Vol. 18 , N. 2-4 , P. 19-30 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1954/publication-6714.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/6714/ | Partager |
Des économistes des pêches, pour quoi faire ? Auteur(s) : Weber, Jacques Résumé : L'entrée d'économistes à l'IFREMER remonte à 1983. Cette arrivée d'une discipline nouvelle s'est traduite par la création d'un département "Stratégies de Développement et d'Aménagement" de l'exploitation des ressources vivantes, répondant à une demande des biologistes des pêches, souvent confrontés à des problèmes que les seules observations biologiques ne permettent pas de résoudre. [OCR NON CONTRÔLE]
Equinoxe, 1990 , P. 37-43 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1990/publication-4081.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4081/ | Partager |
Apprentissage de connaissances structurelles à partir d’images satellitaires et de données exogènes pour la cartographie dynamique de l’environnement amazonien ; Structurel Knowledge learning from satellite images and exogenous data for dynamic mapping of the amazonian environment Auteur(s) : Bayoudh, Meriam Auteurs secondaires : Antilles-Guyane Nock, Richard Résumé : Les méthodes classiques d'analyse d'images satellites sont inadaptées au volume actuel du flux de données. L'automatisation de l'interprétation de ces images devient donc cruciale pour l'analyse et la gestion des phénomènes observables par satellite et évoluant dans le temps et l'espace. Ce travail vise à automatiser la cartographie dynamique de l'occupation du sol à partir d'images satellites, par des mécanismes expressifs, facilement interprétables en prenant en compte les aspects structurels de l'information géographique. Il s'inscrit dans le cadre de l'analyse d'images basée objet. Ainsi, un paramétrage supervisé d'un algorithme de segmentation d'images est proposé. Dans un deuxième temps, une méthode de classification supervisée d'objets géographiques est présentée combinant apprentissage automatique par programmation logique inductive et classement par l'approche multi-class rule set intersection. Ces approches sont appliquées à la cartographie de la bande côtière Guyanaise. Les résultats démontrent la faisabilité du paramétrage de la segmentation, mais également sa variabilité en fonction des classes de la carte de référence et des données d'entrée. Les résultats de la classification supervisée montrent qu'il est possible d'induire des règles de classification expressives, véhiculant des informations cohérentes et structurelles dans un contexte applicatif donnée et conduisant à des valeurs satisfaisantes de précision et de KAPPA (respectivement 84,6% et 0,7). Ce travail de thèse contribue ainsi à l'automatisation de la cartographie dynamique à partir d'images de télédétection et propose des perspectives originales et prometteuses. Classical methods for satellite image analysis are inadequate for the current bulky data flow. Thus, automate the interpretation of such images becomes crucial for the analysis and management of phenomena changing in time and space, observable by satellite. Thus, this work aims at automating land cover cartography from satellite images, by expressive and easily interpretable mechanism, and by explicitly taking into account structural aspects of geographic information. It is part of the object-based image analysis framework, and assumes that it is possible to extract useful contextual knowledge from maps. Thus, a supervised parameterization methods of a segmentation algorithm is proposed. Secondly, a supervised classification of geographical objects is presented. It combines machine learning by inductive logic programming and the multi-class rule set intersection approach. These approaches are applied to the French Guiana coastline cartography. The results demonstrate the feasibility of the segmentation parameterization, but also its variability as a function of the reference map classes and of the input data. Yet, methodological developments allow to consider an operational implementation of such an approach. The results of the object supervised classification show that it is possible to induce expressive classification rules that convey consistent and structural information in a given application context and lead to reliable predictions, with overall accuracy and Kappa values equal to, respectively, 84,6% and 0,7. In conclusion, this work contributes to the automation of the dynamic cartography from remotely sensed images and proposes original and promising perpectives http://www.theses.fr/2013AGUY0671/document | Partager |
Histoire des pirates anglois depuis leur etablissement dans l'ile de la Providence, jusqu'à present, contenant toutes leurs avantures, pirateries, meurtres, cruautéz & excés. Avec la vie & avantures des deux femmes pirates Marie Read & Anne Bonny, et un extrait des loix, & des ordonnances concernant la piraterie. Traduite de l'anglois du capitaine Charles Johnson Auteur(s) : Defoe, Daniel (1661-1731) Johnson, Charles (16..-17.. ; capitaine) Année de publication : Éditeur(s) : Utrecht : Jaques Broedelet Résumé : Charles Johnson serait le pseudonyme de Daniel Defoe d'après J. R. Moore, à tort d'après l'Oxford DNB (entrée : Johnson, Charles (fl. 1724-1734)). Première édition en français, après l'édition originale en anglais de 1724. - Reliure veau marbré, dos long doré et pièce de titre, gardes à tourniquets, 18e siècle. - Cachet de la bibliothèque de la Ville de Bordeaux Leclerc, 304 J. R. Moore : Daniel Defoe, 458 - Sabin, 36192 Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : Domaine public Provenance : Ville de Bordeaux. Bibliothèque municipale Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/BBX17023 BBX17023 | Partager |
The buccaneers and marooners of America : being an account of the famous adventures and daring deeds of certain notorious freebooters of the Spanish main Auteur(s) : Exquemelin, Alexandre-Olivier (1646-1717) Auteurs secondaires : Pyle, Howard (1853-1911) Johnson, Charles (16..-17.. ; capitaine) Année de publication : Éditeur(s) : London : T. Fisher Unwin Extrait de : The adventure series Résumé : A new illustrated edition. Le traducteur Charles Johnson serait un pseudonyme, souvent attribué à Daniel Defoe, à tort d'après l'Oxford DNB (entrée : Johnson, Charles (fl. 1724-1734)). Siècle(s) traité(s) : 16 Droits : Domaine public Provenance : Archives territoriales de Guyane Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/GAD12006 GAD12006 | Partager |